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Les locaux du Comité olympique russe à Moscou, 17 décembre 2020. Kirill Kudryavtsev / AFP Pendant des semaines, Thomas Bach n'a pas caché son désir de voir des athlètes russes et biélorusses concourir sous une bannière neutre aux Jeux olympiques de Paris 2024. Le président du Comité international olympique avait été publiquement plaidé, au nom la "Mission unificatrice TheSport", pour une réintégration athlètes des deux pays, qui avaient été interdits la plupart compétitions en réponse à l'invasion l'Ukraine par les troupes du Kremlin fin février 2022, et le soutien Minsk à cette offensive. Malgré les manifestations animées Kyiv, le CIO a fait une nouvelle étape dans cette direction, le mercredi 25 janvier: Dans un communiqué de presse, il a esquissé les termes leur retour. Cependant, la décision reviendra aux fédérations internationales, les "seules autorités qui peuvent gouvernerLes compétitions internationales dans leur sport ". Le corps peut se positionner dans le deuxième rideau, il joue cependant un rôle crucial dans ce dossier. Elle été celle qui a "recommandé" l'exclusion des Russes et des Bélaruss, il y près d'un an, avant de commencer, en décembre dernier, une série de la série deConsultations afin d'organiser leur réintégration. Lisez également l'histoire: Article réservé à avec la guerre en Ukraine, l'Olympisme oscille entre Realpolitik et Hypocrisie Après s'être maintenue en particulier avec des représentants d'athlètes, de fédérations et de comités olympiques nationaux, sa commission exécutive a exhorté mercredi à "étudier davantage la voie" dont les athlètes concernés pourraient reprendre la compétition. Pas d'athlètes qui "ont soutenu la guerre en Ukraine" La feuille de route proposée, cependant, implique des "conditions strictes". Les Russes et les Bélaruss s'aligneraient "en tant qu'athlètes neutres", et ne pouvaient participer que s'ils "ne soutenaient pas activement la guerre en Ukraine". Ils devront également se conformer "Entièrement dans le Code mondial antidopage "," vérifie "à la clé 2020, la Russie avait été interdite des réunions internationales majeures, y compris les Jeux olympiques d'été Tokyo en 2021 et ceux de Beijing Winter 2022, pour avoir transgressé l'anti -Règles dopage. Pour la procédure, "aucun athlète ne devrait être interdit de concurrence uniquement sur la base de son passeport". Cette position est partagée par "la grande majorité" des personnes consultées, selon le communiqué de presse. Le CIO, qui présente depuis le départ l'exclusion des athlètes russes biélorusses comme une "mesure de protection" de intégrité et non en tant que punition, n'a cependant réaffirmé son attachement aux "sanctions" en frappant pays: aucune compétition internationale n'a organisé sol, aucun drapeau, hymne ou symbole officiel pour athlète, aucun re