"Nous assistons à l’essor des néo-banques à impact en France"
  • l’année dernière
OnlyOne est une néo-banque à impact qui permet aux clients de mettre leur épargne au service de leurs engagements.
ID a rencontré pour vous son président et fondateur Kamel Nait-outaleb.
"Depuis maintenant trois ans nous assistons à l’essor des néo-banques à impact en France.
C’est la preuve qu’il y a une vraie demande de la part du grand public pour une finance plus durable.
La moyenne d’âge de nos clients est de 34 ans, plutôt urbains mais pas que.
Notre enregistrement auprès du régulateur est déjà un premier gage de confiance, il est consultable sur le site officiel de la banque de France Regafi.fr."
OnlyOne garantit aussi la disponibilité des fonds (offrant les mêmes droits que les clients de banques traditionnelles), la sécurisation des paiements.
Pour mesurer son impact, OnlyOne réalise un bilan carbone afin de connaître les leviers d’actions à mettre en place pour limiter son impact.
La néo-banque peut ainsi comptabiliser :
- Le nombre d’arbres plantés avec son partenaire EcoTree.
- Le parrainage des ruches et la préservation des écosystèmes.
- Le reboisement des forêts incendiées en France durant l’été.
- Les rapports d’impact pour les projets financés au travers des Ones.
Les Ones sont une monnaie virtuelle constituée par des commissions d’interchangeables perçues après chaque paiement effectué par carte par un client.
Cela permet ensuite aux clients de financer des projets durables parmi ces 4 catégories :
- La préservation de la biodiversité.
- La protection du climat.
- La défense des droits humains.
- L’action pour le bien-être animal.
Les Ones représentent environ 7 milliards d’euros par an.
OnlyOne développe également son offre aux professionnels pour leur permettre "de se soucier de leur empreinte carbone, de s'engager dans une démarche RSE ou bien de la renforcer et d’être pleinement acteurs sur des enjeux sociaux et environnementaux".
"Nous avons très régulièrement des demandes de professionnels désireux d’ouvrir un compte à impact.
[…] 66 % des Français souhaitent que leur épargne finance des projets à impact positif."
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