Le CIO envisage un retour des Russes et des Biélorusses dans les compétitions en Asie
- l’année dernière
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Thomas Bach, président du Comité international olympique, au siège de l'organisation, à Lausanne, 5 décembre 2022. Denis Balibouse / AP Les athlètes russes et biélorusses seront-ils progressivement réintégrés dans les compétitions olympiques? Un an et demi des Jeux de Paris, le Comité international olympique a déclaré qu'il le considérait le vendredi 9 décembre, sans cependant fixer une date d'échéance. Pour le moment, ce ne sont que des pistes débattues lors du 11e sommet olympique, qui se réunissait le matin, à Lausanne, les membres du CIO et les représentants des fédérations internationales, des athlètes et des comités olympiques nationaux ou continentaux. Le CIO avait déjà déclaré mercredi "explorer les moyens" pour réintégrer les Russes et les Bélaruss, interdits depuis le début de l'offensive russe en Ukraine, mais le Conseil olympique asiatique, l'OCA, a franchi une étape supplémentaire en proposant le vendredi pour "faciliter leurLa participation "aux compétitions organisées" sous son autorité ", selon la déclaration finale du sommet olympique. Lisez également l'histoire: Article réservé à avec la guerre en Ukraine, l'Olympisme oscille entre Realpolitik et Hypocrisie "Les raisons n'existent plus" Depuis la fin de février, l'organisme olympique a martelé que l'interdiction des athlètes n'est pas une "sanction", car ils n'ont pas de responsabilité directe dans l'invasion, mais une "mesure protectrice" et leur propre sécurité, ont pris "le cœur lourd"et contrairement aux valeurs de l'universalité du sport. Le CIO n'a pas décidé pour le moment rien, mais les représentants de plusieurs fédérations internationales ont "salué" la proposition de l'OCA, croyant qu'elle "ne devrait plus être la même solution pour tous". Les délégués rassemblés à Lausanne, en revanche, a confirmé le maintien des "sanctions" prises contre les autorités russes et biélorusses pour avoir violé la pause olympique, qui interdit toute compétition internationale sur leur sol et la présence de leurs drapeaux comme leur partie des hymnesas.
Thomas Bach, président du Comité international olympique, au siège de l'organisation, à Lausanne, 5 décembre 2022. Denis Balibouse / AP Les athlètes russes et biélorusses seront-ils progressivement réintégrés dans les compétitions olympiques? Un an et demi des Jeux de Paris, le Comité international olympique a déclaré qu'il le considérait le vendredi 9 décembre, sans cependant fixer une date d'échéance. Pour le moment, ce ne sont que des pistes débattues lors du 11e sommet olympique, qui se réunissait le matin, à Lausanne, les membres du CIO et les représentants des fédérations internationales, des athlètes et des comités olympiques nationaux ou continentaux. Le CIO avait déjà déclaré mercredi "explorer les moyens" pour réintégrer les Russes et les Bélaruss, interdits depuis le début de l'offensive russe en Ukraine, mais le Conseil olympique asiatique, l'OCA, a franchi une étape supplémentaire en proposant le vendredi pour "faciliter leurLa participation "aux compétitions organisées" sous son autorité ", selon la déclaration finale du sommet olympique. Lisez également l'histoire: Article réservé à avec la guerre en Ukraine, l'Olympisme oscille entre Realpolitik et Hypocrisie "Les raisons n'existent plus" Depuis la fin de février, l'organisme olympique a martelé que l'interdiction des athlètes n'est pas une "sanction", car ils n'ont pas de responsabilité directe dans l'invasion, mais une "mesure protectrice" et leur propre sécurité, ont pris "le cœur lourd"et contrairement aux valeurs de l'universalité du sport. Le CIO n'a pas décidé pour le moment rien, mais les représentants de plusieurs fédérations internationales ont "salué" la proposition de l'OCA, croyant qu'elle "ne devrait plus être la même solution pour tous". Les délégués rassemblés à Lausanne, en revanche, a confirmé le maintien des "sanctions" prises contre les autorités russes et biélorusses pour avoir violé la pause olympique, qui interdit toute compétition internationale sur leur sol et la présence de leurs drapeaux comme leur partie des hymnesas.