La Russie pourrait envisager une grève préventive pour désarmer un ennemi
- l’année dernière
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La Russie pourrait changer sa doctrine militaire en introduisant la possibilité d'une grève préventive pour désarmer un ennemi, a déclaré vendredi le président russe Vladimir Poutine. Il a répondu à la question d'un journaliste lors d'une visite à Bichkek, qui lui a demandé de clarifier sa déclaration du début de la semaine sur l'emploi d'armes nucléaires. S'adressant à la presse quelques jours après l'avertissement que le risque de guerre nucléaire augmentait, mais que la Russie ne frappera pas la première, M. Poutine a déclaré que Moscou prévoyait d'adopter ce qu'il a appelé la grève préventive de Washington Concepta. "Premièrement, les États-Unis ont développé le concept d'une grève préventive.Incondemment, ils développent un système de dactylographie visant à désarmer", a déclaré les journalistes à des journalistes au Kirghizistan. Il a ajouté que Moscou devrait penser à adopter les "idées développées par les Américains pour assurer leur propre sécurité". "Nous n'y pensons que", a-t-il déclaré. Le président russe a également déclaré que les missiles de croisière et les systèmes hypersoniques de son pays étaient "plus modernes et encore plus efficaces" que ceux des États-Unis. Mercredi, M. Poutine a assuré que Moscou ne serait pas le premier à déployer des armes atomiques. "La Russie ne les utiliserait pas d'abord par des circonstances", a-t-il dit, avant d'ajouter: "Mais si elle ne les utilise en aucune circonstance, ce ne sera pas le deuxième à les utiliser non plus, car les chances de les utiliser dans leLe cas d'une frappe nucléaire contre notre territoire est très mince ». Le Département d'État américain a condamné ces déclarations, estimant que «toute discussion vague sur les armes nucléaires est absolument irresponsable». » Le spectre d'une éventuelle guerre nucléaire est revenu au front de la scène internationale après l'invasion de l'Ukraine en février, soulignant l'érosion de l'architecture de sécurité mondiale datant de la guerre froide. Les inversions militaires russes, ces derniers mois, ont fait craindre que Moscou envisage, pour renverser la tendance, un appel à son arsenal nucléaire.
La Russie pourrait changer sa doctrine militaire en introduisant la possibilité d'une grève préventive pour désarmer un ennemi, a déclaré vendredi le président russe Vladimir Poutine. Il a répondu à la question d'un journaliste lors d'une visite à Bichkek, qui lui a demandé de clarifier sa déclaration du début de la semaine sur l'emploi d'armes nucléaires. S'adressant à la presse quelques jours après l'avertissement que le risque de guerre nucléaire augmentait, mais que la Russie ne frappera pas la première, M. Poutine a déclaré que Moscou prévoyait d'adopter ce qu'il a appelé la grève préventive de Washington Concepta. "Premièrement, les États-Unis ont développé le concept d'une grève préventive.Incondemment, ils développent un système de dactylographie visant à désarmer", a déclaré les journalistes à des journalistes au Kirghizistan. Il a ajouté que Moscou devrait penser à adopter les "idées développées par les Américains pour assurer leur propre sécurité". "Nous n'y pensons que", a-t-il déclaré. Le président russe a également déclaré que les missiles de croisière et les systèmes hypersoniques de son pays étaient "plus modernes et encore plus efficaces" que ceux des États-Unis. Mercredi, M. Poutine a assuré que Moscou ne serait pas le premier à déployer des armes atomiques. "La Russie ne les utiliserait pas d'abord par des circonstances", a-t-il dit, avant d'ajouter: "Mais si elle ne les utilise en aucune circonstance, ce ne sera pas le deuxième à les utiliser non plus, car les chances de les utiliser dans leLe cas d'une frappe nucléaire contre notre territoire est très mince ». Le Département d'État américain a condamné ces déclarations, estimant que «toute discussion vague sur les armes nucléaires est absolument irresponsable». » Le spectre d'une éventuelle guerre nucléaire est revenu au front de la scène internationale après l'invasion de l'Ukraine en février, soulignant l'érosion de l'architecture de sécurité mondiale datant de la guerre froide. Les inversions militaires russes, ces derniers mois, ont fait craindre que Moscou envisage, pour renverser la tendance, un appel à son arsenal nucléaire.