Inutile d'insister, elle ne regrette rien, « absolument rien ». Après avoir publiquement accusé le député EELV Julien Bayou de violences psychologiques à l'encontre de son ex-compagne, le 19 septembre, Sandrine Rousseau assume ses propos, ses méthodes et sa radicalité. C'est au nom, dit-elle, « de la transparence » qu'elle a semé le chaos dans son propre parti, poussant le secrétaire national à démissionner de ses fonctions.