Quand l'isolement devient source d'imagination…Les danseurs classiques s'improvisent " bricoleurs "!
Au premier confinement, Anaïs Maurer était seule à Milan, son fiancé qui avait signé un contrat pour un spectacle en Irlande était bloqué à Dublin. La ballerine s'entrainait sur le parquet de son salon avec la peur de tomber et de se blesser.
Pour le deuxième confinement, son amoureux Amand Pulaj est présent et grâce à lui, le couple dispose d'une piste de danse "fabrication maison" créée avec des panneaux de bois soutenue par des frites de piscine saucissonnées qui permettent d'amortir les chocs lors des sauts et des pirouettes.


Un reportage de Cecilia Arbona