Éplorée, une nouvelle victime présumée de Thierry Samitier raconte son viol
  • il y a 5 ans
Éplorée, une nouvelle victime présumée de Thierry Samitier raconte son viol
Depuis quelques jours, Thierry Samitier est le protagoniste d'une sombre affaire. Deux comédiennes ont récemment déposé des mains courantes pour harcèlement sexuel contre la vedette de Nos chers voisins, qui aurait eu un comportement particulièrement déplacé envers elles à plusieurs reprises. Si l'accusé nie fermement les allégations, un nouveau témoignage d'une victime présumée risque de le mettre sérieusement à mal...
Les faits décrits font froid dans le dos. Alors qu'il se trouve depuis quelques jours dans le viseur de deux femmes, les comédiennes de la pièce "Boeing Boeing", qui l'accusent de harcèlement sexuel et détaillent des scènes particulièrement accablantes, Thierry Samitier est à nouveau visé par une accusation qui vient s'ajouter à celles des deux actrices. Sur le plateau de Touche pas à mon poste, ce mercredi 16 octobre, Cyril Hanouna, qui avait accepté de donner la parole à Thierry Samitier pour qu'il explique sa version des faits, s'est cette fois entretenu par téléphone avec l'une des victimes présumées de la star de "Nos chers voisins".

Interrogée de façon anonyme, la femme prénommée Déborah a tout d'abord décrit le comédien comme un homme "qui a toujours l'esprit en dessous de la ceinture" et qui faisait de nombreuses "allusions sexuelles". Après avoir remis l'acteur à sa place à plusieurs reprises alors qu'il essayait de l'embrasser, elle explique l'avoir revu lors d'une soirée, puis s'être sentie "responsable" d'être allée chez lui, alors que son comportement s'est brutalement mis à changer. "J'ai demandé à emprunter la salle de bain pour me changer et quand je suis sortie, il était nu et il m'a collée sur le lit en me tenant les mains. Je lui disait 'Mais Thierry je ne veux pas de ça', et lui me disait 'T'en a autant envie que moi'". Un récit particulièrement glaçant auquel n'a pour l'instant pas réagi l'acteur, qui avait affirmé sur le même plateau vouloir "attaquer en justice" pour ce qu'il estime être une "diffamation publique".
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