La belle santé des camping-cars, un loisir qui a toujours plus d'adeptes
- il y a 5 ans
La belle santé des camping-cars, un loisir qui a toujours plus d'adeptes.
Le Salon du véhicule de loisirs se tient jusqu’à dimanche, au Bourget. La France compte 3,4 millions d’adeptes, toujours plus nombreux.
Comment va le marché du camping-car ? « Très bien ! », se félicite François Feuillet, patron de Trigano, numéro un européen du camping-car (2,3 milliards de chiffre d’affaires) et président d’Uni VDL, qui organise, jusqu’à dimanche, son 54e salon des véhicules de loisirs, au Bourget.
Près de 100 000 personnes y sont attendues. De la camionnette améliorée au château de Versailles sur roues, un millier de modèles sont exposés. En 2018, les immatriculations ont bondi : +12 % sur le neuf, +5 % en occasion. « Le prix de vente moyen avoisine les 60 000 €. »
Pourquoi ce succès ?
« Le camping-car profite à plein de ses trois valeurs inoxydables : liberté, économie et écologie », assure le président des industries du secteur. Après les baby-boomers, « qui en sont à leur deuxième ou troisième camping-car », les véhicules de loisirs voient arriver une nouvelle clientèle : « De jeunes couples, qui optent plutôt pour des modèles plus petits, type fourgon/van. »
Qui sont les constructeurs ?
Ils sont une dizaine en Europe. Le secteur emploie en France quelque 13 000 personnes, dont une bonne partie dans l’Ouest grâce à des acteurs comme Rapido (Mayenne), Pilote (Loire-Atlantique), Autostar (Côtes-d’Armor), Ouest VDL (Sarthe) ou Glénan Concept (Finistère).
Le Salon du véhicule de loisirs se tient jusqu’à dimanche, au Bourget. La France compte 3,4 millions d’adeptes, toujours plus nombreux.
Comment va le marché du camping-car ? « Très bien ! », se félicite François Feuillet, patron de Trigano, numéro un européen du camping-car (2,3 milliards de chiffre d’affaires) et président d’Uni VDL, qui organise, jusqu’à dimanche, son 54e salon des véhicules de loisirs, au Bourget.
Près de 100 000 personnes y sont attendues. De la camionnette améliorée au château de Versailles sur roues, un millier de modèles sont exposés. En 2018, les immatriculations ont bondi : +12 % sur le neuf, +5 % en occasion. « Le prix de vente moyen avoisine les 60 000 €. »
Pourquoi ce succès ?
« Le camping-car profite à plein de ses trois valeurs inoxydables : liberté, économie et écologie », assure le président des industries du secteur. Après les baby-boomers, « qui en sont à leur deuxième ou troisième camping-car », les véhicules de loisirs voient arriver une nouvelle clientèle : « De jeunes couples, qui optent plutôt pour des modèles plus petits, type fourgon/van. »
Qui sont les constructeurs ?
Ils sont une dizaine en Europe. Le secteur emploie en France quelque 13 000 personnes, dont une bonne partie dans l’Ouest grâce à des acteurs comme Rapido (Mayenne), Pilote (Loire-Atlantique), Autostar (Côtes-d’Armor), Ouest VDL (Sarthe) ou Glénan Concept (Finistère).