Attentats: ces blessures psychologiques qui continuent de faire des victimes
  • il y a 5 ans
Guillaume Valette, avait survécu à l’attaque au Bataclan. Tahar Mejri, a perdu sa femme et son enfant au cours de l’attentats de Nice. Tous deux sont morts quelques années plus tard. Leur entourage souhaite qu’ils soient reconnus comme des victimes directes des attentats, les blessures psychologiques étant insurmontable.
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