Les violences subies par les enfants restent dans leur ADN
  • il y a 6 ans
Une étude démontre que même à l’âge adulte, notre ADN peut receler des traces de violences subies durant l’enfance. 

Pire encore, les conséquences de ces violences peuvent se transmettre de génération en génération.

La période de la petite enfance, ainsi que l’adolescence, sont des périodes cruciales à la croissance d’une personne.

Les séquelles peuvent paralysées des personnes même au bout de plusieurs décennies.

Les facteurs environnementaux de la petite enfance peuvent affecter la méthylation de l’ADN des spermatozoïdes.

Sur 34 hommes, 22 d’entre eux ont gardés des traces de violence infantile (qu’elles soient de nature physiques, psychologiques ou sexuelles).
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