Allemagne : cours de séduction pour les réfugiés
- il y a 8 ans
En Allemagne, les réfugiés qui le souhaitent ont désormais droit à des cours de séduction pour trouver l‘âme soeur.
A Dortmund, un jeune coach leur a livré quelques uns de ses conseils, histoire d’accélérer les rencontres.
Depuis la vague de viols et d’agressions sexuelles lors du Réveillon, l’an dernier à Cologne, les réfugiés souhaitent désormais briser le mur de l’indifférence.
Jamal, étudiant syrien : “Parfois les Allemandes sont un peu racistes envers les réfugiés. Elles ne savent pas ce que pensent les réfugiés ni comment ils vivent. Certaines ont une mauvaise images de nous.”
Omar Mohamed, étudiant :
“La façon de vivre au Moyen-Orient est différente de celle des gens qui vivent ici en Europe, la religion est différente, les habitudes, la liberté. On n’ a pas ce genre de liberté comme ici en Allemagne.”
Le coach multiplie ses interventions à travers le pays, pour la bonne cause. Ses conseils, il les vend normalement à prix d’or à de riches Allemands célibataires.
Dans les rues de Dortmund, les Allemandes rencontrées saluent cette initiative :
Jasmin, une habitante :
“Une touche d’humanité, d’honnêteté, de confiance, c’est ce qui marche. Je me moque de savoir s’il vient de Syrie ou pas.”
Hannah, une résidente :
“Je suis une femme libre et je n’aime pas qu’on me limite, à part ça, je ne suis pas hostile. S’il est ouvert d’esprit, ça peut marcher”.
Même si de nombreux réfugiés ne maîtrisent pas encore la langue de Goethe, leur coach assure que le langage des signes, la patience et la gentilesse restaient d’excellentes cartes de visite.
A Dortmund, un jeune coach leur a livré quelques uns de ses conseils, histoire d’accélérer les rencontres.
Depuis la vague de viols et d’agressions sexuelles lors du Réveillon, l’an dernier à Cologne, les réfugiés souhaitent désormais briser le mur de l’indifférence.
Jamal, étudiant syrien : “Parfois les Allemandes sont un peu racistes envers les réfugiés. Elles ne savent pas ce que pensent les réfugiés ni comment ils vivent. Certaines ont une mauvaise images de nous.”
Omar Mohamed, étudiant :
“La façon de vivre au Moyen-Orient est différente de celle des gens qui vivent ici en Europe, la religion est différente, les habitudes, la liberté. On n’ a pas ce genre de liberté comme ici en Allemagne.”
Le coach multiplie ses interventions à travers le pays, pour la bonne cause. Ses conseils, il les vend normalement à prix d’or à de riches Allemands célibataires.
Dans les rues de Dortmund, les Allemandes rencontrées saluent cette initiative :
Jasmin, une habitante :
“Une touche d’humanité, d’honnêteté, de confiance, c’est ce qui marche. Je me moque de savoir s’il vient de Syrie ou pas.”
Hannah, une résidente :
“Je suis une femme libre et je n’aime pas qu’on me limite, à part ça, je ne suis pas hostile. S’il est ouvert d’esprit, ça peut marcher”.
Même si de nombreux réfugiés ne maîtrisent pas encore la langue de Goethe, leur coach assure que le langage des signes, la patience et la gentilesse restaient d’excellentes cartes de visite.