Bouilleur de cru, d'autrefois ?

  • il y a 10 ans
Dans le calendrier des activités qui rythment la vie de notre campagne auvergnate, l'hiver est la saison du distillateur ambulant.Celle de l'alambic où l'on arrive avec ses fruits et d'où l'on repart avec son eau-de-vie, sa goutte ou sa gnôle selon le terme que l'on préfère.
Cette année nous avons récolté nos poires du verger
pour les distiller dans cet
alambic d'une centaine d'année, une pièce de musée pour ainsi dire.
L'alcool ne doit pas dépasser plus de 50° à la restitution et il est coupé au delà de la valeur marchande grand public par le bouilleur de cru.
On se croirait du temps de la prohibition sous çette bâche qui bien qu'elle protège de la pluie, cache également des regards du public... Cette activité bien que légale est réservée exclusivement pour les propriétaires terriens comme nous, qui doivent s'acquitter d'une taxe douanière, elle est en voie de disparition puisque la descendance n'a plus ce privilège... Est-ce à dire, que la fin d'une tradition entraîne la fin de la ruralité.... je le crains mais au profit de qui ?
En el calendario de las actividades que ritman la vida de nuestro campo en Francia , el invierno es la temporada del destilador ambulante. ¿? El del alambique dónde se llega con sus frutas y de donde se va de nuevo con su aguardiente.
Este año cosechamos nuestras peras del vergel
Una tradición francesa para destilarlos en este alambique de una centena de año, una pieza de museo para decirlo así.
El alcohol debe hacer no más de 50 ° a la restitución y es cortado más allá del valor comercial gran público.
Nos creeríamos del tiempo de la prohibición bajo çette entolda a el quienquiera bien que proteja de la lluvia, también esconde miradas... Esta actividad aunque legal es reservada exclusivamente para los terratenientes como nosotros que deben cumplir un impuesto aduanero, está en vías de desaparición ya que la descendencia no tiene más este privilegio... ¿ Esto Tiene que decir, que la fin de latradiciónes provoca el fin de la ruralidad? Lo créo'...
¿Al que aprovecha el crimen?