Nukleel er Maez
- il y a 11 ans
Plusieurs centaines de manifestants se sont retrouvés au Faou le 10 mars 2013 en commémoration de la catastrophe de Fukushima
Du FAOU à FUKUSHIMA, LE NUCLEAIRE TUE L’AVENIR !
Ils ont manifester avec le Collectif NUKLEEL ER MAEZ pour la sortie du nucléaire civil et militaire, car tous deux :
● lèguent leurs déchets aux générations futures,
● sont entre les mains des mêmes puissances d’argent et de pouvoir,
● coûtent très cher aux contribuables,
● échappent à l’exercice de la démocratie,
● ont montré qu’ils pouvaient tuer aveuglément, massivement, même à distance, dans l’espace et dans le temps,
● ont montré qu’ils représentent pour les populations des menaces insupportables.
Le Japon a le triste privilège d’avoir subi, de manière dramatique, les conséquences de l’un et de l’autre. Eh bien ! Nous ne voulons plus d’Hiroshima ni de Fukushima.
Notre premier rassemblement le 11 mars 2012 a réuni près d’un millier de participants dans une chaîne humaine pour manifester notre solidarité avec le peuple japonais à la suite de la catastrophe de Fukushima et dire notre refus du nucléaire, technologie porteuse de destruction et de mort.
Le site choisi pour cette commémoration (Le Faou) se situe au centre d’un périmètre où les sites nucléaires abondent : la presqu’île de Crozon et L’île longue, base de la FOST (Force Océanique Stratégique), la rade et le port de Brest qui reçoit les SNLE et le porte-avions nucléaire Charles de Gaulle, la base aéronavale de Landivisiau, le site nucléaire des Monts d’Arrée (Brennilis).
Fukushima a ouvert les yeux de millions de gens sur la menace que représente le nucléaire, sur le caractère non-maîtrisable de ses catastrophes, quand par malheur elles surviennent.
Du FAOU à FUKUSHIMA, LE NUCLEAIRE TUE L’AVENIR !
Ils ont manifester avec le Collectif NUKLEEL ER MAEZ pour la sortie du nucléaire civil et militaire, car tous deux :
● lèguent leurs déchets aux générations futures,
● sont entre les mains des mêmes puissances d’argent et de pouvoir,
● coûtent très cher aux contribuables,
● échappent à l’exercice de la démocratie,
● ont montré qu’ils pouvaient tuer aveuglément, massivement, même à distance, dans l’espace et dans le temps,
● ont montré qu’ils représentent pour les populations des menaces insupportables.
Le Japon a le triste privilège d’avoir subi, de manière dramatique, les conséquences de l’un et de l’autre. Eh bien ! Nous ne voulons plus d’Hiroshima ni de Fukushima.
Notre premier rassemblement le 11 mars 2012 a réuni près d’un millier de participants dans une chaîne humaine pour manifester notre solidarité avec le peuple japonais à la suite de la catastrophe de Fukushima et dire notre refus du nucléaire, technologie porteuse de destruction et de mort.
Le site choisi pour cette commémoration (Le Faou) se situe au centre d’un périmètre où les sites nucléaires abondent : la presqu’île de Crozon et L’île longue, base de la FOST (Force Océanique Stratégique), la rade et le port de Brest qui reçoit les SNLE et le porte-avions nucléaire Charles de Gaulle, la base aéronavale de Landivisiau, le site nucléaire des Monts d’Arrée (Brennilis).
Fukushima a ouvert les yeux de millions de gens sur la menace que représente le nucléaire, sur le caractère non-maîtrisable de ses catastrophes, quand par malheur elles surviennent.