Des traces d'antidouleur dans des carcasses de cheval

  • il y a 11 ans
A mesure qu'avancent les enquêtes, liées aux différents scandales de la viande de cheval, de nouveaux éléments accablants viennent se joindre au dossier. Ainsi, la Grande-Bretagne vient de révéler que des carcasses de chevaux, destinées au marché français, contenaient des traces de phénylbutazone, un antidouleur potentiellement nocif pour l'homme.

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