J'attends d'un homme qu'il m'aime pour ce que je suis / La Femme gauchère
- il y a 11 ans
La Femme gauchère
d'après le roman de Peter Handke adaptation et mise en scène Christophe Perton avec Frédéric Baron, Ophélie Clavié, Yann Collette, Judith Henry, Vanessa Larré, Jean-Pierre Malo, Grégoire Monsaingeon, Olivier Werner
http://www.theatredurondpoint.fr/saison/fiche_spectacle.cfm/127978-la-femme-gauchere.html
du 7 février au 9 mars, 21h
Tout allait si bien. Entente cordiale, mariage harmonieux. L’enfant Stéphane semblait s’épanouir dans ce noyau familial planté n’importe où, par exemple à Clamart, banlieue parisienne. Grande maison sans crise. Marianne a laissé de côté son activité de traductrice pour élever son garçon. Aucun problème de banque ni de sexe. Une vie parfaite. Mais elle dévie soudain. Un matin, elle dit à Bruno, son mari : « Va-t’en, laisse-moi seule. »
Peter Handke prend le risque en 1978 d’adapter au cinéma La Femme gauchère et d’en signer la réalisation. Le metteur en scène Christophe Perton, après neuf années à la direction de la Comédie de Valence, a fait le choix de se remettre en jeu pour tenter de nouvelles expériences.
Les neuf personnages vacillent dans l’humour cruel de Handke. Ils se prennent les ondes sismiques du goût de la liberté de Marianne. Elle veut vivre, s’ouvrir au monde, se dégager de l’aliénation des rôles assignés.
d'après le roman de Peter Handke adaptation et mise en scène Christophe Perton avec Frédéric Baron, Ophélie Clavié, Yann Collette, Judith Henry, Vanessa Larré, Jean-Pierre Malo, Grégoire Monsaingeon, Olivier Werner
http://www.theatredurondpoint.fr/saison/fiche_spectacle.cfm/127978-la-femme-gauchere.html
du 7 février au 9 mars, 21h
Tout allait si bien. Entente cordiale, mariage harmonieux. L’enfant Stéphane semblait s’épanouir dans ce noyau familial planté n’importe où, par exemple à Clamart, banlieue parisienne. Grande maison sans crise. Marianne a laissé de côté son activité de traductrice pour élever son garçon. Aucun problème de banque ni de sexe. Une vie parfaite. Mais elle dévie soudain. Un matin, elle dit à Bruno, son mari : « Va-t’en, laisse-moi seule. »
Peter Handke prend le risque en 1978 d’adapter au cinéma La Femme gauchère et d’en signer la réalisation. Le metteur en scène Christophe Perton, après neuf années à la direction de la Comédie de Valence, a fait le choix de se remettre en jeu pour tenter de nouvelles expériences.
Les neuf personnages vacillent dans l’humour cruel de Handke. Ils se prennent les ondes sismiques du goût de la liberté de Marianne. Elle veut vivre, s’ouvrir au monde, se dégager de l’aliénation des rôles assignés.