La chute est longue, longue, longue et longue. Le temps de glisser ainsi dans le temps Fait que je peu lentement examiner chacune de mes pensées.
Un léger sifflement se fait entendre éffffffffff… éffffffffff… Mes yeux sont obscurcis de noir Mes oreilles fermées de silence éffffffffff… éffffffffff…
Et en bas de la tour immense Je vois en levant les yeux vers le ciel Un second missile moderne Percuter sans vélocité la nouvelle Babel
Je suis car je pense. Je suis car je vie. Silence.