Interview Alain Dinin: le renouveau de Nexity en 2012
- il y a 12 ans
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http://www.nexity.fr/lachaine/video/?sig=iLyROoafrXRJ
Vous avez toujours souhaité que Nexity ait un temps d’avance dans la relation avec ses clients. Pensez-vous être arrivé au bout des offres possibles ?
Nous sommes sur le chemin de l’évolution. Le logement est un sujet majeur autant pour les entreprises que pour les particuliers, surtout dans la période actuelle. La crise est encore là, et il faut que nous montrions que nous sommes plus des partenaires que des marchands.
Certains médias parlent de 2012 comme une année « sacrifiée » pour l’immobilier. En quoi pouvez-vous vous opposer à ces propos ?
Je ne m’y oppose pas, la notion de sacrifice n’existe pas. Le sujet dont parle la presse est essentiellement celui du logement des particuliers. La démographie, les évolutions de situations professionnelles et de la vie de famille font que les sujets de l’immobilier sont extrêmement importants, et sont trop chers. La plupart des gens ont des difficultés à accéder au marché de l’immobilier, même en location, les tarifs deviennent très élevés.
Il faut que l’on produise plus de logements en France, puisque l’afflux de nouveaux logements va faire baisser les prix d’ensemble, il faut qu’il y ait plus de logements à la location pour faire baisser ces prix, il faut que l’ensemble du dispositif fasse un effort.
Ces sujets-là ne sont pas sacrifiés en 2012, mais sont en phase de latence, puisque l’on attend le futur président. Il devra changer les choses. Les prix sont trop élevés, les capacités financières des ménages sont relativement plus faibles puisque les taux d’intérêts ont montés, tout cela crée un problème sur lequel Nexity a une action à jouer.
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Vous avez toujours souhaité que Nexity ait un temps d’avance dans la relation avec ses clients. Pensez-vous être arrivé au bout des offres possibles ?
Nous sommes sur le chemin de l’évolution. Le logement est un sujet majeur autant pour les entreprises que pour les particuliers, surtout dans la période actuelle. La crise est encore là, et il faut que nous montrions que nous sommes plus des partenaires que des marchands.
Certains médias parlent de 2012 comme une année « sacrifiée » pour l’immobilier. En quoi pouvez-vous vous opposer à ces propos ?
Je ne m’y oppose pas, la notion de sacrifice n’existe pas. Le sujet dont parle la presse est essentiellement celui du logement des particuliers. La démographie, les évolutions de situations professionnelles et de la vie de famille font que les sujets de l’immobilier sont extrêmement importants, et sont trop chers. La plupart des gens ont des difficultés à accéder au marché de l’immobilier, même en location, les tarifs deviennent très élevés.
Il faut que l’on produise plus de logements en France, puisque l’afflux de nouveaux logements va faire baisser les prix d’ensemble, il faut qu’il y ait plus de logements à la location pour faire baisser ces prix, il faut que l’ensemble du dispositif fasse un effort.
Ces sujets-là ne sont pas sacrifiés en 2012, mais sont en phase de latence, puisque l’on attend le futur président. Il devra changer les choses. Les prix sont trop élevés, les capacités financières des ménages sont relativement plus faibles puisque les taux d’intérêts ont montés, tout cela crée un problème sur lequel Nexity a une action à jouer.