Un Café Avec Foster The People - Interview VOST
- il y a 12 ans
http://www.3emeGauche.tv
http://itspop.blogspot.com
Si l'on ne devait retenir qu'une révélation pour 2011 dans la catégorie pop-rock, les lauriers reviendraient sans trop de risque de se tromper au quintette américain Foster The People.
De leur émergence sur la scène mondiale en début d'année, avec l'excellent titre Houdini et un EP éponyme ainsi qu'une poignée de shows énergiques mais brouillons (on se souvient d'un passage à la Flèche d'Or en mai), à leur installation en bonne place dans les charts mondiaux et en tête d'affiche des plus belles salles, il ne leur aura fallu que quelques mois.
Il faut dire qu'entre les deux, Marc Foster et ses acolytes ont signé LE tube indie-pop de l'année. Difficile en effet de passer à côté de Pumped Up Kicks, petite bombe irrésistible qui a fait les beaux jours des radios et des chaines musicales ces derniers mois.
Les cinq garçons originaires de Los Angeles, disposent de plus d'un atout pour séduire un public noyé par les productions dance-r&b génériques, et avides d'un peu de fraicheur : un album (Torches) rempli de perles aigre-douces, lorgnant tantôt sur la pop de stades efficace et entêtante, tantôt sur des compositions plus complexes et étonnantes, un show désormais rodé, énergique et enthousiasmant, et des minois parfaits pour contenter les groupies du premier rang (et les autres…).
A l'occasion de leur passage à Paris début novembre, dans le cadre du festival des Inrocks Black XS, où ils remplissaient sans peine la Cigale (certes aidés par Miles Kane et Friendly Fires, mais au vu du nombre de spectateurs connaissant leurs chansons par coeur, on sent qu'ils étaient en terrain conquis), nous avons eu le plaisir de rencontrer Mark, Cubie et Mark, respectivement chanteur, bassiste et batteur du groupe le plus courtisé du moment. L'occasion de faire le point sur une année folle, et des mois à venir qui le seront tout autant, si ce n'est plus. Où s'arrêteront-ils ?
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Si l'on ne devait retenir qu'une révélation pour 2011 dans la catégorie pop-rock, les lauriers reviendraient sans trop de risque de se tromper au quintette américain Foster The People.
De leur émergence sur la scène mondiale en début d'année, avec l'excellent titre Houdini et un EP éponyme ainsi qu'une poignée de shows énergiques mais brouillons (on se souvient d'un passage à la Flèche d'Or en mai), à leur installation en bonne place dans les charts mondiaux et en tête d'affiche des plus belles salles, il ne leur aura fallu que quelques mois.
Il faut dire qu'entre les deux, Marc Foster et ses acolytes ont signé LE tube indie-pop de l'année. Difficile en effet de passer à côté de Pumped Up Kicks, petite bombe irrésistible qui a fait les beaux jours des radios et des chaines musicales ces derniers mois.
Les cinq garçons originaires de Los Angeles, disposent de plus d'un atout pour séduire un public noyé par les productions dance-r&b génériques, et avides d'un peu de fraicheur : un album (Torches) rempli de perles aigre-douces, lorgnant tantôt sur la pop de stades efficace et entêtante, tantôt sur des compositions plus complexes et étonnantes, un show désormais rodé, énergique et enthousiasmant, et des minois parfaits pour contenter les groupies du premier rang (et les autres…).
A l'occasion de leur passage à Paris début novembre, dans le cadre du festival des Inrocks Black XS, où ils remplissaient sans peine la Cigale (certes aidés par Miles Kane et Friendly Fires, mais au vu du nombre de spectateurs connaissant leurs chansons par coeur, on sent qu'ils étaient en terrain conquis), nous avons eu le plaisir de rencontrer Mark, Cubie et Mark, respectivement chanteur, bassiste et batteur du groupe le plus courtisé du moment. L'occasion de faire le point sur une année folle, et des mois à venir qui le seront tout autant, si ce n'est plus. Où s'arrêteront-ils ?