Christophe, quarante cinq de carrière, soixante six ans au compteur, deux hits générationnels, plusieurs pôles positions et l'amour des virages à la corde. Dans le jargon des courses automobiles on appellerait ça une victoire par forfait, un succès par chaos, une espèce de survivance aux mortels. Lorsque le téléphone a sonné pour confirmer l'interview avec l'oiseau de nuit, on n'y a pas vraiment cru. Comme distancé, une fois encore, par le dernier des grands coureurs de jupons.