L'Australie aux Baux de Provence à Cathédrale d'Images
- il y a 14 ans
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« Je rêvais de l'Australie depuis le fond de mon village, depuis qu'un ami s'y est expatrié à jamais. Je portais en moi ce rêve secret d'aller un jour jusqu'au bout du monde rencontrer cette terre étrange....». Ce rêve enfin concrétisé, Jean Charbonneau, le réalisateur d'" Australia" propose de le partager et de servir de guide aux visiteurs des Baux-de Provence car, comme il le précise : « Le pays ne se livre pas au voyageur pressé...» Le nouveau spectacle de Cathédrale d'images est jusqu’en janvier 2011 sur les parois immenses de Cathédrale d'images. Il permet aux spectateurs de voyager dans ces contrées lointaines mais également de remonter le temps. De ces images parfois étonnamment contemporaines, on retiendra le silence, l'immensité des paysages, cette terre rouge, étrange et ce sentiment de solitude qui envahit le voyageur. Après avoir surfé sur la vague bleue, celle des peintres (Cézanne, Van Gogh et Picasso l'an dernier) le jeune directeur de Cathédrale d'images, Timotée Polad, a repris cette année le chemin des voyages comme il l'avait fait en 2007 avec "Venise". Et le public, 33 ans après la création de ce lieu insolite et accessible par Albert Plécy en 1977, est toujours au rendez-vous.
« Je rêvais de l'Australie depuis le fond de mon village, depuis qu'un ami s'y est expatrié à jamais. Je portais en moi ce rêve secret d'aller un jour jusqu'au bout du monde rencontrer cette terre étrange....». Ce rêve enfin concrétisé, Jean Charbonneau, le réalisateur d'" Australia" propose de le partager et de servir de guide aux visiteurs des Baux-de Provence car, comme il le précise : « Le pays ne se livre pas au voyageur pressé...» Le nouveau spectacle de Cathédrale d'images est jusqu’en janvier 2011 sur les parois immenses de Cathédrale d'images. Il permet aux spectateurs de voyager dans ces contrées lointaines mais également de remonter le temps. De ces images parfois étonnamment contemporaines, on retiendra le silence, l'immensité des paysages, cette terre rouge, étrange et ce sentiment de solitude qui envahit le voyageur. Après avoir surfé sur la vague bleue, celle des peintres (Cézanne, Van Gogh et Picasso l'an dernier) le jeune directeur de Cathédrale d'images, Timotée Polad, a repris cette année le chemin des voyages comme il l'avait fait en 2007 avec "Venise". Et le public, 33 ans après la création de ce lieu insolite et accessible par Albert Plécy en 1977, est toujours au rendez-vous.