Le président Donald Trump a accusé sans fondement l'ancien président Barack Obama et d'autres personnes de comploter illégalement contre lui, qualifiant cela de "trahison" et déclarant : "Il est temps de s'en prendre aux gens".
Abonnez-vous à notre chaine Dailymotion et recevez chaque jour le meilleur de l’actualité panafricaine.
Africanews est disponible en Français et en Anglais. Site web : fr.africanews.com Facebook : https://www.facebook.com/africanews.fr/ Twitter : https://twitter.com/africanews
00:00Le président Donald Trump a accusé l'ancien président Barack Obama et d'autres personnes de comploter illégalement contre sa personne.
00:08C'était face aux journalistes dans le bureau Oval, mardi, lors d'une réunion avec le président philippin, Ferdinand Marcos Jr.
00:17Mais vous savez quoi ? Si vous regardez ces papiers, ils les ont à l'état de pierre.
00:22Et c'était le président Obama. Ce n'était pas des tas de gens partout, mais le chef de la bande était le président Obama, Barack Hussein Obama.
00:32Avez-vous entendu parler de lui ? Et à part le fait qu'il est protégé par la presse toute sa vie, c'est lui. Il est coupable. Ce n'est pas une question.
00:44J'aime le dire, laissons-lui le temps. Il est coupable, c'est de la trahison.
00:52Donald Trump estime que Barack Obama, Hillary Clinton, l'ancien directeur du FBI et d'autres personnes, ont tenté de truquer son élection.
01:01C'était tous les mots possibles et inimaginables. Ils ont essayé de voler l'élection. Ils ont essayé de brouiller l'élection.
01:10Ils ont fait des choses que personne n'a jamais imaginées, même dans d'autres pays.
01:14Vous avez vu des pays assez durs. Cet homme en a vu d'autres, mais vous n'en avez jamais rien vu de tel.
01:20Et nous avons tous les documents. Et d'après ce que Tulsi m'a dit, elle a des milliers de documents supplémentaires à venir.
01:26Donc le président Obama, c'était son concept. Mais il l'a aussi obtenu de la véreuse Hillary Clinton, aussi véreuse qu'un billet de 3 dollars.
01:33Donald Trump s'exprimait dans le cadre d'un nouveau rapport du Renseignement national qui tente de réécrire l'enquête sur l'ingérence russe dans la présidentielle de 2016.