Le texte, facilité par le Qatar, engage les belligérants à « respecter leur engagement en faveur d'un cessez-le-feu permanent ». Il impose un calendrier serré pour un accord de paix global et révèle déjà de profondes divergences d'interprétation. Notamment sur la question cruciale du retrait des zones occupées dans le Nord-Kivu et le Sud-Kivu.