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[#Reportage] Gabon : Déclaration de Jean-François Ntoutoume Emane, président du RPR
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00:00Mesdames et messieurs, très chers lalaliens et habitants du 5e arrondissement, très chers journalistes, chers compatriotes,
00:18Alors, je suis venu cet après-midi pour vous parler, j'allais dire à cœur ouvert, le président Bourgois avait toujours coutume de dire que quand on exprime la vérité,
00:44c'est qu'avec le cœur, on ne lit pas le discours, c'est quelque chose de très construit, de très bien articulé, mais là c'est la raison, mais le cœur sans la raison ne nous amène pas très loin non plus.
01:05Si je n'ai pas fait de notes, si je n'ai pas écrit, c'est que je voudrais vous parler directement, mais cela ne veut pas dire que ce n'est pas quelque chose qui ne serait pas construit, qui ne serait pas articulé.
01:24Si j'ai décidé de venir m'adresser à mes amis, à mes compagnons de route, de route politique, j'entends,
01:45C'est que j'ai estimé que l'heure était venue pour que je vous dise réellement ce que je pense et quelles décisions, je vous demande, que nous prenions collectivement.
02:06Depuis plusieurs mois, vous ne m'avez pas vu ici, dans notre maison, notre siège, ni non plus à l'à-là-là ou au premier siège de notre arrondissement.
02:24C'est que j'ai été absent du Gabon, plusieurs fois, et aussi pour des raisons de santé, je n'ai pas pu, n'est-ce pas, être avec vous durant ces derniers mois.
02:45Je m'en excuse, je vous demande de me comprendre.
02:49Mais aujourd'hui, il faut que nous soyons tous suffisamment éclairés pour que dans quelques jours, nous prenions une décision qui, de ma part, s'impose.
03:09Le LPR est né légalement, a été légalisé le 20 janvier 2018.
03:23Nous nous sommes souvent retrouvés ici, dans ce siège, ou ailleurs, dans l'arrondissement.
03:42Nous avons tenu des causeries.
03:47Et pour les dernières élections législatives, non, les élections législatives de 2023,
03:56nous étions présents dans plusieurs circonscriptions de notre pays.
04:02à l'Estuaire, à l'Ogoué maritime, le Moyen-Ogoué, l'Ogoué-Ivindo, et aussi, dans la Nianga, nous avons eu des candidats.
04:17Et je crois que, si les résultats avaient été publiés, nous n'aurions pas eu moins de trois députés,
04:25ni moins de 20 conseillers locaux, mais ces élections ont été annulées, et le coup de libération a surgi.
04:36Mais le LPR a été créé pour être un parti de l'opposition.
04:55L'opposition au régime dictatorial et abject de Bongo à Kombaissi.
05:07Bongo, Ali Bongo, Indiba et à Kombaissi.
05:11A Kombaissi, ils sont directeurs de cabinet, qui se disaient d'ailleurs le vrai président du Kamban.
05:17Et il a posé des actes dans ce sens, mais des actes, évidemment, ignobles.
05:25pour le peuple gabonais et pour notre pays.
05:29Donc, c'était un parti de l'opposition.
05:34En plus, nous étions, personnellement, toutes mes mannes,
05:38nous étions membres du bureau directeur du CDR.
05:44Je vois, je le dis, ailleurs, le directeur, le président du CDR.
05:51Je ne sais pas qui l'a nommé président.
05:53Et puis, qui était notre président, ce CDR, je ne sais pas d'où il sort.
05:59Alors, nous étions donc dans l'opposition.
06:04Nous étions dans l'opposition.
06:07Nous demandions, nous méditions pour le départ d'Ali Bongo, Indiba.
06:14Moi, en tout cas, je suis parti du PDG.
06:21C'était en 2015.
06:26Je suis parti du PDG.
06:28Donc, nous combattions le régime dictatorial et abjecte d'Ali Bongo, Indiba,
06:39avec son directeur de cabinet à Combessie,
06:42qui se disait le vrai président du Gabon.
06:45Le général Oli Guigaman a servi, avec ses camarades.
07:00Ils ont fait ce qu'ils appellent le coup de la libération.
07:06d'Ali Bongo a été chassé du pouvoir.
07:13D'ailleurs, nous sommes en train de nous rendre compte, une fois de plus,
07:18la gâture extrêmement toxique de ce monsieur.
07:30On a dit ici qu'il était libre de ses mouvements.
07:34On l'a laissé partir avec sa femme et avec son fils,
07:41après avoir récupéré des centaines de milliards dans leur domicile à Libreville.
07:46Ils sont partis, mais une fois arrivés en France,
07:53ils introduisent une action en justice contre la République gabonaise.
08:02Contre la République gabonaise.
08:03On l'a laissé partir.
08:05On a dit qu'il était libre de ses mouvements,
08:09avec tout ce qu'il a commis comme crime.
08:12Crime de sang.
08:14Renjambé, Sornet, et beaucoup d'autres.
08:20Crime économique.
08:22En laissant le Gabon avec une dette
08:24qui plafonnait à près de 8 000 milliards.
08:32Mais il est parti libre.
08:36Une fois arrivé en France,
08:37tac, il introduit, il entend une guerre judiciaire contre le Gabon.
08:45Bref.
08:47Mais, avec le coup de la libération,
08:53nous devons nous rendre compte que le paysage politique gabonais
08:57a pris une autre figure que celui que nous combattions n'est plus là.
09:05Le régime que nous combattions n'est plus là.
09:10Il y a un nouveau régime.
09:13Il y a, après la transition,
09:15il y a maintenant la cinquième république.
09:20Donc, il faut voir.
09:22Il faut analyser tout ça
09:24avec réalisme,
09:27intelligence,
09:29et je dirais même
09:30avec du patriotisme.
09:32Parce que je crois qu'on ne peut pas faire
09:36de politique vraie
09:39si on n'est pas patriote,
09:41si on n'aime pas son pays.
09:44On fait de la politique
09:45pour que son pays aille mieux,
09:48qu'il évolue,
09:49qu'il grandisse,
09:50que ses populations
09:51soient quelque peu heureuses.
09:55On ne fait pas de la politique
09:57pour faire de la politique,
09:59pour amuser la galerie.
10:00Non.
10:01Alors,
10:03puisque nous ne sommes plus
10:07en 2022,
10:12nous sommes maintenant
10:13en 2025
10:15après une transition.
10:18Et il y a eu de nouvelles élections
10:20et le nouveau président
10:21a été élu.
10:24Il a eu un score de pape,
10:27de baréchal,
10:29comme on dit,
10:29de plus de 94%
10:32de Monteloup.
10:34Donc,
10:35j'estime que
10:36nous devrions revoir
10:40notre posture,
10:42notre position
10:43sur l'échiquier politique.
10:46Je pense personnellement
10:57que
10:57quand on rentre en politique,
11:02quand on fait de la politique,
11:03quand on pratique de la politique,
11:07il faut savoir que la politique,
11:09c'est comme un organisme vivant,
11:13est un organisme vivant
11:16qui suit une évolution.
11:22On est un bébé,
11:26on est un enfant,
11:28on est un adolescent,
11:31on est un adulte,
11:32on est un vieux,
11:35on termine un vieillard,
11:39pour ceux qui ont la chance
11:40de terminer vieillard.
11:43Mais la plupart
11:44partent
11:45avant d'être vieillards.
11:47Mais il y a une évolution.
11:51Il ne faut pas croire
11:52que la politique,
11:53c'est quelque chose
11:53de figé,
11:55d'immobile,
11:56qu'on occupe
11:59une position
12:00qu'on continuera
12:02à l'occuper.
12:04Non, la politique,
12:06c'est aussi
12:06un organisme vivant
12:08qui évolue.
12:10Qui évolue,
12:12mais il évolue
12:14en fonction aussi
12:15de l'évolution
12:17de la société
12:18et de la politique
12:19du gouvernement
12:20qui est là.
12:23Je pense que
12:25le MPR
12:30doit faire
12:32une lecture
12:34intelligente
12:36de la situation
12:38politique actuelle.
12:43Il faut savoir
12:44que
12:45si on est
12:47dès,
12:49on a été
12:50un enfant,
12:52on a été
12:53un adulte,
12:54on est maintenant
12:55un vieux,
12:57peut-être pas encore
12:58un vieillard,
13:00mais que
13:00on évolue.
13:03Mais si
13:04on ne fait pas
13:05une politique
13:06intelligente
13:09de cette évolution,
13:10eh bien,
13:11vous êtes perdus.
13:11voilà pourquoi,
13:15en ce qui me concerne
13:17personnellement,
13:21en ce qui me concerne
13:22personnellement,
13:26je suis rentré
13:27en politique,
13:30c'est le docteur
13:32Éloi Chambrier.
13:33je suis rentré
13:36des études
13:37avec des petits
13:39diplômes
13:39et j'ai été
13:42déjà intégré
13:43parce que
13:44à l'époque,
13:46la loi
13:46Léon-Bas,
13:47quand
13:47vous étiez
13:47étudiant,
13:48quand vous aviez
13:49une licence,
13:50vous étiez
13:51en ce qui manait
13:52de médecine,
13:53automatiquement,
13:54vous demandez
13:55votre intégration
13:56dans la fonction
13:56publique.
13:57cela nous permettait
14:00d'avoir
14:01plus la bourse
14:02Rikiki,
14:04mais une bourse
14:04relativement
14:05substantielle
14:06pour ceux
14:08qui se lançaient
14:09dans des études
14:10supérieures,
14:12maîtrise,
14:12à l'époque,
14:13la maîtrise
14:13n'existait pas.
14:15On parlait
14:15des DS,
14:16des diplômes
14:17d'études supérieures
14:18avant
14:19de commencer
14:20son doctorat.
14:22Donc,
14:22j'étais déjà
14:23fonctionnaire
14:25après avoir été
14:27fait des études
14:28de droit,
14:30un peu d'économie,
14:31de sociologie,
14:33après avoir été
14:34au Fonds Monétaire
14:34International
14:35à Washington
14:37pendant deux ans
14:38et après avoir
14:40passé mon,
14:42après avoir eu
14:42mon doctorat en droit,
14:43des choses comme ça,
14:45j'étais donc
14:46fonctionnaire d'abolisme.
14:47Mais j'arrive,
14:49je vais voir,
14:50à l'époque,
14:50c'était le père Mikko.
14:52Le père Mikko,
14:53c'était le père
14:54de mon grand frère
14:56de mon grand frère
14:58Mikko,
15:01non ?
15:01Mikko,
15:02Henri Mikko,
15:05son père
15:06qui était ministre
15:07de la fonction publique.
15:08Samuel,
15:09Samuel,
15:10Samuel Mikko,
15:11donc voilà,
15:12je suis allé le voir,
15:14papa,
15:14je rentre,
15:15je suis intégré,
15:16normalement,
15:17je dois aller
15:18aux finances,
15:19mais pourquoi
15:20tu as fait
15:20tous ces diplômes-là,
15:21pourquoi,
15:21pourquoi,
15:22pourquoi ?
15:23Bref,
15:23et je suis resté
15:25deux ans
15:25sans emploi.
15:28Deux ans
15:29sans emploi.
15:31Et c'est comme ça
15:32que Chamblier
15:33et Loa,
15:34le docteur,
15:36qui connaissait
15:36mon père
15:37qui était infirmier
15:38avant,
15:41je me cherchais
15:42quand le congrès
15:44se tenait
15:45à l'ancien lycée
15:47technique,
15:49il me présente
15:50au moeur Bongo
15:50et il y a
15:51ce garçon
15:51à la plume,
15:53il écrit bien,
15:54il a les diplômes
15:55qu'on le met
15:56directeur général
15:57du journal Dialogue.
16:00C'est comme ça
16:01que je suis devenu
16:02directeur général
16:03du journal Dialogue,
16:05la thème du congrès
16:06et de ce fait,
16:08je suis rentré
16:08au bureau politique
16:09directement escalier.
16:12Je n'ai jamais signé
16:14de fiche d'adhésion
16:16au PDG.
16:18Je suis devenu
16:19au PDG
16:20en devenant
16:21directeur général
16:22du journal Dialogue
16:24et de ce fait,
16:26membre
16:26escalier
16:27du bureau politique.
16:29Et je suis resté
16:30aux côtés
16:31de Marbonco
16:31presque 30 ans,
16:3430 ans,
16:36presque 18 ans
16:37ministre d'État
16:38conscient d'être
16:38et 7 ans
16:401er-ménie,
16:41c'est depuis 5 ans
16:42à la mairie.
16:42J'étais toujours là.
16:45Et je pense
16:46que j'ai beaucoup
16:49donné de mon énergie,
16:51de ma jeunesse,
16:52de mon intelligence
16:53au PDG
16:55de Marbonco,
16:56au vrai PDG.
16:59Le libéralisme
17:00économique
17:01est planifié,
17:04c'est tout
17:04mais parce qu'il a écrit.
17:05C'est tout
17:09mais parce qu'il a écrit.
17:11Et j'ai effectué
17:12à la demande du président
17:13avec
17:14Julien Po
17:15des visions
17:17périlleuses.
17:19En Kabinda,
17:21en Angola,
17:22quand il y avait
17:23la guerre,
17:25nous avons même
17:25failli
17:27périr
17:28à la journée
17:28avec un projet.
17:29quand j'entends
17:31parler du PDG
17:32de maintenant,
17:33d'Ali Bongo,
17:35le PDG
17:35de Mouridine,
17:36de Sylvie,
17:37de Ossiani,
17:40moi, je ne suis pas là-dedans.
17:41Alors,
17:44j'ai fait tout ça.
17:46Mais,
17:47j'estime que
17:48quand on fait
17:50de la politique,
17:51je reviens
17:52sur ce que
17:52je vous ai dit,
17:54il faut savoir
17:55évoluer.
17:57Il faut savoir
17:58évoluer.
18:00Je suis à l'âge,
18:02j'ai été
18:02pré-bénénie
18:04sept ans,
18:07au temps
18:07du
18:08multipartisme,
18:10ce n'était pas
18:10au temps
18:11du boulot-partisme.
18:12Mon grand frère
18:12Benjamin Léon
18:13est resté,
18:14je crois,
18:14il y a sept ans.
18:16Mais je crois
18:16qu'au temps
18:17de multipartistes,
18:18personne n'est resté
18:20là,
18:22à la privature,
18:22aussi longtemps
18:23que moi.
18:25J'étais
18:26ministre d'État,
18:27j'étais censé
18:27de la Banque Centrale,
18:29je crois que
18:30ça suffit.
18:32J'ai évolué
18:34et j'estime
18:36qu'à mon âge,
18:39avec les petits-enfants
18:41qui sont
18:41toutes une myriade
18:42et avec
18:45d'autres
18:46responsabilités,
18:48les petits-enfants
18:49viennent me mettre
18:49la tête
18:50de leur association.
18:52Il va falloir
18:53que je me rende
18:53au Kenya,
18:55que je me rende
18:56à Jérusalem,
18:57que je me rende
18:58en Irak,
18:59que je me rende
19:00en Égypte.
19:02le sillage
19:04des fonds
19:05qui viennent
19:05de la Terre Sainte
19:06sont passés
19:07par l'Irak,
19:09l'Égypte,
19:10près de plus de 400
19:11descendus
19:12au Kenya,
19:13remontés,
19:14voilà pourquoi
19:14vous avez des Obamas,
19:16c'est Obam,
19:17comme les Camerounais
19:18disent Obama.
19:18Et j'ai d'autres
19:23choses à faire
19:24également.
19:26Et j'estime que
19:27quand on a
19:28une excellence politique
19:30et quand on est
19:32arrivé à un certain âge,
19:35ce que vous devez faire,
19:38ce que moi je compte faire,
19:41c'est de donner
19:43des conseils,
19:43des conseils avisés
19:47à ceux qui me les demandent.
19:49Je ne donne pas
19:50des conseils comme ça,
19:51on me demande,
19:52de donner des conseils
19:54et de témoigner,
19:57témoigner ce que j'ai vécu,
20:02voilà, voilà, voilà,
20:03si les gens peuvent
20:03tirer des leçons de cela,
20:06de témoigner
20:07par parole,
20:10mais surtout
20:10par écrit.
20:11On appelle ça
20:13ailleurs des mémoires.
20:16Donc,
20:16j'estime que
20:17étant arrivé
20:19à cet âge-là,
20:22l'âge de donner
20:22des conseils
20:23sur
20:24l'âge de témoigner.
20:29Et en témoignant,
20:31on peut donner
20:32des conseils
20:32pour dire que
20:33telle chose
20:33doit être faite
20:35de telle façon
20:35pour que
20:36vous atteignez le Dieu.
20:39Voilà pourquoi
20:40j'estime
20:41que je n'ai plus
20:44à faire
20:45de la politique
20:46active.
20:48À faire
20:49de la politique
20:49active,
20:50les parties,
20:51dans les réunions,
20:53dans les...
20:53Moi, j'hésite
20:54comme moi,
20:55c'est comme ça
20:55que je vois les choses
20:56s'éterminer.
20:59Je dois donner
21:00des conseils
21:05pour écrire,
21:07et voyager.
21:08vous allez
21:12se discuter
21:13à corps,
21:15faire des histoires
21:15de vétiques,
21:16parler là-bas,
21:17en disant des pensants,
21:18je ne suis plus là-dedans.
21:19alors,
21:26la conséquence
21:27de tout ça,
21:29la conséquence
21:31de tout ça,
21:32c'est que
21:32le RBR
21:34que j'ai créé,
21:37le RBR,
21:40je crois
21:40qu'il ne devra plus
21:41exister.
21:42et le congrès
21:45que nous avons
21:46tenu dans
21:46deux ou trois jours,
21:48c'est le conseil
21:49que moi,
21:49je donnerai
21:50à mes camarades.
21:52Mais,
21:54puisque la politique,
21:57elle est là,
21:59la vie continue,
22:00les jeunes,
22:02ils viennent
22:03être promus
22:03quelque part.
22:05En donnant
22:06les conseils,
22:07je peux toujours aider.
22:09Je peux toujours aider.
22:09et je crois
22:11que
22:12mes proches,
22:15mes enfants,
22:16ils sont nombreux,
22:18mes petits-enfants,
22:19ce bon petit-enfant,
22:22il est très actif
22:22en politique.
22:24Dans le vie,
22:27je devrais
22:27donner des conseils.
22:32Le paysage politique,
22:33voilà ce qu'il est.
22:36Le présent,
22:37on dit,
22:37il est de payer
22:39les partis politiques.
22:43Et depuis,
22:45le goût
22:46de la libération
22:47par les actes
22:51dans tous les domaines,
22:53particulièrement
22:55dans des infrastructures,
22:57le domaine
22:58des infrastructures routières,
23:01dans le domaine
23:02des infrastructures scolaires
23:04et universitaires,
23:07dans le domaine
23:08des infrastructures sanitaires,
23:09ce qu'il a fait
23:13en deux ans
23:14ou trois ans,
23:16le pouvoir
23:17précédent
23:19n'a pas fait
23:20le centième.
23:22D'ailleurs,
23:24il n'a pas fait
23:25le centième,
23:26il a fait
23:27le contraire,
23:28ça veut dire
23:29plonger le Gabon
23:31dans une force
23:34abyssale incalculable.
23:37Et aujourd'hui,
23:39le président
23:39Odigui
23:40est en train
23:41de nous sortir
23:44de cette force
23:46abyssale.
23:47et je voudrais parler
23:53un peu
23:53du patriotisme.
23:55Ce qu'il fait,
23:58cela prouve,
24:01pour ceux qui sont sincères,
24:03qui sont objectifs,
24:04que ces messieurs
24:08à la fibre
24:10patriotique.
24:12Aucun pouvoir
24:13n'est pas fait
24:14sur Terre.
24:16Aucun.
24:18Vous pouvez aller
24:19en Amérique,
24:21en Amérique du Sud,
24:22en Amérique du Nord,
24:23Canada,
24:24l'asique,
24:25aucun pouvoir
24:26n'est pas fait.
24:29Le pouvoir,
24:30c'est à l'image
24:31de l'homme,
24:32l'être humain.
24:34L'être humain,
24:35tout ce qui ne sont pas
24:36parfaits,
24:36aucun n'est pas fait.
24:38Même celui dont on dit
24:39que c'est un grand monsieur,
24:40mais quelque part,
24:42il a aussi
24:42des insuffisances,
24:45des défauts.
24:47Mais ce que le président
24:48lui dit fait,
24:50ce que je vois,
24:51chez moi,
24:54la la la,
24:54cahier,
24:57c'est pour voir
24:57la cité d'Emeraud,
25:00ce qui se passe
25:01vers le camp,
25:03l'autoroute
25:03qui va aller
25:04jusqu'à tout,
25:05sans parler
25:06de la voie
25:08de contrôle de mort.
25:09Le soir,
25:10quand vous y allez
25:11à 19h,
25:1220h,
25:13en voiture éclairée,
25:14vous mettez la musique
25:15dans votre voiture,
25:17vous regardez,
25:18vous dites,
25:18oui,
25:19le cabron
25:20est en train
25:21de sortir
25:22de l'Ibanse fausse
25:24où on l'a enfui
25:26pendant 14 ans.
25:28Vous dites,
25:29oui,
25:30voilà pourquoi
25:31je demande
25:34à Bétre et Proche
25:35aux militants
25:36demain
25:37de rejoindre
25:40le parti
25:41du président
25:42de la République
25:43et aux autres
25:46aussi quelques-uns
25:47de rejoindre
25:49le parti
25:50de
25:51de
25:53de
25:53de
25:53de
25:53de
25:53de
25:53de
25:53de
25:53de
25:53de
25:53de
25:53de
25:53de
25:54de
25:55de
25:55de
25:57de
25:59de
26:01de
26:01aussi
26:01ce parti
26:02là.
26:05Voilà un peu
26:05des conseils
26:06que je vous donne.
26:08Même mes enfants,
26:09ils sont tous majeurs.
26:11Je n'ai pas leur imposé
26:12quoi que ce soit,
26:14mais je leur donne
26:15des conseils.
26:17Je suis à l'âge
26:18des conseils.
26:19Je suis à l'âge
26:20des mémoires,
26:22des témoignages.
26:24Témoigné par parole,
26:26témoigné par écrit.
26:28Et comme j'aime un peu
26:30écrire,
26:32si j'ai un peu de temps,
26:33voilà ce que j'ai à faire.
26:35Donc,
26:37ceux qui viennent me revoir
26:38pour me donner des conseils,
26:39je leur donne des conseils.
26:41Sinon,
26:41je passe mon temps
26:42à
26:44écrire
26:46et parler
26:48de ce que j'ai vécu
26:49à côté de
26:50Bacombo
26:51et à côté
26:52d'autres grands hommes.
26:54Voilà,
26:55chers amis,
26:56ce que je voulais vous dire
26:58ce soir.
27:05Oui,
27:06bien.
27:06Sous-titrage Société Radio-Canada
27:16Sous-titrage Société Radio-Canada
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