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News
Transcription
00:00Générique
00:00Au sommaire de ce prêt de chez nous pour mieux lutter contre le cancer colorectal encore peu connu du grand public,
00:20ONG, journalistes et professionnels de santé se sont réunis autour d'une session d'échange et de sensibilisation.
00:26Un nouveau dispositif pour la prise en charge immédiate et équitable des victimes d'accidents de la route a été lancé en Côte d'Ivoire.
00:33Et le film Sacrifice, réalisé par Landry Agbadou, a été projeté en avant-première 2025 devant une salle comble.
00:41Bienvenue dans le prêt de chez nous.
00:45Dans une même salle, ONG, journalistes et spécialistes de la santé, unis par un objectif commun,
00:51lutter efficacement contre le cancer colorectal en Côte d'Ivoire.
00:55Mais pourquoi mettre l'accent sur le cancer colorectal, une question centrale à laquelle les experts ont répondu,
01:01chiffres et réalités médicales à l'appui.
01:04Nous avons souhaité parler du cancer colorectal parce qu'il s'agit d'un cancer qui occupe une place importante dans notre pratique quotidienne.
01:11C'est le cinquième cancer en termes de nombre de nouveaux cas selon les chiffres de 2022,
01:17avec 1057 nouveaux cas diagnostiqués en 2022.
01:21C'est de réduire l'impact de la maladie cancéreuse sur la population.
01:28On parle des activités de promotion, de prévention, de prise en charge et de recherche.
01:37L'initiative a été saluée par l'ensemble des participants, notamment les représentants de la société civile.
01:43Nous avons vraiment appris beaucoup et c'est des choses que nous ne savions pas.
01:48Ils nous ont donné beaucoup plus d'éclaircisse là-dessus, ce qui va nous permettre de pouvoir rencontrer la population avec
01:56et de leur expliquer le bien fondé surtout des dépistages et des suivis.
02:05Encore méconnus du grand public, le cancer colorectal gagne à être combattu avec une synergie d'acteurs.
02:12En mobilisant ONG et médias, les organisateurs espèrent amplifier la sensibilisation et faire reculer la maladie.
02:22Un nouveau dispositif est désormais en place pour garantir une prise en charge médicale immédiate, digne et sans discrimination des victimes d'accidents de la circulation.
02:30Pour concrétiser cette avancée, une double convention cadre a été signée le jeudi 3 juillet entre le Fonds de garantie automobile,
02:39l'Association des sociétés d'assurance de Côte d'Ivoire et le système de la carte brune de la CDAO.
02:44Le gouvernement, de concert avec les acteurs milieux de l'assurance, notamment l'Azassi et la carte de la CDAO,
02:50a mis en place le dispositif pour que lorsque les victimes arrivent, systématiquement les victimes soient prises en charge.
02:56Et puis ensuite, on va faire une action recristoire.
02:58L'action recristoire consistera à voir quel est l'organisme qui est impliqué dans l'accident,
03:03quel est l'organisme dont la garantie est impliquée dans l'accident.
03:06Et nous allons faire l'action recristoire pour faire en sorte qu'on pouvait recouvrir les ressources engagées
03:10par le Fonds de garantie automobile à l'effet d'assurer la pérennité de l'activité.
03:15Une initiative soutenue par le gouvernement et saluée par l'ensemble des parties prenantes.
03:20Nous ferons fort avec le directeur général du Fonds de garantie automobile pour rendre opérationnelle cette convention
03:28et donner le meilleur de nous-mêmes pour que, évidemment, nos victimes, sur les accidents de la circulation,
03:36qui n'ont pas demandé à être victimes d'accidents,
03:37mais qui se retrouvent soit transportées dans les véhicules de transport ou bien des piétons,
03:42que ces victimes-là puissent avoir un répondant pratique, un répondant opérationnel
03:46lorsqu'elles arrivent dans les CHI et dans les services d'urgence de nos hôpitaux.
03:52Il faut dire que ça sera une première dans l'espace et nous nous engageons également à nous faire fort
03:57de communiquer auprès des autres États membres sur la mise en œuvre de ce dispositif
04:02et permettre son habitation effective.
04:04Cette réforme s'appuie sur le décret numéro 2024-996 du 20 novembre 2024,
04:11signé par le président de la République.
04:14Il redéfinit les missions, le mot de financement et les mécanismes d'indemnisation du FGA.
04:22Salle comble et ambiance électrique pour l'avant-première de Sacrifice,
04:26le nouveau film du réalisateur Landry Agbadou.
04:29Un moment fort, prolongé par une séance de sensibilisation, preuve que le cinéma peut aussi faire réfléchir.
04:35On peut penser aussi à Petit Budget, tout en réfléchissant depuis le départ,
04:40avec le décor, avec aussi les acteurs, vous avez vu dans le film, c'est des acteurs assez réduits
04:46et c'est possible s'il y a beaucoup d'intelligence et beaucoup de travail qui est par derrière.
04:51C'est vraiment pour motiver tout le monde à rêver qu'on peut faire du cinéma.
04:55Classé dans le genre épouvante horreur, le film a reçu un accueil enthousiaste de la part du public comme des acteurs.
05:03Quatre personnages principaux, une atmosphère pesante et des thèmes profonds,
05:07pratiques occultes, réincarnation, époque coloniale.
05:10Dans ce film, le voir maintenant sur grand écran, ça donne des frissons.
05:16Et je suis très très content du travail réalisé par une équipe technique de AIM, le Panic de Champs.
05:23J'ai aussi aimé le jeu d'Arthur Landry, aussi le jeu d'Audrey, parce que je me dis que ce ne sont pas des rôles qu'on ne voit pas.
05:31Donc pour pouvoir incarner cela, il faut vraiment un travail de faux.
05:35Et donc je salue le travail qui a été fait derrière.
05:37Déjà récompensé au Nysador 2024, Landry Agbadou confirme son style.
05:42Un cinéma audacieux, engagé et résolument différent, qui interroge autant qu'il captive.
05:48A Diego Nefla, la journée de l'enfant a été marquée par une rencontre citoyenne organisée par le centre social.
05:58Elle a surtout été un moment d'échange entre leaders communautaires, éducateurs et parents,
06:03réunis pour analyser les réalités que vivent les enfants de la commune et proposer des solutions concrètes.
06:09Je découvre qu'il y a beaucoup d'enfants qui ne sont pas épanouis, placés après le décès du père et à la famille, qui déshéritent l'enfant.
06:18Même pour la nourriture, c'est un souci. Il n'a pas les fournitures au Montpellier.
06:22Mais on s'est fait sur une vision des réussites de nos enfants. Dans ces conditions, l'enfant ne peut pas atteindre ce milieu.
06:27Je suis tout le papa, parce qu'on veut le bien de nos enfants.
06:31Et quand on garde nos enfants dans la maison, on veut aller gâter les enfants des autres dehors.
06:34Moi-même, j'ai vécu ça. Et quand mes filles sortent, je leur dis, celui qui vous demande vos numéros,
06:39celui qui veut sortir avec vous en cassette, donnez mon numéro.
06:42Les échanges ont permis de faire émerger plusieurs pistes d'action.
06:46Zita Yolande Kouame, directrice du centre social, a pris note des propositions.
06:51Un certain nombre d'engagement a été pris. Et donc, c'est la pratique qu'il fait désormais.
06:56La mise en œuvre de ces engagements que nous avons pris ensemble aujourd'hui,
07:01pour une meilleure vision de nos enfants à Diegonefla.
07:05En initiant cette journée de réflexion, le centre social de Diegonefla
07:09entend poser les bases d'un meilleur encadrement des enfants,
07:13avec l'implication de tous les acteurs locaux.
07:15C'est la fin de ce prêt de chez nous. Merci de l'avoir suivi.
07:18L'information continue sur cette info et sur cette info.ci.

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