À deux ans de l’échéance présidentielle, une évidence s’impose : les électeurs ne demandent pas un homme providentiel, encore moins une start-up nation. Ce qu’ils cherchent, confusément mais puissamment, c’est le retour du politique — du vrai. Pas du théâtre. Pas de l’incantation. Une parole tenue, une direction claire, un cap qui fasse société. [...]