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  • 04/07/2025
Ce texte analyse le recul apparent des élites mondialistes en 2025 après des années d’offensive marquée par des mesures autoritaires (confinements, surveillance de masse, idéologie woke). L’auteur souligne que leur silence actuel n’est pas un aveu de défaite, mais plutôt un changement de stratégie.

Après l’échec partiel du Great Reset (rejet des monnaies numériques, résistance aux restrictions), les mondialistes semblent se replier. Pourtant, leur influence persiste, notamment à travers l’escalade en Ukraine, où des provocations pourraient délibérément pousser vers une guerre OTAN-Russie.

L’hypothèse avancée est que ce conflit servirait à :

Masquer un effondrement économique ;

Légitimer un contrôle autoritaire accru ;

Rallier l’Occident autour d’un ennemi commun.

En conclusion, l’auteur met en garde contre ce « calme trompeur » : loin d’avoir abandonné, les globalistes préparent peut-être une phase plus brutale, où la guerre remplacerait la persuasion. Le silence actuel annoncerait non pas leur retrait, mais une tempête à venir.

Style : Analytique, alarmiste, teinté de théorie du complot.
Public cible : Lecteurs critiques envers le mondialisme, sensibles aux enjeux géopolitiques et libertés individuelles.
Objectif : Alerter sur une possible manipulation par crise orchestrée.

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Transcription
00:00Depuis quelques années, les élites mondialistes ont mené une offensive sans précédent.
00:05Propagande woke, dictates sanitaires, surveillance de masse, leur agenda était clair.
00:11Pourtant, en 2025, un étrange phénomène se dessine.
00:16Ceux qui incarnaient le nouvel ordre mondial se font discrets.
00:19Silence médiatique, discours édulcoré, projet mis en veille.
00:23Que cache ce repli soudain ?
00:25Défaite temporaire ou préparation d'une nouvelle phase, plus violente.
00:30Du « Great Reset » à la régression silencieuse.
00:34Entre 2019 et 2022, la marche forcée vers un monde centralisé semblait irréversible.
00:41Pandémie, confinement, passe sanitaire, restriction des libertés.
00:46Chaque crise servait de prétexte à davantage de contrôle.
00:50Le Forum économique mondial et ses alliés, ONG, multinationales, médias, promettaient un « monde nouveau ».
00:58Fin de l'argent liquide, économie verte sous tutelle, surveillance généralisée.
01:03Mais aujourd'hui, plus personne n'ose parler de « Great Reset ».
01:08Larry Fink, BlackRock, évoque même la fin de la mondialisation.
01:13Pourquoi ? Parce que la résistance a grandi.
01:17Les peuples ont refusé les CBDC, monnaie numérique,
01:20contesté les dérives idéologiques dans l'éducation et rejeté les médias traditionnels.
01:25Les mondialistes ont été trop loin, trop vite.
01:27Un recul stratégique ?
01:30Aux États-Unis, les restrictions sanitaires ont été abandonnées.
01:34Les frontières se durcissent, le wokisme scolaire est remis en cause
01:37et la défiance envers les institutions atteint des sommets.
01:41En Europe, malgré l'inertie des gouvernements,
01:44les mouvements conservateurs gagnent du terrain.
01:46La peur a changé de camp.
01:48Mais attention, ce recul apparent n'est pas une capitulation,
01:52c'est une adaptation.
01:53Les mondialistes n'ont pas renoncé à leur projet.
01:57Ils l'ont simplement repensé.
01:59Et leur nouveau champ de bataille s'appelle l'Ukraine.
02:02L'Ukraine, catalyseur d'une guerre mondiale.
02:05Si les discours se font rares, les actes, eux, se multiplient.
02:09Frappes sur des radars nucléaires russes,
02:11attaques de drones en territoire russe,
02:13escalades militaires calculées.
02:15Tout indique une volonté délibérée de pousser Moscou à la faute.
02:19Le scénario redouté ?
02:20Une riposte massive russe contre Kiev,
02:23suivie d'une intervention occidentale,
02:25puis d'un conflit haut en Russie.
02:27Un piège géostratégique où tout le monde perdrait.
02:30Sauf peut-être ceux qui rêvent d'un chaos constructeur.
02:34Car une guerre majeure permettrait
02:36de détourner l'attention d'un effondrement économique imminent.
02:40De justifier un contrôle renforcé.
02:42Censure, restriction, gouvernance d'urgence.
02:46De relancer l'unité occidentale sous la bannière d'un ennemi commun.
02:50Conclusion, le calme trompeur.
02:53Le silence des élites n'est pas un signe de faiblesse.
02:56C'est une concentration de force.
02:58Fini les grands discours sur le climat ou l'inclusion.
03:01Place aux manœuvres discrètes.
03:04L'Ukraine pourrait n'être qu'un prétexte,
03:06un levier pour imposer ce que la persuasion n'a pas réussi à accomplir.
03:10Et si ce silence était celui qui précède l'explosion ?
03:13Merci encore pour votre attention,
03:15et à bientôt.

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