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«Je ne suis pas sûr que l'écologie politique soit bien défendue que ce soit par Emmanuel Macron ou des Écologistes», déclare Jules Torres
Europe 1
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03/07/2025
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News
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00:00
Europe 1 Soir, 19h21, Pierre de Villeneuve.
00:03
Et j'accueille mes camarades de la première heure.
00:05
Bonsoir Jules Thores, journaliste politique au JDD.
00:09
Bonsoir Sébastien Ligné, chef du service politique de Valeurs Actuelles.
00:13
Écoutons Emmanuel Macron qui a pris la parole aujourd'hui à Roquefort.
00:17
Il était question d'écologie et notamment de répondre à Bruno Retailleau,
00:23
Julien Aubert que l'on vient d'interroger à l'instant sur Europe 1
00:26
et François-Xavier Bellamy qui veulent arrêter les subventions à tout va sur les énergies renouvelables
00:33
et booster plutôt le nucléaire.
00:35
Écoutez ce qu'en pense le chef de l'État.
00:37
J'ai cru comprendre qu'il y avait beaucoup de débats en ce moment sur le renouvelable.
00:40
Une chose change il y a 8 ans, ils ont voulu supprimer le nucléaire.
00:43
Ça doit être une déformation.
00:44
Moi je crois en même temps, il y a plus d'un milliard et demi de travaux sur l'hydroélectricité à faire dans le département.
00:49
On a tout fait avec EDF pour que ce travaux puisse partir
00:51
et pour conserver la structure à laquelle on tient beaucoup de nos concessions hydro.
00:55
Donc on a besoin du renouvelable.
00:57
C'est des bons investissements.
00:58
Parce que quand ils sont amortis dans le temps, ils sont des moins chers.
01:01
Donc il ne faut pas tout caricaturer.
01:02
Il faut sortir parfois des lubies.
01:04
Il faut sortir des lubies, dit le Président
01:07
qui d'ailleurs dit assez sèchement à Bruno Retailleau
01:11
qu'il devrait s'occuper des affaires pour lesquelles il a été nommé
01:14
sachant qu'il s'exprimait en tant que patron des ALR et non pas en tant que ministre de l'Intérieur.
01:19
Ne lui en déplaise.
01:21
Les électeurs de droite ou en tout cas les sympathisants des Républicains
01:23
ont décidé de confirmer Bruno Retailleau à la présidence des Républicains,
01:28
de l'élire président des Républicains.
01:29
Donc évidemment qu'il ne va pas que parler des sujets régaliens
01:32
qui incombe son ministère de l'Intérieur.
01:35
Donc il va donner sa vision, sa vision pour la France,
01:39
défendre ses idées.
01:40
Et pour le coup, quelle meilleure idée que de défendre
01:43
ce que défend la droite et Bruno Retailleau
01:45
depuis maintenant des décennies ?
01:47
C'est-à-dire la filière nucléaire qu'Emmanuel Macron a savamment sabotée depuis des années.
01:52
Emmanuel Macron a confirmé en 2017 la fermeture de Fessenheit.
01:56
Il a refusé de développer un grand plan nucléaire
02:00
en misant absolument sur le renouvelable.
02:02
Sauf qu'il n'y a pas besoin, il faut juste écouter les experts.
02:04
Il faut un réacteur pour nourrir en électricité 100 000 personnes,
02:10
alors qu'il en faudrait 1 000 éoliennes pour nourrir le même parc quand elles soufflent.
02:16
Donc déjà, on sait que là, ce n'est pas de la lubie.
02:18
Ce sont des faits, ce sont des chiffres, c'est sourcé.
02:21
Les experts comme Fabien Bouglet vous l'expliquent très bien.
02:24
Donc évidemment qu'on voit ici une petite lutte politique,
02:27
mais la lubie, elle est plutôt du côté d'Emmanuel Macron
02:30
sur cette question des renouvelables.
02:32
Évidemment qu'en 2017, il fait ça aussi car on est dans une recomposition,
02:36
car il doit un petit peu l'ornier du côté de l'électorat écologiste et vert,
02:40
mais je ne suis pas sûr malheureusement que l'écologie politique aujourd'hui
02:43
soit bien défendue, que ce soit par Emmanuel Macron
02:45
ou même par l'Europe écologie, les Verts.
02:48
Oui, il y en a un qui est lucide de Vert, c'est Yann Verling,
02:50
et il sera mon invité tout à l'heure à 20h10, on verra ce qu'il en pense.
02:53
Sébastien Ligné, vous faisiez des grimaces pendant que Julien Torres parlait.
02:56
Non, je fais des grimaces parce que la droite n'a pas toujours défendu le nucléaire,
03:00
Julien Torres, il faut quand même se rappeler que sous Nicolas Sarkozy
03:02
et que ce fameux Grenelle de l'environnement,
03:04
Jean-Louis Borloo parlait de multiplier par 10 le nombre d'éoliennes,
03:08
et ça a été une grave erreur du quinquennat Sarkozy
03:11
que lui-même d'ailleurs a plus ou moins reconnu après.
03:13
Donc finalement, le dogmatisme anti-nucléaire existe depuis toujours
03:16
dans toutes les classes politiques.
03:17
C'est peut-être parce qu'on n'avait pas suffisamment encore de recul
03:20
sur le fonctionnement des éoliennes.
03:22
Je vous mets par exemple le défi d'aller voir dans le nord de l'Allemagne.
03:25
Alors en Allemagne, ils avaient construit des éoliennes à tout va,
03:27
en se disant on va remplacer le charbon par les éoliennes.
03:30
Et puis on s'est rendu compte que ça ne fonctionnait pas,
03:35
en tout cas qu'il y avait trop d'énergie à un moment donné
03:37
qu'on ne peut pas stocker comme vous le savez.
03:39
L'idée en Allemagne, c'était aussi de mettre les éoliennes au nord,
03:45
parce qu'il y a plus de vent.
03:46
Et on s'est dit on va, ça c'est quand même le truc à l'Allemagne,
03:49
c'est-à-dire qu'on va faire un pipeline
03:51
pour transférer l'énergie dans le sud du pays.
03:54
Et qu'est-ce qu'ils ont payé sur des attentes ?
03:56
Tu sais ce qu'ils ont dit les Allemands ?
03:58
Ils ont dit, en fait, les écolos allemands, les grunens,
04:01
ont dit, un, ça coûte trop cher de faire le pipeline,
04:05
et deux, ça dénature les paysages.
04:07
Quid des éoliennes ?
04:09
Oui, mais Sébastien Ligné qui est un francilien
04:14
qui, évidemment, a habité en banlieue parisienne toute sa vie,
04:19
ça ne lui pose aucun problème qu'au Sable d'Olonne,
04:21
on mette des éoliennes.
04:22
Ah non, mais ça ne lui pose aucun problème qu'au Sable d'Olonne.
04:24
Sur le magnifique paysage du Mont des Alouettes en Vendée,
04:28
ça ne lui pose aucun problème qu'au Sable d'Olonne.
04:29
Il y a le Vendéen qui parle.
04:30
Il n'est pas du tout, je dis absolument le contraire,
04:32
je dis que la droite a participé aussi à en mettre des éoliennes en Vendée.
04:35
Il y a aussi une demande des Français de ne pas polluer, en réalité,
04:38
leur paysage.
04:39
Donc moi, je comprends très bien les agriculteurs qui acceptent
04:42
que l'État leur fournisse des aides
04:45
à condition qu'on installe des éoliennes,
04:47
parce qu'évidemment, on sait qu'aujourd'hui,
04:48
étant donné le sabotage de notre agriculture,
04:53
les agriculteurs finalement n'arrivent plus à s'y retrouver
04:56
et utilisent d'autres moyens pour se nourrir,
05:00
tout simplement, et pour vivre.
05:01
Mais en revanche, ça pollue,
05:03
ça provoque des maladies pour certains.
05:06
Bien sûr.
05:07
Dans les éoliennes en mer, sur les fonds marins,
05:09
c'est des millions d'animaux qui ont du mal à naviguer.
05:13
Voilà, et je crois que le chiffre, c'est 300 000 oiseaux
05:18
qui meurent chaque année à cause des éoliennes en France.
05:20
Donc bon, à un moment donné, il y a beaucoup d'animaux.
05:21
Tout d'un coup, on oublie la biodiversité.
05:23
Écoutez ce que disait sur ce sujet et sur cette tribune,
05:26
Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique.
05:30
C'était sur France Info hier.
05:32
C'est dramatique.
05:32
Prononcé par le ministre.
05:33
C'est irresponsable.
05:34
C'est du populisme le plus basique.
05:37
C'est-à-dire que peu importe l'intérêt des Français,
05:40
pourvu qu'on aille récupérer des voies à droite et au-delà,
05:44
et c'est irresponsable quand on prétend être un homme d'État.
05:48
C'est une position qui est totalement contraire
05:50
à celle portée par le gouvernement.
05:52
Nous avons aujourd'hui 60% d'énergie fossile.
05:55
Nous consommons 60% d'énergie fossile.
05:57
Est-ce que vous croyez que même d'un point de vue de souveraineté,
06:01
d'indépendance, devoir dépendre pour notre énergie,
06:04
de la Russie, qui est une de nos dépendances,
06:07
de l'Algérie, d'un certain nombre d'États du Moyen-Orient,
06:10
ou des États-Unis, c'est confortable.
06:12
Est-ce que c'est sérieux ?
06:14
Bruno Retailleau a répondu à Agnès Pannier-Runacher
06:17
lors du congrès des villes à Libourne.
06:19
Si certains découvrent que la droite est attachée au nucléaire,
06:22
il fallait se réveiller plus tôt.
06:24
Ce que nous disons, nous,
06:24
c'est que bien sûr que les énergies renouvelables ne sont pas à interdire,
06:28
elles sont nécessaires, mais comme complément.
06:30
Et ce que nous disons, c'est que désormais,
06:32
elles sont arrivées à maturité,
06:34
et qu'il n'y a plus besoin de les subventionner
06:38
en respectant évidemment les contrats qui sont déjà passés,
06:41
mais il n'y a plus besoin de les subventionner
06:43
parce que si on les subventionne,
06:44
alors on va alourdir la facture
06:46
pour les Français, leur pouvoir d'achat,
06:49
mais aussi pour la compétitivité de l'industrie.
06:52
Sébastien Ligné.
06:53
Madame Pannier-Runacher,
06:54
qui a eu faux sur tout ce qu'elle a entrepris
06:56
depuis qu'elle est au gouvernement,
06:57
qui nous explique
06:58
que le nucléaire, finalement,
07:00
ce n'est pas une solution indépendante
07:03
et ça pourrait remettre en cause
07:04
notre souveraineté énergétique,
07:05
j'ai envie de dire à Madame Pannier-Runacher,
07:07
que si Emmanuel Macron n'avait pas décidé
07:09
sur un coup de tête de confirmer...
07:11
Mais c'est ça son paradoxe, Agnès Pannier-Runacher,
07:13
elle est pro-nucléaire ?
07:14
Oui, d'accord,
07:14
mais enfin elle est dans un gouvernement
07:15
qui est présidé par un homme
07:17
qui a décidé sur un coup de tête un jour,
07:18
tiens, on va fermer 14 centrales nucléaires,
07:20
et qui puis deux ans après s'est dit,
07:21
ah tiens, c'est peut-être une erreur,
07:23
on va les réouvrir,
07:24
sauf que c'est plus difficile que ça,
07:25
et qui relance la construction de nouvelles centrales.
07:27
Il avait fait une forme de mea culpa là-dessus,
07:28
je ne sais plus si c'était à l'occasion
07:29
de vœux présidentiels
07:30
ou une de ces grandes Macron-chauds-là...
07:33
Mea culpa qui n'avait jamais été...
07:35
Macrorama, comme dit Vincent Trémolet.
07:37
...méa culpa qui n'avait jamais été justifiée
07:38
par des arguments,
07:39
je me suis trompé,
07:40
il ne m'avait pas dit pourquoi
07:41
il avait entrepris le démantèlement
07:42
de l'énergie nucléaire,
07:43
c'est quand même ça le drame.
07:45
Et le pire du pire, je pense,
07:46
c'est la petite musique
07:47
qui monte au sein du gouvernement
07:48
quand j'entends Gabriel Attal
07:50
qui, à propos de Bruno Retailleau,
07:51
nous dit, finalement,
07:53
il remet au goût du jour
07:54
une forme de climato-scepticisme inquiétant,
07:57
on se dit qu'il y a une espèce
07:58
de posture pseudo-scientifique
08:00
de la part des macronistes
08:01
qui ont tout raté depuis 8 ans
08:03
et qui se permettent de donner des leçons
08:04
au nom de la science
08:05
alors que la science dit exactement l'inverse.
08:07
C'est-à-dire que la science dit
08:08
qu'il y a une seule énergie décarbonée
08:10
qui permet d'alimenter une ville entière,
08:12
ça s'appelle le nucléaire.
08:13
Et vous avez encore des macronistes
08:15
qui, au nom d'une science
08:16
qui réfutent tous leurs arguments,
08:18
l'invoquent.
08:19
C'est dramatique.
08:19
Il faut quand même rappeler...
08:20
Pourquoi parle-t-on de Gabriel Attal ?
08:22
Une centrale nucléaire,
08:23
c'est 4 000 éoliennes.
08:25
Pourquoi parlez-vous de Gabriel Attal ?
08:27
C'est quand même un ancien Premier ministre.
08:28
Enfin, quand un ancien Premier ministre
08:29
critique le ministre de l'Intérieur actuel
08:31
en disant que c'est un climato-sceptique,
08:32
c'est quand même inquiétant.
08:33
Il le fait plus pour des raisons politiciennes
08:35
que parce qu'il est farouchement attaché
08:38
à la question de l'éolien.
08:39
On a bien compris que Gabriel Attal,
08:41
ça faisait...
08:42
Depuis la dissolution,
08:43
il n'a aucun espace.
08:44
Il cherche un espace.
08:45
Il voit Bruno Retailleau.
08:46
Il essaye de le renvoyer le plus
08:47
dans les cordes du Rassemblement National
08:48
pour ouvrir l'espace au centre.
08:50
Donc, en réalité,
08:51
il ne cherche qu'à exister,
08:53
qu'à placer ses pions pour 2027
08:55
pour être un candidat à la présidentielle
08:58
qui puisse obtenir certaines voix.
09:00
Mais malheureusement,
09:01
ça se fait sur le dos
09:01
de la facture des Français, en réalité.
09:05
Parce que le sabordage de notre filière nucléaire,
09:07
les subventions massives
09:09
au nucléaire,
09:12
à l'éolien,
09:13
au solaire,
09:13
sans aucun résultat.
09:18
Il faut quand même savoir
09:18
que l'éolien n'est pas pilotable.
09:21
Il fonctionne 25% du temps.
09:23
Je crois qu'on a donné des chiffres.
09:24
4 000 éoliennes pour une centrale.
09:27
J'avais même pire.
09:28
C'est un seul réacteur EPR
09:30
qui peut alimenter 1,5 million de foyers.
09:32
Il en faut plus de 1 000 éoliennes
09:33
pour en produire autant.
09:35
Seulement, quand le vent souffle,
09:36
on l'a dit,
09:37
quand elles fonctionnent,
09:38
parce qu'elles sont souvent en pâle.
09:39
C'est pareil pour le photovoltaïque.
09:41
C'est quand même plus de 50 km²
09:42
pour une centrale nucléaire.
09:44
Vous voyez,
09:45
50 km² de panneau photovoltaïque.
09:47
Pardonnez-moi,
09:47
là où je rejoins le président de la République,
09:50
c'est quand il parle de l'hydro.
09:50
L'hydro, effectivement, ça fonctionne.
09:53
La Suisse,
09:54
qui est un pays,
09:55
j'allais dire,
09:55
pragmatique et frontalier,
09:58
fonctionne beaucoup à l'hydro
10:00
parce que sa géographie le permet.
10:02
C'est-à-dire qu'il y a des glaciers,
10:03
il y a des barrages,
10:04
c'est très montagneux.
10:06
Et donc, fatalement,
10:07
il y a des cours d'eau
10:08
qui permettent l'hydro.
10:09
L'hydro, ça fonctionne,
10:10
ça marche très très bien.
10:11
Mais l'éolien,
10:12
je pense que ce n'est plus la peine de...
10:14
Vous avez eu la guerre
10:14
que les écologistes ont menée
10:16
au barrage en France ?
10:17
Sur les hydro.
10:18
Oui, bien sûr.
10:18
Là, du coup,
10:20
le président répond aux écologistes
10:21
qui mènent ces batailles,
10:23
d'une certaine manière.
10:24
Oui, j'entends.
10:25
Mais enfin, sur l'hydro,
10:26
on a encore pris 20 ans de retard,
10:27
comme sur tous les sujets.
10:28
C'est ça le problème.
10:28
Parce qu'il y a eu ce que vous dites.
10:30
Le roi du monde de l'électeur tardif.
10:33
Il y a eu des écologistes,
10:34
effectivement,
10:34
qui se sont mis au travers.
10:35
D'autres écologistes,
10:36
on va en parler juste après la pub,
10:37
il y a des députés écologistes
10:39
et de gauche
10:39
qui veulent limiter l'impact médiatique
10:41
des faits divers
10:42
dans les médias publics.
10:44
On va en parler,
10:45
tout comme du coup de gueule
10:46
de Kamel Daoud.
10:48
C'était ce matin
10:48
sur France Inter.
10:50
Une pause.
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Et on se retrouve dans un instant,
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juste le temps pour moi
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de vous dire
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que Culture Média,
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c'est demain
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de 9h30 à 11h
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avec M. Hill,
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Thomas de son prénom.
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vendredi 4 juillet,
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et bien c'est cette fameuse
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émission spéciale
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en public.
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en tenue de gala
11:12
pour la révélation
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du palmarès
11:14
des numéros 1
11:15
de Culture Média.
11:17
C'est à ne pas louper,
11:18
bien sûr,
11:18
et c'est sur Europe 1.
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