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  • 02/07/2025
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Transcription
00:00On est pas encore sortis de l'ornière.
00:16Parce que vraiment,
00:19la déclaration au petit côté de l'autre,
00:22c'est pas rassurant du tout.
00:24Non seulement c'est pas rassurant ça, mais
00:25vraiment, de remettre en cause la séparation
00:28des pouvoirs. Et c'est pas la
00:29première fois. Bon, si Ousmane Sonko
00:32PASTEF est-il remettre en cause,
00:33ou Ousmane Sonko
00:34Premier ministre, on ne sait pas.
00:37Mais, à la fois que l'on a fait,
00:40Ousmane Sonko, en tant que
00:42président de PASTEF, Ousmane Sonko en tant que
00:43Premier ministre, Ousmane Sonko en tant que
00:46citoyen, remettent en cause
00:47n'est-ce pas?
00:50Les membres de la Cour suprême. La législation de la justice.
00:53Même au-delà des membres
00:54de la Cour suprême,
00:56parce que tout simplement,
00:57c'est une décision de justice.
00:59La décision, elle est toujours collégiale.
01:03Donc, c'est une question de ça.
01:04Attention, si on dit Ousmane Sonko,
01:06que ce soit le Premier ministre ou le citoyen,
01:08comme vous voulez, si on le dit,
01:10il n'y a pas d'autres.
01:11Genre, il peut-être,
01:12le membre de la Cour suprême, il leur dit,
01:13non, non, non, il parle de la justice.
01:15Et d'ailleurs, il n'y a pas d'autres.
01:16Il n'y a pas d'autres.
01:18Donc, pour moi, le débat, il n'y a pas.
01:20C'est pourquoi, on n'est pas sorti de l'ordinaire.
01:22Je ne sais pas, je ne vais pas dire.
01:23Parce que, mais écoute,
01:25Ibrahim,
01:26la justice,
01:28nous parlons de la Cour suprême,
01:29mais sur certaines décisions,
01:32il n'y a pas favorable le pouvoir
01:34à l'opposition dans la justice
01:38pour le pouvoir.
01:39Si on est favorables,
01:40il n'y a pas de justice au Sénégal.
01:44Mais, Ousmane Sonko,
01:45il y a des décisions de justice
01:46qui lui ont été favorables.
01:47Quelle est la question?
01:49Il n'y a pas de favorables?
01:50Oui.
01:51Bon, il y a des magistrats
01:53qui ont eu des décisions.
01:54Il n'y a pas d'autres réunions
01:56qui ont eu une minute
01:56et qui ont eu des décisions.
01:58Il n'y a pas d'autres décisions.
02:00Mais ce discours est très dangereux.
02:02C'est-à-dire que,
02:03pour nous, il y a des magistrats
02:04qui ont eu des décisions.
02:05Mais c'est quoi ces gens-là?
02:06Pour pour York,
02:07il y a des dossiers
02:09qui ont eu de n'importe quel magistrat.
02:11Quand on parlait
02:11de la traque des BMN,
02:13ou bien de la révision des comptes,
02:15nous avons eu des décisions
02:17qui ont eu des décisions
02:19qui ont eu des réaménagements
02:22qui ont eu des nommés.
02:23Et nous avons eu des décisions
02:25actuellement
02:26de la Cour de justice
02:28et aussi
02:28le pôle financier judiciaire
02:31pour les décisions
02:31et les procédures.
02:32Donc,
02:33après tout cela aussi,
02:35je pensais
02:35qu'il y a des décisions
02:36par rapport à ceux
02:37qui ont eu des décisions.
02:39Est-ce que
02:39vous avez eu un autre discours
02:41qui va à l'encontre
02:42de ce qui a été dit auparavant?
02:44Est-ce qu'il y a eu une contradiction
02:45qui a eu des décisions
02:46de la part du Premier ministre ?
02:48Comme il y a eu une contradiction
02:48qui fait peur.
02:50Ce n'est pas juste une contradiction,
02:52mais c'est une contradiction
02:53très grave.
02:54Ça peut installer
02:55même une crise institutionnelle
02:56parce que,
02:57voilà,
02:58on est entré encore
02:59de dire que
03:01oui,
03:01qui est un peu digne.
03:02C'est aussi un discours
03:04qui est un peu digne.
03:04C'est toujours
03:06les mêmes magistrats,
03:07etc.
03:07Donc,
03:08je trouve que
03:09manque de considération,
03:10de respect
03:10pour les magistrats
03:12qui sont des citoyens
03:13sénégalais
03:13qui font leur travail
03:14et qui,
03:16il y a eu des décisions
03:17qui sont des décisions.
03:18Est-ce que
03:19le Premier ministre,
03:20que ce soit le Premier ministre
03:21ou le Président Pastif,
03:23qui ne peut pas
03:24donner à eux
03:24ce qu'on a dit,
03:26en tant qu'analyste,
03:28je vais voir
03:28que tu es contradictoire
03:29avec toi-même.
03:30Il y a eu un respect
03:31des institutions.
03:33Il y a eu un peu.
03:33Mais vraiment,
03:34le pouvoir pastif,
03:36nous,
03:36nous avons encore
03:37quitté,
03:39parce que déjà,
03:41quand le Président Diomay Diaral
03:42avait dit déjà
03:42que le peuple
03:43mette la pression
03:44sur la justice,
03:45après maintenant
03:46que le Premier ministre
03:47ou le Président Pastif
03:47ou le citoyen
03:48Ousmane Sonko
03:49disent encore que
03:49oui,
03:50de toute façon,
03:51genre même
03:52je ne peux pas
03:53à peu près
03:53que tu es un peu
03:54à tétion,
03:54mais on n'est pas
03:56sorti de l'avenir.
03:57Là,
03:57quand même,
03:58ce n'est pas exemplaire
03:59et c'est grave
04:00et c'est même dangereux
04:02pour nos institutions
04:03et aussi pour la dignité
04:04et vraiment
04:05et le respect
04:06de la séparation
04:07des pouvoirs.
04:09Donc,
04:09nous sommes exemplaires
04:12comme le fait
04:14le fait de l'homme.
04:16C'était les magistrats
04:17de Makissal,
04:18c'était le juge
04:19de Makissal.
04:19Mais cette expression-là
04:20aussi,
04:20il faut voir
04:21aussi,
04:21vous savez,
04:22le juge de Makissal,
04:24le magistrat de Diou,
04:25le magistrat de
04:25Sonanson Kou,
04:26bien,
04:26je pense qu'il y a aussi
04:27l'élément de langage
04:28de « il y aura
04:29de bannir »
04:29comme il y a de bannir.
04:31Mais autrement,
04:32sinon,
04:32on n'est pas sorti
04:33de l'ornière.
04:34Donc,
04:34il y a aussi
04:34la décision de justice,
04:36je ne sais pas
04:37qu'il faut contester
04:38parce que
04:39nous,
04:40les décisions de justice,
04:41il n'y a pas
04:41de Barthélémy.
04:45Il n'y a pas
04:45de sénégalais
04:45de contester.
04:48Pourtant,
04:49il n'y a pas
04:49de lui.
04:50Il n'y a pas
04:50de député.
04:51Il n'y a pas
04:52de député.
04:52Il n'y a pas
04:52de député.
04:52Il n'y a pas
04:54de député.
04:54Il n'y a pas
04:55de député.
04:55Il n'y a pas
04:56de député.
04:57Il n'y a pas
04:58de député.
04:59Mais les sénégalais
05:00de façon générale
05:00sont dit
05:00que c'est des décisions
05:01de justice.
05:02Pourtant,
05:02il n'y a pas
05:02de député.
05:03Il n'y a pas
05:03de contester
05:04les procédures.
05:05Mais quand même,
05:06je me suis dit
05:07que c'est bon.
05:08Maintenant,
05:09la décision de justice,
05:10même pour la loi
05:11de l'amnestie,
05:12sur l'amnestie,
05:13la Cour suprême
05:14a été
05:14en tout cas,
05:19un ou deux aspects,
05:19etc.
05:20Mais quand même,
05:21le passif a pris acte.
05:26Parce que ça,
05:27il n'y a pas
05:27de député.
05:28Non,
05:28je ne veux dire
05:29qu'il n'y a pas
05:29de contester.
05:31Ils ont dit
05:31qu'ils sont
05:32d'accord
05:33sur les décisions
05:34de la Cour suprême.
05:36Donc,
05:37malgré que
05:38il n'y a pas
05:38de député.
05:40Donc,
05:40je me disais
05:41que c'est bien parti.
05:42Je me disais
05:43que c'est bien parti.
05:43peut-être parce que
05:44la loi de l'amnestie,
05:45c'est bien parti aussi.
05:46C'est bien parti.
05:46Je me disais
05:47que c'est bien parti.
05:48Mais,
05:48ce que je me disais
05:51est-ce qu'après
05:51nous avons des conséquences
05:52de la loi de l'amnestie aussi ?
05:54Donc,
05:55oui,
05:55la sincérité
05:55et le respect
05:56des élections judiciaires.
05:58Est-ce qu'on a
05:59un problème de justice
05:59ou bien un problème
06:00de classe politique ?
06:02Je ne vais pas vous dire
06:02ce que je disais.
06:03Je ne vais pas vous dire
06:03jusqu'à la preuve du contraire.
06:04On a un...

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