À trois jours du début de l’Euro, Amel Majri se confie sur ses doutes. Après les mises à l’écart de Wendie Renard et Eugénie Le Sommer, ses coéquipières à l’OL, l’internationale française de 32 ans admet avoir craint de vivre le même sort. Mais la confiance affichée par le sélectionneur Laurent Bonadei lui a permis de rester concentrée sur l’essentiel.
00:00Je dirais pas peur, après je vais pas mentir, c'est vrai que ça m'a traversé l'esprit quand je vois que, c'est vrai que Wendy, Eugénie et Kenza, on va dire que j'étais à peu près, j'avais les mêmes caractéristiques que ces filles-là, donc c'est vrai que ça m'a traversé l'esprit, mais après voilà, j'ai eu les mots du coach, il m'a montré qu'il avait confiance en moi, que c'était des choses différentes aussi, il était sur des aspects différents,
00:28Donc, non, après, voilà, moi, j'ai toujours donné à fond, en club, à chaque fois que j'avais l'opportunité de montrer, j'ai pu le faire, donc voilà, après, moi, je m'étais dit, ça vient, ça vient, ça vient pas, ça vient pas, donc j'ai pas fait une fixette sur ça, mais c'est vrai qu'inconsciemment, quand on voit ça, c'est vrai qu'on peut se dire, ouais, bah, je fais partie de ça aussi, donc, mais non, c'est bon,