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Dans un documentaire en ligne sur L’Equipe, l’ancien défenseur italien Mark Iuliano et d'autres acteurs du match reviennent sur un moment douloureux de l’histoire du foot transalpin : le but en or marqué par David Trezeguet en finale de l’Euro 2000 il y a vingt-cinq ans.

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Sport
Transcription
00:00David lui a cru, il s'est retrouvé au milieu d'une défense italienne assez fournie.
00:06Ça devient une action naturelle où je fais le pas vert pour trouver l'espace
00:13et Maldini, on voit avec Giuliano, un bomber à la porte.
00:17Le mouvement que j'ai fait, c'est un mouvement que tu dois faire pour protéger le premier palo
00:26et être attente aussi à l'attaquante, mais avec un attaquante tellement fou comme David,
00:31qui fait un pass inquiet, donc il s'enfila dans la marcatura.
00:34Je dirais que ça ne s'apprend pas, il était comme ça, c'est un gars qui sentait les coups.
00:40David Trezeguet, en l'arrière de rigore, est un killer.
00:43Donc pour un défenseur, c'est un incubo.
00:45Tu trouves l'équilibre, tu vas avec le corps vers l'avant, comme ça le ballon ne se lève pas trop.
01:01Quand le ballon arrive sur le pied gauche, il est encore plus attentif à son équilibre,
01:05à l'endroit où il pose son pied d'appui, à la manière dont il va pivoter pour envoyer le ballon.
01:10C'est ma frappe, les reprises de volet, pied gauche, pied droit, on voit le corps bien placé et pied gauche exceptionnel.
01:21Il part avec une beauté, il y a tout ce qu'il faut pour dire, ça a été le but d'une finale.

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