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00:00Ah, oula, il y a beaucoup de sujets, on va en parler dans un instant.
00:03Juste, on va s'arrêter sur ce sondage de petite minute, parce que c'est à peu près le même qu'il y a.
00:07Pour quelle personnalité politique les Français éprouvent de la sympathie et de l'adhésion ?
00:11Ah oui, il y a des gens qui nous appellent aussi déjà pour des petits messages.
00:16Ah, c'est sympa.
00:17Avant la dernière de demain.
00:19Merci les auditeurs.
00:2001, 80, 20, 39, 21, vous pouvez nous appeler, même pour nous dire tout ce que vous voulez aujourd'hui.
00:23Tout ce qui vous passe par la tête, nous appelez.
00:25Ah voilà, qu'est-ce qui se passe, Vertigo ?
00:27Je vais compter à quel moment arrive la gauche.
00:30Ah d'accord, alors le sondage, en 11ème position, c'est François Hollande.
00:35Il attire quand même de la sympathie à chaque fois François Hollande.
00:37Oui, mais là il est 11ème quand même.
00:38Raphaël Glucksmann, 10ème.
00:40Moi je préfère manger avec François Hollande qu'avec Raphaël Glucksmann.
00:42Avec Raphaël Glucksmann, tu ne manges pas, tu dors.
00:48C'est le seul mec que tu l'appelles pour faire une sieste.
00:51Non mais Raphaël Glucksmann, t'es en sieste déjà ou bien on peut se caler un truc ?
00:55Non mais Raphaël Glucksmann, je n'ai jamais vu un mec qui avait deux tensions Paris.
00:58Je ne sais pas comment ça va.
00:59Non, ça ne va pas être très fun.
01:00Ah non, en fait Glucksmann, franchement, c'est le dernier avec qui je partais.
01:05Je n'ai rien contre lui.
01:06Non, non.
01:07Non mais en fait, c'est le mec en classe qui ne sert à rien.
01:11Non mais c'est vrai, c'est le mec en classe qui ne sert à rien.
01:13Tu n'as pas envie de copier sur lui, tu n'as pas envie d'aller faire du sport avec lui,
01:17tu n'as pas envie de lui parler, tu n'as pas envie d'aller le chercher,
01:19tu n'as pas envie de faire la route à l'école.
01:20Mais tu n'as pas envie de te fâcher avec lui non plus, tu n'as pas envie de te fâcher avec lui.
01:25En fait, c'est le mec sur la photo de classe, dix ans après, tu fais, c'était qui lui ?
01:31Mais si, Glucksmann, Raphaël.
01:34Je ne vais jamais parler de l'année.
01:35Je ne vais pas parler de l'année, écoute, excuse-moi.
01:36Excuse-moi, je ne l'ai pas parlé de l'année.
01:38Petit côté transparent.
01:39Non mais ce n'est pas transparent lui, c'est un papier calque.
01:41Franchement, non.
01:43Sa mère s'appelle Claire.
01:48Allez, voilà.
01:50Ça c'est fait.
01:53On passe à François Ruffin, que j'aimais beaucoup, et qui commence à m'agacer.
01:57Pourquoi ?
01:58Je ne sais pas, je trouve qu'il en fait trop.
02:02Il a changé Sarah Salman.
02:04Il a changé Sarah Salman.
02:06Vous savez, il a fait un film avec Sarah Salman.
02:08Il l'a transformé, elle est de gauche.
02:11Sarah Salman a changé, elle n'a pas changé du tout.
02:14Le seul qui a changé.
02:14Non, lui, il a changé.
02:15Je trouve qu'il est devenu un peu plus agaçant qu'avant.
02:17Il se la raconte un peu.
02:19Et moi, je vais vous dire un truc.
02:20Quoi qu'il arrive, de n'importe quel bord que ce soit, je déteste les mecs qui crachent dans la soupe.
02:28Ça, ça me rend fou.
02:30Je préfère qu'ils ne disent rien.
02:32D'Artigol n'a jamais craché dans la soupe.
02:34Jamais, non mais c'est vrai.
02:35Il n'a même jamais craché dans une soupe.
02:37De cours, il la boit la soupe.
02:38Il buvait sa lié biguère.
02:40Non, non mais...
02:42C'est important ce que tu dis.
02:43Et moi, je ne supporte pas ça.
02:45Moi, qu'on aime ou pas Jean-Luc Mélenchon,
02:47qu'on aime ou pas la France insoumise,
02:50moi, les mecs qui crachent dans la soupe derrière,
02:52après avoir été...
02:53Vous attendez la loyauté.
02:55Bah oui.
02:55Au moins, tu ne dis rien.
02:56Tu dis on s'est séparés parce que je sais d'autres choses.
02:59On n'est pas d'accord sur certaines choses,
03:01mais je n'ai rien contre eux.
03:02Ils font leur truc, je fais mon truc.
03:03Mais franchement,
03:04les mecs qui crachent dans la soupe,
03:05moi, je ne supporte pas.
03:06Voilà.
03:06Donc ça, déjà, ça s'est fait.
03:08Donc Ruffin, ça y est.
03:10Pour moi, c'est clair.
03:13C'est fini.
03:14Je l'aimais bien à un moment.
03:15Mais ça y est, je n'aime pas.
03:17Il ne fait que de cracher sur ses anciens potes.
03:19Tout ça, ça me dégoûte.
03:20Voilà.
03:21Ça me dégoûte.
03:21En huitième, je l'aurais mis bien plus haut,
03:26moi, bien entendu.
03:27Nicolas Sarkozy, qui est, et je le dis,
03:30parce que j'ai la chance de le connaître,
03:31de passer du temps avec lui.
03:33C'est un vrai gentil.
03:35En tout cas, c'est un vrai sensible.
03:37C'est quelqu'un qui s'intéresse vraiment aux gens,
03:38Nicolas Sarkozy.
03:39Vraiment.
03:40Il s'intéresse aux gens.
03:41Il aime aider les gens.
03:43Il aime s'intéresser à eux.
03:44Il ne pense pas qu'à sa gueule.
03:45Et c'est un type exceptionnel.
03:47Vous le savez, je parle de lui,
03:49je le considère comme un ami.
03:50J'espère que lui aussi,
03:51mais en tout cas, je l'aime beaucoup.
03:52Nicolas Sarkozy, c'est Nicolas Sarkozy.
03:54Et c'est vrai que tout...
03:55Alors, je vais vous dire,
03:56et vous pouvez parler avec n'importe qui,
03:58des mecs de gauche,
03:59des mecs de droite,
04:00des mecs du centre,
04:01quand ils ont rendez-vous avec Nicolas Sarkozy,
04:03ils ont rendez-vous avec Nicolas Sarkozy.
04:05Quand ils l'entrent dans la pièce,
04:05il se passe quelque chose.
04:06Non, mais c'est ça.
04:07Quand ils l'entrent dans la pièce,
04:07il se passe quelque chose.
04:08Quand ils ont rendez-vous avec Nicolas Sarkozy,
04:10c'est sûr.
04:10C'est vrai.
04:11Ils ont rendez-vous avec Nicolas Sarkozy.
04:12Quand ils ont rendez-vous avec Raphaël Glucksmann,
04:15ils oublient de rendez-vous.
04:16Une fois sur deux,
04:17ils font putain, merde !
04:18Putain, j'avais Glucksmann !
04:22Putain de merde !
04:22C'est vrai, mais c'est vrai.
04:23Il se passe quelque chose.
04:25Nicolas Sarkozy, c'est Nicolas Sarkozy.
04:26Qu'on aime ou pas ?
04:27Michel-Edouard Leclerc,
04:28je ne le connais pas du tout.
04:29J'ai juste acheté un jour un paquet de granola.
04:31J'aide.
04:32Non, mais je ne le connais pas.
04:34Je ne le connais pas,
04:35mais comment ça m'a agacé ?
04:37Moi, il m'a agacé.
04:37Moi aussi.
04:38Comment ça m'a agacé ?
04:39Il commence à m'agacer.
04:40Il se la raconte.
04:41Il a attaqué Bernard Arnault.
04:43Il attaque tout le monde.
04:44Il se prend pour le donneur de leçons.
04:46Non, mais sans déconner.
04:46Il vende des princes de lui
04:47et qu'il arrête d'emmerder le monde.
04:49Sinon, je n'ai rien contre lui.
04:51Moi aussi, je trouve ça curieux
04:52d'attaquer Bernard Arnault.
04:53C'est insupportable.
04:55Genre, moi, je suis le patron des pauvres
04:56et lui, c'est le patron des riches.
04:58C'est insupportable, ça aussi.
04:59Combien de familles il y a grâce
05:00au groupe LVMH ?
05:01Il a un petit côté posture.
05:04Moi, je défends la veille d'offrir.
05:05Le groupe LVMH sur le rayonnement de la France,
05:07à mon avis...
05:09Moi, il attaque trop Bernard Arnault.
05:10C'est insupportable.
05:11Non, mais c'est vrai.
05:11Lui, c'est le président des pauvres.
05:12Le riche industriel pauvre.
05:14Mais quand ?
05:15Des pauvres ?
05:15Mais quoi ?
05:16Non.
05:16Quoi ?
05:17Il veut se vendre comme ça ?
05:18Je le sais, mais personne n'y croit.
05:20Bah si, mais à un moment,
05:21il veut se vendre comme ça, mon bébé.
05:22Oui, personne.
05:24J'aurais remarqué que...
05:25Et puis bon, il y va ou il n'y va pas.
05:26Ce n'est pas de deux en disant
05:27non, oui, non,
05:28comme s'il y avait une attente dans le pays
05:29sur sa candidature.
05:30Il n'y a pas d'attente dans le pays
05:31sur sa candidature.
05:33C'est vrai qu'il fait quand même 29%
05:35dans ce sondage.
05:35Oui, c'est assez étonnant, moi, je trouve.
05:37Oui.
05:37Il fait quand même 29%.
05:38Bon, tout ça, de toute façon,
05:39on va se...
05:40Oui.
05:41On va être évacués.
05:42Il n'est pas du tout patron de Leclerc, en plus.
05:44Ah bon ?
05:44C'est pas lui.
05:45Lui, il est directeur de la com, je crois.
05:46C'est ça ?
05:47Directeur.
05:48Oui, mais c'est ça.
05:49Com et administration.
05:50Ah bon ?
05:51C'est le gars, l'attendant, quoi.
05:53Il s'appelle quand même monsieur Leclerc.
05:54Bah, bien sûr.
05:55Bah, oui, quand même.
05:56Bah, bien sûr.
05:59S'il s'appelait Auchan, à la limite.
06:02S'il s'appelait Butamite.
06:05S'il s'appelait Richard G20.
06:07Je t'aurais dit, bon, oui,
06:08là, il y a un problème.
06:09Ah, mais c'est vrai.
06:10Non, mais pas que moi,
06:11par contre, j'ai eu Caroline Lidl-Price.
06:13Qu'est-ce qu'il est sympa.
06:15Qu'est-ce qu'il est sympa.
06:16Ah non, mais je te dirais,
06:17qu'est-ce qu'il est sympa.
06:18Les mousquetaires intermarchés aussi,
06:20je les adore.
06:21J'adore ces mecs.
06:22J'adore ces mecs.
06:23Et puis, il y a Carrefour.
06:24Régis.
06:25Régis Carrefour.
06:26C'est positif tout le temps, lui.
06:27Oui, toujours.
06:28Dès que je le vois,
06:29il est positif de fou, ce mec.
06:30Non, c'est un ringonnais.
06:31C'est un dingue.
06:32Allez, en sixième position,
06:33Gabriel Attal.
06:35Gabriel Attal, qu'on aime ou pas aussi.
06:37Non, mais les mecs,
06:38tu passes un bon moment
06:39avec Gabriel Attal.
06:40J'ai déjà dîné avec lui.
06:41Voilà, tu passes un bon moment
06:42avec Gabriel Attal.
06:43Il est sympa.
06:43Il est intelligent.
06:44Il est dans l'ambiance.
06:47Il rigole.
06:48Il est sympa.
06:48Exactement, il est sympa.
06:49Et puis, il est tellement sympa
06:50qu'il veut partager sa sympathie
06:51à tout le monde
06:51et même à la France Insoumise
06:53en quatre secondes.
06:56En cinquième,
07:00Gérald Darmanin,
07:01donc le sondage des Français.
07:02Gérald Darmanin,
07:03cinquième position,
07:05qui est très sympa.
07:07On aime ou pas ?
07:07En tout cas,
07:08Gérald Darmanin,
07:09moi, j'aime bien les mecs fiables.
07:10Il m'a dit à chaque fois
07:11qu'il a dit qu'il venait
07:12dans mon émission,
07:12il est venu.
07:13Il n'a jamais rien demandé.
07:15Je ne veux pas poser cette question.
07:16Je ne veux pas qu'on me mette
07:17tel invité.
07:17Et voilà,
07:19il est clean,
07:20Gérald Darmanin.
07:22Sacré politique,
07:23très intéressant
07:24d'échanger avec lui.
07:25C'est un vrai politique.
07:26Très malin.
07:26Très malin, très intelligent.
07:28Et d'ailleurs,
07:28il s'est débrouillé très bien
07:29à la justice.
07:30C'est-à-dire qu'il a compris,
07:31il ne fait pas des promesses
07:32qu'il ne peut pas tenir.
07:33Il ne fait pas du rotaillot.
07:34Il promet.
07:35Oh là là là !
07:38Un incident !
07:43Un incident !
07:45Un incident !
07:46Elle avait fait une belle saison.
07:47j'avais fait une belle saison.
07:48On en bat sur le mur.
07:50À la fin de dernière !
07:51À la fin de dernière,
07:52elle perd tout.
07:53Si proche de la fin !
07:55Fonte, faonte !
07:56Oh non !
07:57Ouh !
07:58Quelle faute !
08:04Dans le dernier quartet !
08:06J'ai dit qu'il ne fait pas du rotaillot.
08:10Dans le dernier quartet !
08:11C'est un mec,
08:15c'est comme au coucour,
08:16il pique !
08:16Il lui reste la puce,
08:17il est le chemin,
08:18il est le sapot.
08:20Il était tranquille,
08:21il fait ses tasse sans faute
08:22pour ne traître
08:22avec un cavalier français.
08:23Il s'explose.
08:24Il s'explose.
08:25Il s'explose sur le dernier obstacle.
08:27C'est Bédaï,
08:28c'est horrible.
08:28Non mais je m'explique.
08:32Je m'explique.
08:34Bruno Botaillot
08:35a dit énormément
08:36et sur le papier,
08:38c'était formidable
08:38et on n'a pas vu grand-chose.
08:42Zévald Darmanin
08:43a dit beaucoup.
08:45C'est bon,
08:45c'est bon,
08:45c'est bon.
08:46Bédaï m'a arrêté
08:46de dire des bêtises.
08:47Mais parce qu'il y a
08:48beaucoup plus à faire
08:49à l'intérieur.
08:49C'est beaucoup plus compliqué
08:52à l'intérieur
08:52qu'à la justice.
08:53Arrêtez de dire des conneries.
08:56Merci.
08:57Merci Romain.
09:01C'est vrai,
09:02c'est beaucoup plus compliqué.
09:03Les mecs, arrêtez.
09:04Tu peux plus capitaliser
09:06en résultats politiques
09:07à l'intérieur
09:07qu'à la justice.
09:08Normalement oui.
09:10C'est celle-là
09:11où il y a
09:11l'alimenté Darmanin.
09:12Il a énormément capitalisé
09:13Bruno Rotaillot
09:14et Gérald Darmanin
09:15est capitalisé aussi
09:17mais c'est plus facile.
09:18La justice,
09:18c'est moins sous le feu
09:19des projecteurs.
09:21La sécurité,
09:22c'est tout le temps
09:22partout dans la rue.
09:22C'est plus technique.
09:23C'est plus technique la justice.
09:24Tu vas voir des trucs
09:25que tu ne vas pas voir.
09:26Vraiment,
09:26c'est ce que je veux dire.
09:27ça n'a rien à voir.
09:29Mais franchement,
09:30j'aimerais savoir
09:30ce que pense la rigide
09:32de Valérie Benaïm.
09:39Attendez,
09:39parce que là,
09:40elle va nous dire
09:40que le quatrième est formidable.
09:41Jamais personne n'a entendu
09:42le son de sa voix.
09:43Ça fait six ans.
09:44Même quand il fait des interviews,
09:45on n'entend pas le son de sa voix.
09:46Mais regardez,
09:48elle est quatrième.
09:49Elle est quatrième,
09:50il est derrière Bruno Rotaillot.
09:51On va en parler dans un instant.
09:52Et ce touche-touche
09:52Philippe Darmanin-Atal
09:53sur ce qu'on appelle
09:54le socle commun,
09:55c'est intéressant.
09:56ce touche-touche
09:57Rotaillot-Philippe Darmanin.
09:58Attendez,
09:59on n'a pas encore parlé.
09:59Mais Rotaillot sera candidat.
10:02Édouard Philippe
10:02en quatrième position.
10:03Il est sympathique.
10:04Mais Édouard Philippe,
10:05on n'a jamais entendu
10:06le son de sa voix.
10:07Elle a été premier ministre
10:08trois ans.
10:09Mais alors ?
10:10Mais même quand il était
10:10premier ministre,
10:11la seule chose qu'il disait,
10:12c'est je ne sais pas.
10:13C'est vrai.
10:16Il a dit je ne sais pas
10:17sur le Covid.
10:18Benahim.
10:19Non mais Benahim,
10:19ressaisissez-vous.
10:20Mais ça c'est vrai,
10:21il faut que tu arrêtes
10:21avec l'argument
10:22j'aime Édouard Philippe
10:23parce qu'il a dit je ne sais pas.
10:24Ça c'est pas possible.
10:24Moi j'aime bien
10:25quelqu'un qui ne fait pas semblant
10:27de sa voix
10:27et qui n'a pas des postures
10:28pour avoir des postures.
10:29C'est comme votre mec
10:29quand vous lui demandez où il va
10:30et vous dit je ne sais pas,
10:31vous êtes contents.
10:31Arrêtez Benahim,
10:33ressaisissez-vous.
10:34On va en reparler dans un instant.
10:35On va parler du top 3.
10:37Du top 3,
10:37on va reparler d'Édouard Philippe
10:38parce que Valérie Benahim
10:39va nous expliquer
10:39qu'il est formidable.
10:40Il est quatrième
10:40donc il y a beaucoup de choses.
10:43Quatrième,
10:43t'as pas de médaille.
10:440-1-80-20-30-21.
10:46Allez,
10:46à tout de suite sur Europe 1.
10:48Appelez-nous
10:48et on va s'occuper
10:49de Valérie Benahim.
10:49C'est insupportable.
10:50Tout de suite.
10:51Europe 1,
10:5216h-18h.
10:54On marche sur la tête.
10:55Cyril Hanouna.
10:56Merci aux auditeurs
10:57d'être avec nous.
10:57Vraiment,
10:58vous allez me manquer.
10:59Vous allez me manquer.
11:00Vraiment.
11:01Mais vraiment.
11:02Vraiment.
11:02Parce que là,
11:03on a passé des moments
11:04exceptionnels.
11:05Exceptionnels.
11:05Et les auditeurs,
11:06ils ont fait l'émission.
11:07D'ailleurs,
11:07on va reprendre des auditeurs
11:08dans un instant sur cette affaire
11:10le classement
11:10des personnalités politiques
11:12pour lesquelles
11:13les Français
11:14prouvent de la sympathie
11:14et de l'adhésion.
11:15Donc,
11:16en quatrième position,
11:17on avait Édouard Philippe.
11:19Édouard Philippe.
11:21Qu'est-ce que vous en pensez ?
11:22Il y a un phénomène sondagier
11:24qui se poursuit,
11:25depuis son départ de Matignon.
11:29C'est vrai qu'il baisse.
11:30Il baisse.
11:31Mais il est toujours
11:33dans le pays réel.
11:37Au-delà de Valérie Benaïm.
11:38Faisons comme si Valérie Benaïm
11:39n'existait pas.
11:40Merci, Gautier Lomé.
11:41Votre contre-monde
11:42serait tellement triste.
11:43Oui,
11:43mais on fait cet effort mental.
11:45Est-ce que tu les trouves
11:46autour de toi ?
11:46Oui, exactement.
11:47Est-ce que tu te vois
11:48quelqu'un ?
11:48J'adore Édouard Philippe.
11:49Je vais voter pour lui.
11:50J'en ai pas.
11:51Là,
11:52on va voter.
11:54On a de la sympathie.
11:55Je vois bien que c'est...
11:57Est-ce que tu dis
11:58qu'il a l'air super sympa
12:00Édouard Philippe ?
12:00Est-ce que tu as déjà
12:01entendu ça ?
12:01En dehors de toi-même
12:02quand tu te réécoutes
12:03mon podcast.
12:05Vous êtes la seule.
12:07Moi, je trouve
12:08qu'il a un capital sympa
12:09ce homme-là.
12:09Vous savez ce que me disent
12:10les gens ?
12:10Vous avez la théorie
12:11des deux personnes
12:13avec qui je parle
12:14régulièrement.
12:16Alors,
12:16la théorie de ces gens,
12:18c'est que les gens disent
12:19Édouard Philippe
12:20pour être tranquille
12:20dans les dîners.
12:21C'est-à-dire qu'Édouard Philippe,
12:22on ne te relance même pas
12:22si tu dis
12:23qu'on s'en fout tellement
12:24que les gens ne te relancent
12:26même pas,
12:26tu peux manger tranquille.
12:27Non, mais c'est vrai.
12:28Tu dis Gabriel Attal,
12:29on va te dire un truc.
12:30Gabriel Attal,
12:31pourquoi ?
12:31Tu dis Gérald Darmanin,
12:32on va te dire un truc.
12:33Tu dis Marine Le Pen,
12:34Jordan Bardella,
12:35Bruno Rotten.
12:35Les gens s'en foutent tellement.
12:36Mais comment vous expliquez
12:37qu'ils soient toujours
12:38dans les cinq premiers
12:38dans les sondages ?
12:39Comment vous l'expliquez alors ?
12:41Parce que les gens
12:41ne veulent pas de problème.
12:43Les gens ne veulent pas de problème.
12:43C'est une réponse automatique.
12:45Exactement.
12:45Une réponse automatique.
12:46C'est comme on te dit
12:47est-ce que tu trompes ta femme ?
12:48Tu dis non,
12:49Edouard Philippe,
12:49c'est pareil.
12:52Il y a bien blanc.
12:55Qui dit ça dans les dîners ?
12:57Si tu dis oui,
12:59je trompe ma femme,
13:00on va te poser des questions
13:01avec qui, comment,
13:02par quel truchement ?
13:03Non, mais voilà.
13:04Bah oui,
13:05là au moins,
13:06tu dis non,
13:06ça y est terminé,
13:07on passe à autre chose.
13:08Edouard Philippe,
13:08c'est pareil.
13:09Vous dites truchement.
13:10Oui, je dis truchement.
13:11C'est une expression
13:14qui est utilisée
13:15souvent par un politique.
13:16Avec qui ?
13:17Qui parle tout le temps
13:18par truchement.
13:19Emmanuel Macron,
13:20il dit tout le temps
13:20par le truchement d'eux.
13:22Ah ouais ?
13:22C'est certain ça.
13:24Surprenant.
13:27Je peux te plaire.
13:29Je peux te plaire.
13:32Vous savez que je ne le savais même pas.
13:34Ah je vous jure,
13:35c'est vrai que je ne le savais pas.
13:36Ça fait beaucoup de choses.
13:39À suivre.
13:41Bruno Rotaillon.
13:4533.
13:47On va passer pour le top 3.
13:49Top 3.
13:50Vous avez dû l'écouter quelque part
13:52et puis voilà.
13:52C'est tout.
13:53C'est un mot que j'adore
13:55depuis des années.
13:56Jamais il a été prononcé
13:56depuis septembre.
13:58Il a dû lire ça
13:59dans une conférence de presse
14:00que vous vous écoutiez.
14:02Personne dit ça.
14:04Truchement.
14:05Ah oui,
14:05je parle qu'elle truchement.
14:06Elle truchement.
14:06Elle truchement.
14:06Oui, truchement.
14:07Non mais c'est franchement
14:08les mecs,
14:09vous abusez.
14:09Non,
14:10franchement vous abusez.
14:11Non mais on arrête.
14:12On arrête.
14:13Non, non, non.
14:14Attention.
14:15Ça me fait plaisir
14:15votre vocable.
14:17Vous allez avoir le temps
14:19de faire des cours de vocabulaire.
14:22En troisième position,
14:23Bruno Rotaillon.
14:24Oui.
14:2533% égalité avec Edouard Philippe.
14:26Non, non mais moi ce que je vois,
14:27moi j'ai juste un constat.
14:29Là on va s'arrêter
14:29deux petites secondes.
14:30On s'arrête.
14:31Prépare-toi Romain
14:32parce que si elle parle,
14:33tu vas la calmer.
14:34Au moins c'est notre réalisateur.
14:36Mais je vous le dis.
14:37Prépare-toi Romain.
14:38Moi ce que je vois,
14:40c'est qu'il y a énormément de gens
14:41et même ici,
14:42les Valérie Benaïm,
14:43les Géraldine Maillet
14:44qui est partie aux Etats-Unis,
14:45s'exilée tellement à la honte
14:46de ce qu'elle a dit.
14:48Je l'embrasse d'ailleurs.
14:49Non mais c'est vrai,
14:50tellement à la honte
14:50de ce qu'elle a dit
14:51sur Bruno Rotaillon.
14:52On ne lui lance pas de Pierre
14:52non plus.
14:53Moi,
14:53à mon avis,
14:55la bête de lui lancer
14:55des chewing-gums.
14:57Je vous le dis,
14:58Bruno Rotaillon,
14:58on a tous dit oui,
14:59mais pourquoi il a pas
15:01quitté le gouvernement ?
15:02Là,
15:05j'imite Valérie Benaïm
15:07versus featuring plutôt
15:10Géraldine Maillet,
15:12les deux comparses.
15:14En attendant,
15:15Bruno Rotaillon,
15:16il était où il y a deux ans ?
15:18Il était où les mecs ?
15:20Il était nulle part.
15:21Il était dans ce cassement,
15:21il était nulle part.
15:24Aujourd'hui,
15:24Bruno Rotaillon,
15:25il est troisième.
15:25Il est troisième
15:26et il est troisième
15:27des personnalités politiques
15:29pour qui les Français
15:30pour de la sympathie
15:30et de l'adhésion.
15:32Moi, les mecs,
15:33je ne vois que le résultat.
15:34Vous voyez le résultat
15:35pour Edor Philippe,
15:35je vois le résultat
15:36pour Bruno Rotaillon
15:36qui est passé devant
15:37Edouard Philippe d'ailleurs.
15:38On n'aurait jamais cru.
15:39Donc,
15:40il faut arrêter
15:41deux petites secondes,
15:41il faut s'arrêter
15:42et il faut se dire
15:43il a quand même
15:44bien fait.
15:45Il est passé de 20%
15:47de notoriété
15:48à plus de 80%.
15:49Vous avez raison,
15:50Cyril,
15:51c'est qu'on a été beaucoup,
15:52j'en fais partie,
15:53à dire sur certains moments
15:54à dire
15:55bon là,
15:55il faut qu'il parte,
15:56il ne peut pas rester.
15:57C'est vrai,
15:57moi aussi je l'ai dit.
15:57Moi aussi je l'ai dit.
16:01Moi aussi je l'ai dit.
16:02Il dit aussi que Sébastien Lecordieu
16:03est le Premier ministre.
16:05Ce qui joue aussi
16:07dans le choix,
16:09c'est la sincérité
16:10ou l'insincérité.
16:11Je pense que les gens,
16:13y compris moi par exemple
16:14qui ne suis pas une grande fan
16:15de Bruno Rotaillon.
16:16Et qui est très insincère.
16:16Non justement,
16:18je pense que les gens
16:18pensent que c'est un homme politique
16:21qui est sincère.
16:23Vous ne pouvez pas la trouver là-dessus,
16:24elle a dit qu'il était sincère.
16:26On reprend le début de la phrase.
16:30Bruno Rotaillon,
16:31vous prenez des archives
16:32d'il y a 30 ou 40 ans,
16:33il dit exactement la même chose.
16:36Et c'est pour ça que je te dis
16:36que la sincérité en politique
16:38c'est un marqueur fort.
16:40Dans les médias aussi,
16:40Benahim,
16:41vous trouvez un peu de la graine.
16:43On l'avait reçu ici.
16:45Oui, c'est très bien.
16:46Et il est vrai...
16:47Déjà, il avait dit
16:48qu'il viendrait,
16:49il est venu.
16:49C'est tout les mecs.
16:51Et il est vrai,
16:52Gauthier connaît ça comme moi,
16:54quand on reçoit,
16:55on interroge,
16:56on discute avec des politiques,
16:57l'insincérité
16:59ou la sincérité
17:00se ressent directement.
17:04Tu as des exemples d'insincérité
17:05que tu aurais constatés ?
17:06Oui, beaucoup.
17:07Ah oui ?
17:08Oui, non mais je ne veux pas.
17:09Tu veux dire des politiques
17:10qu'on a reçues dans cette émission ?
17:11Non.
17:12Non.
17:13Non, mais il y a des gens,
17:18des politiques
17:18qui impriment moins
17:19et qui, même s'ils sont sincères,
17:21pour l'opinion publique,
17:22peuvent paraître insincères.
17:24Et là, tu as des exemples aussi
17:25de personnes
17:25qu'on aurait reçues
17:26dans cette émission ?
17:27Non.
17:27Non.
17:28Non.
17:28Non, mais...
17:29Vous avez l'air
17:32de faire référence à quelqu'un.
17:34On n'a pas eu.
17:35On termine l'année tranquillement.
17:36Je ne crois pas
17:37qu'il fasse référence à quelqu'un.
17:38Vous voyez pas le mal
17:40où il n'y en a pas avant.
17:41Il y en a déjà assez
17:42dans cette émission.
17:44On n'a pas besoin.
17:45Le mal, il est là.
17:47Il y a Benaïm, déjà.
17:49Non, mais c'est vrai.
17:49La force du mal.
17:50Je trouve qu'elle est resplendissante,
17:51Valérie, en ce moment.
17:52Oui, c'est vrai.
17:53Elle est lumineuse.
17:54Il y a la lumière
17:55qui est en train de faire
17:55en studio.
17:55Il sait qu'il ne va plus vous voir
17:57et qu'il reste deux jours
17:58pour vous pécho.
17:59Il dit que ça a été un bonheur
18:01d'être toujours heureux.
18:02Il dit que je vais mettre
18:02toutes mes chambres.
18:04Il y en a des lumineuses,
18:05il en dirait un néon.
18:05Franchement, c'est vrai.
18:09J'ai envie de la mettre
18:09son marron au dîme.
18:11Alors qu'Olivier,
18:12ça serait plutôt une chambre rouge
18:13pour développer des photos,
18:15tu vois, en termes de lumière.
18:16Non, ils sont lumineux, les deux.
18:17Ah non, il ferait un très beau couple.
18:19Ah bah, c'est vrai.
18:21Dans cette émission,
18:22je reviens de loin, moi.
18:24Je vais vous dire la vérité.
18:25Il ferait même,
18:25Gauthier, je te le dis,
18:26qu'à toi et à Fabien,
18:27d'Artigol et Benahim
18:29ferait un très beau couple légitime.
18:31Oui, mais enfin,
18:32nous avons des compagnons
18:33qui ont pu croire.
18:35Non, mais nous avons
18:36des compagnons
18:37et qui se connaissent.
18:40Qui s'échangent ?
18:42Oui, c'est déjà arrivé
18:44dans les célébrités.
18:45Qui ?
18:45Benjamin Biolet,
18:47Vanessa Paradis.
18:48Ils ont échangé qui ?
18:49Ben évidemment,
18:49ils ont échangé leur maman.
18:50Mais au départ,
18:51ils n'étaient pas ensemble.
18:51C'était un couple,
18:52on appelle ça un carré d'as.
18:53C'est deux groupes différents.
18:54À chaque fois, ils nous le disent.
18:56Non, mais c'est très important,
18:56ça arrive, c'est Patrick Brouel.
19:00Insupportable.
19:00Eh bien oui,
19:01parce qu'au départ,
19:03Ben Chetrit n'était pas
19:03avec Vanessa Paradis.
19:05Vanessa Paradis était
19:06avec Benjamin Biolet.
19:08Et puis,
19:09ils ont échangé leur couple.
19:10Et aujourd'hui,
19:11Ben Chetrit vit avec Vanessa Paradis.
19:13Et sa femme vit avec Benjamin Biolet.
19:14Exactement.
19:15Mais moi,
19:15je ne veux pas que Coucou
19:15elle partait pas de tâche.
19:16Non, la femme de Ben Chetrit
19:18ne vit pas avec Benjamin Biolet.
19:19Non, la femme de Ben Chetrit
19:21est partie avec Benjamin Biolet.
19:23Bien sûr.
19:23Ah bon ?
19:23Non, non, certains, certains, certains.
19:27Mais c'est peut-être plus
19:28sa compagne maintenant.
19:29Ah, c'est peut-être plus sa compagne
19:30cette semaine.
19:30Ah bah oui, bien sûr.
19:31Ah oui.
19:32Il ne faut pas dire
19:32que ça peut arriver.
19:33Ça peut s'arrêter.
19:34Ah bah, ça peut...
19:34Voilà, sur un joker.
19:36Mais c'est pro-là.
19:37Tu passes vite,
19:38tu as une paire de deux.
19:42Non, mais ça arrive.
19:43Donc, Benahim,
19:44tout est possible avec...
19:45Mais toi, c'est ton pronostic.
19:47Tu penses qu'ils vont terminer ensemble.
19:48Je pense, oui.
19:48Et même sur un yacht.
19:49Qui va terminer ensemble ?
19:51Olivier et toi.
19:52Mais pas du tout.
19:52Mais pour moi,
19:53c'est une très belle amitié.
19:54Exactement.
19:55Je vais te dire
19:56où tu te trompes.
19:56Parce qu'il a dit
19:56qu'ils vont terminer ensemble
19:57sur un yacht.
19:58On est sûr déjà
19:58que l'info est fausse.
19:59Pourquoi ?
20:00Sur un pétalo.
20:04Ça peut être le yacht d'un ami.
20:06Ils vont terminer, oui,
20:07mais ils ne vont pas terminer
20:07sur un yacht.
20:08Tu dis d'énormes bêtises.
20:10On ne sait pas.
20:11Quoi ?
20:12Dieu bénisse.
20:13La porte est ouverte.
20:16Attention d'artigole.
20:17Ah, attention d'artigole.
20:18Attention.
20:19Mais non,
20:19mais c'est une très belle amitié.
20:20Et je sais, Cyril,
20:20que vous croyez à l'amitié homme-femme.
20:21Oui.
20:22Moi, oui.
20:22C'est une très belle amitié.
20:23J'y crois.
20:24J'y crois.
20:24Vraiment, j'y crois.
20:26Vraiment, plus j'y crois.
20:27Mais c'est vrai, bien sûr.
20:27J'ai plein d'amis fait.
20:29C'est mieux d'être ami
20:30avant de passer à l'amour.
20:31Non, non,
20:32j'ai pas d'amis.
20:34Pourquoi vous ?
20:35Moi, j'ai plein d'amis
20:36femmes.
20:36Oui, bien sûr,
20:37vous en avez plein.
20:38Regardez, Bénaïm.
20:39N'importe quoi.
20:40À chaque fois qu'on a une copine,
20:41c'est pour après avoir
20:42des relations avec elle,
20:43Fabien Lecoeuf.
20:44Non, mais sans déconner.
20:44Tout à fait.
20:45Non, mais qu'est-ce que c'est
20:45que ces conneries ?
20:46Avec que des rapports amicaux.
20:48Préférer avoir une soirée
20:49avec des femmes ou des hommes ?
20:51Ce rapport amicaux.
20:53Franchement,
20:54vu mes discussions
20:55de débiles,
20:57je peux faire des hommes
20:58parce que les femmes
20:58sont beaucoup trop intelligentes
20:59pour passer des soirs avec moi.
21:01Non, non, franchement.
21:02Non, non, mais je vous le dis.
21:02Non, non, mais moi,
21:03je suis pas non plus...
21:07Non, non, non, mais je vais vous dire la vérité.
21:09Est-ce qu'on reste amie ?
21:10Moi, une femme avec qui je suis amie,
21:11c'est fini.
21:12Une fois qu'elle a passé la friendzone,
21:13c'est terminé.
21:14Mais bien sûr.
21:14Il n'y a pas de retour en arrière.
21:16Oui, oui, je suis d'accord avec ça.
21:17Bien sûr.
21:19C'est terminus.
21:20Complètement d'accord.
21:20Terminus, tout le monde descendait.
21:21Ouais, putain,
21:22ça a terminé.
21:24Non, mais c'est rien.
21:26Non, mais bien sûr,
21:26je suis tout à fait d'accord avec vous.
21:28Gauthier, vous êtes d'accord ?
21:29100%.
21:30Et est-ce qu'on reste amie
21:31avec celles qui ont partagé votre vie ?
21:33Bien sûr.
21:34Oh, tout le monde.
21:34Bien sûr.
21:35Ça fait des grandes tables à Noël.
21:36Par le truchement de notre ami,
21:37tout le monde.
21:39Ça fait des grandes tables à Noël.
21:41Non, non, mais c'est vrai.
21:41C'est Tomé fou.
21:43Non, mais c'est vrai.
21:44Voilà, bah oui, il a raison.
21:44Par le truchement.
21:45Bien sûr.
21:47Allez, on va passer
21:48aux deux premiers.
21:49Deux premiers.
21:50Il n'y a pas de surprise.
21:51Il n'y a pas de surprise.
21:51Oui, mais c'est fou
21:53dans tous les sondages, quand même, les mecs.
21:56Il faut quand même qu'on s'arrête
21:56de petites secondes
21:57pour nos auditeurs d'Europe 1.
22:01En réalité, c'est Marine Le Pen, Jordan Bardella.
22:03Et dans tous les sondages.
22:05Mais la sympathie, l'adhésion.
22:07Comment vous expliquez ça, Gauthier Laubry ?
22:09Bah, à part, évidemment,
22:10la popularité de ces deux leaders
22:12du Rassemblement National.
22:14C'est ceux qui caracolent en tête
22:15dans tous les sondages
22:16sur les intentions de vote
22:17qu'on teste Marine Le Pen
22:18ou qu'on teste Jordan Bardella
22:19dans l'option où elle est rendue inéligible.
22:21Et donc, logiquement,
22:23les électeurs du Rassemblement National,
22:26quand ils répondent à ce classement,
22:28ils sont les plus nombreux.
22:29Et une nouvelle fois,
22:30Marine Le Pen et Jordan Bardella
22:31se retrouvent en tête.
22:33Quand on regarde le classement,
22:34c'est ce que disait déjà Olivier hier
22:35sur celui avec qui on a envie
22:36de partir en vacances,
22:37on retrouve ceux qui, globalement,
22:39font les mêmes scores
22:41dans les intentions de vote.
22:42Alors, parfois,
22:42il y a des scores plus élevés là,
22:44par exemple pour Darmanin
22:44ou pour Attal,
22:45mais Bardella, Marine Le Pen,
22:46c'est les archi-favoris
22:48de la prochaine présidentielle,
22:49que ça soit elle ou lui.
22:50Bien sûr.
22:51La vraie question, c'est elle ou lui.
22:54Ils ne pourront pas être à égalité
22:56en tout le temps.
22:57Je pense que Marine Le Pen,
22:59tout ce qui lui est arrivé,
23:00ça lui a fait énormément de bien.
23:01Je pense que là,
23:02il y a quand même un truc
23:03qui est de sympathie,
23:05je vous parle.
23:05Ah oui, c'est ça.
23:06Vous voulez dire que ça l'a
23:07par rapport au sondage, etc.
23:10Parce que, je vous dis franchement,
23:11dans ces sondages-là,
23:13Jordan était souvent
23:14très très en tête.
23:17Et là, maintenant,
23:17les deux sont très très hauts,
23:18en fait.
23:20Non, mais c'est vrai.
23:21Et c'est vrai que là,
23:21ils ont le choix
23:21entre deux candidats.
23:22Les Français n'aiment pas
23:23l'injustice
23:24et n'aiment pas l'acharnement.
23:25Non, mais ce qui est fou,
23:25c'est que ce soit les deux
23:26du même parti
23:27qui sont en tête
23:27largement.
23:29c'est-à-dire 36, 37%.
23:31Comment ?
23:31Je n'arrive pas à expliquer ça.
23:32Mais c'est comme au second tour.
23:33Vous n'imaginez pas
23:34un second tour en 2027
23:35sans le RN ?
23:36Non, c'est acquis.
23:37Le RN qui ne serait pas
23:38au second tour,
23:39ce serait la plus grande
23:39déflagration
23:40de l'histoire récente
23:43de notre Ve République.
23:44Donc, la place,
23:45là, maintenant,
23:46du RN est tellement acquise
23:47au second tour
23:47que tous les partis politiques
23:48se demandent
23:49qui va être le deuxième
23:50face au Rassemblement National.
23:52Ils ne demandent pas
23:52s'il y aura le RN
23:54ou pas au second tour.
23:55C'est acquis qu'il y sera.
23:56Alors, vous avez dit tout à l'heure
23:57phénomène sondagé
24:00pour Édouard Philippe.
24:03J'explique, moi,
24:04assez facilement,
24:06Marine Le Pen
24:06installée aussi haut.
24:07Les gens aiment bien,
24:08en effet,
24:09des personnes
24:09qui ont vécu des épreuves,
24:10qui ont des cicatrices,
24:12qui se sont déjà présentées
24:13à une présidentielle.
24:14Il y a toute cette construction.
24:17Ça m'étonne
24:17beaucoup plus
24:18pour Jordan Bardella.
24:19Ça m'étonne
24:20que le pays
24:21puisse confier
24:22l'avenir de la nation
24:23à quelqu'un
24:24d'aussi jeune,
24:25d'assez inexpérimenté
24:27sur le plan
24:28de la gestion
24:28des affaires.
24:29Tu trouves que tous ceux
24:30qui avaient 50 ans
24:30et s'il n'y a pas
24:31un phénomène sondagé
24:32le concernant ?
24:33Qu'on pensait
24:34que c'est la poudre
24:34de pernampampan ?
24:35Excuse-moi,
24:36il a déjà mené une liste
24:37sur son nom
24:38de ce que n'a pas fait
24:39de la finance
24:39du pouvoir.
24:41Mais ça, c'est rare.
24:43Ah oui,
24:44la poudre de pernampampan.
24:45Qu'on pensait
24:46que c'est la poudre
24:46de pernampampan ?
24:47Il y a une fesson
24:48d'indices.
24:50Là, ça commence
24:50à faire d'autres.
24:51Ils ont toujours été en tête.
25:00Non, mais on ne va pas
25:01refaire toutes les...
25:02Merci.
25:03En tout cas,
25:03vous êtes en tête
25:04Jordan Bardella,
25:05Marine Le Pen.
25:06Moi, je n'aime pas
25:07cet argument sur l'âge.
25:09Je trouve que ça ne suffit pas.
25:10C'est un argument
25:11bas de gamme.
25:13Parce que ceux
25:13qui ont eu
25:14les responsabilités
25:16depuis 50 ans
25:17et qui avaient
25:17le loupe de l'âge
25:18de Jordan Bardella
25:19nous ont emmenés
25:20là où on est.
25:21C'est l'heure dans le mur.
25:23Je me souviens
25:23de ce qu'on a pu dire
25:24parce que c'est vrai.
25:25Avec les mecs,
25:26parce qu'en fait,
25:26c'est vrai.
25:27Parce qu'au moins,
25:28c'est comme Gabriel Attal.
25:29Il y a des mecs
25:30qui me disent,
25:30est-ce que Gabriel Attal
25:31et Jordan Bardella
25:32ont des dossiers ?
25:33Je dis, les mecs,
25:33ils sont jeunes.
25:34Ils n'ont jamais été
25:35dans les magouilles,
25:37dans les carabistouilles.
25:38C'est vrai.
25:40Après, c'est toujours
25:40à Bibi
25:41quand on est toujours à Bibi.
25:43Ils savent que la meilleure
25:44façon d'arriver à l'Elysée,
25:46c'est de traverser la rue
25:46pour trouver un job.
25:48C'est vrai, Bédaïm.
25:49J'entends bien cette histoire.
25:52Allez, on a Martine
25:53avec nous sur Europe.
25:54Elle n'est pas à la plage ?
25:55Non.
25:58C'est tout pour moi.
26:00Bédaïm est prête
26:01pour Fun Radio.
26:04C'est bon, c'est sûr.
26:08Martine est avec nous.
26:09Martine des Yvelines.
26:10Bonjour Martine,
26:10excusez Valérie Bédaïm.
26:11Pardon Martine,
26:11c'était juste...
26:12Martine est en train de lire.
26:15Elle n'est pas à la plage,
26:16mais elle était en train de lire.
26:17Merci Martine.
26:18Alors, vous avez vu encore
26:19ce sondage,
26:20parce que c'est vrai
26:20qu'il y a des sondages
26:21qui chantent un peu
26:21tous les jours,
26:22et c'est vrai que c'est
26:22toujours le même résultat.
26:24Qu'est-ce que vous en pensez ?
26:25Quelle est la personnalité politique
26:26pour laquelle vous avez prouvé
26:27de la sympathie,
26:28de l'adhésion ?
26:30C'est vrai que c'est un peu
26:33compliqué en fait,
26:34parce que Bruno Rotaillot,
26:37je pense qu'il a énormément de...
26:39Il a le vent dans le dos.
26:40Oui, puis surtout,
26:42bon, il est assez droit.
26:45Je pense qu'il a de bonnes idées.
26:46Maintenant, de toute façon,
26:47quelle que soit la personne
26:48qui va se présenter,
26:50tant qu'on restera avec une peur,
26:53une crainte terrible de la gauche,
26:55parce que finalement,
26:56quand les gens ne sont pas d'accord,
26:58qui est-ce qui descend dans la rue ?
27:00Ce sont les gens essentiellement de gauche
27:01et qui créent de la violence,
27:03alors que les gens de droite,
27:04quand ils ne sont pas d'accord,
27:05ils manifestent moins fort.
27:07Donc, c'est un peu ça le problème.
27:10Maintenant, c'est vrai
27:11que j'entendais tout à l'heure
27:12vos chroniqueurs,
27:14certains parlaient effectivement
27:16de Gérald Darmanin.
27:19Gérald Darmanin,
27:20oui, il a de bonnes idées,
27:22il a certaines envies,
27:23il n'y a pas de problème,
27:23mais Gérald Darmanin,
27:25quand même à deux reprises,
27:26il a montré un mauvais côté
27:27de sa personnalité
27:28en mentant,
27:29haut et fort,
27:31avec un aplomb incroyable
27:32quand il y a eu le problème
27:33au Stade de France,
27:35quand il y a eu l'affaire
27:36de Tampolle,
27:37en disant que c'était,
27:38voilà,
27:39en fait,
27:40ça, je trouve que c'est
27:42une amie.
27:42Mais ça, c'est quelque chose
27:43que vous n'oubliez pas.
27:44Il a fermé à coups-pas.
27:45Il a fermé à coups-pas, oui.
27:46Oui, mais bon,
27:47c'est un peu facile.
27:48Alors, il a coups-pas,
27:49c'est comme je disais à un pote,
27:51alors moi,
27:51j'adore Gérald Darmanin,
27:52c'est comme je disais à un pote,
27:53moi, je vais vous dire,
27:54ça n'a rien à voir à l'histoire.
27:55C'est comme moi,
27:56j'étais en tournoi de paddle,
27:57samedi,
27:58et il y a un mec,
27:59et les mecs sont arrivés
28:0040 minutes en retard.
28:01Ils ont eu trois jeux de pénalité.
28:03Et là, il y a un pote,
28:03un mec qui me dit,
28:04ça va, ils ont prévenu.
28:05Je dis, ben oui,
28:05ils ont prévenu.
28:06Ils ont prévenu,
28:07ils ont peut-être tout faire.
28:08C'est comme moi,
28:08je vais dire,
28:08je vais te tromper demain,
28:10donc c'est bon,
28:10j'avais prévenu.
28:12Ben oui,
28:12je vous le dis,
28:12c'est vrai,
28:13c'est pas n'importe quoi.
28:15Ah oui,
28:15mais Martine,
28:16franchement,
28:17ben oui,
28:17on va faire un mérin cool pas.
28:26c'est à certains moments
28:27au lieu d'assumer les faits.
28:29Donc non,
28:30si on ne sait pas,
28:31on se tait,
28:31mais on n'avance pas
28:32ce genre d'argument.
28:34Édouard Philippe,
28:34vous en pensez quoi ?
28:35Vous l'aimiez bien,
28:36je crois.
28:37Édouard Philippe,
28:38au départ,
28:38quand il était Premier ministre,
28:40oui, effectivement,
28:41j'aimais assez.
28:41Je trouvais qu'il avait
28:42un certain charisme.
28:43Maintenant,
28:44c'est vrai que
28:44quand on regarde son parcours,
28:47bon, peut-être qu'au Havre,
28:48il est excellent.
28:50Il a un petit souci,
28:51d'ailleurs, au Havre.
28:52Oui,
28:53il est décidément à la justice.
28:55Oui,
28:56je pense que
28:59le principal problème
29:00d'Édouard Philippe,
29:00c'est son incapacité
29:01à sentir le pays.
29:02C'est-à-dire que l'homme
29:03qui est responsable
29:04du mouvement des Gilets jaunes,
29:05la plus grande crise sociale
29:07depuis mai 68,
29:09vous allez lui confier le pays
29:10alors qu'il a le nez bouché
29:11et qu'il ne sent absolument pas
29:12ce que veulent les Français.
29:13Mais prêt pour pas du VIX.
29:14Tout à fait.
29:15C'est ce que je disais,
29:17justement,
29:17à la personne,
29:20c'est qu'en fait,
29:20oui,
29:21c'est qu'il a quand même
29:21une grosse part de responsabilité
29:22dans le déclenchement
29:23du mouvement des Gilets jaunes.
29:25Il a quand même
29:26cautionné
29:26la réputation
29:27vis-à-vis...
29:29Parce que j'aime bien,
29:30moi,
29:30chaque fois,
29:32les politiques font ça.
29:34En voiture Simone,
29:34c'est moi qui conduis,
29:35c'est toi qui klaxonnes.
29:37Mais la réalité...
29:38C'est qu'il ne faut pas
29:41toujours se tromper,
29:42c'est-à-dire qu'il peut y avoir
29:43des personnes.
29:45Certes,
29:45Édouard Philippe
29:46était un matignon,
29:48mais Emmanuel Macron
29:50est quand même...
29:51La personnalité politique
29:52était la plus détestée
29:54par le mouvement
29:55des Gilets jaunes.
29:56Rappelez-vous,
29:57des Gilets jaunes.
29:58Rappelez-vous,
29:58le puits envelé.
29:59Rappelez-vous,
30:00c'était là où,
30:01véritablement,
30:02ça lui a échappé.
30:03Presque.
30:04Oui,
30:04mais ça n'empêche que,
30:05bon,
30:05quand vous regardez,
30:06Édouard Philippe,
30:06après,
30:07quand il y a eu le Covid,
30:08il s'est empressé
30:09de repartir au Havre.
30:10Il a abandonné
30:11un peu tout le monde.
30:12Et puis là,
30:12maintenant,
30:13quand il revient,
30:14il va à la fête de l'humain
30:15et il va dire
30:16qu'il faut,
30:17entre le communisme
30:19et le RN,
30:21je vote le communisme.
30:22Mais c'est sa liberté.
30:24C'est sa liberté.
30:26Oui,
30:27c'est sa liberté.
30:27Bon,
30:27ça fait quand même
30:28un peu de temps.
30:29On est directement
30:29à l'extrême.
30:30Oui,
30:31mais il y a des...
30:31Oui.
30:31Je trouve ça un peu léger,
30:33quoi,
30:33de la part d'une personne
30:35Et il a été débarqué
30:36de Matignon.
30:37Il ne voulait pas partir.
30:40Il a traversé la rue
30:42en quittant Matignon.
30:42Il a retrouvé du travail.
30:44Tout ça vaut pas
30:45un chiffre-là.
30:47Mais pas comme serveur
30:48dans un restaurant.
30:49Non.
30:51Merci,
30:52en tout cas,
30:52d'Articol,
30:52pour votre analyse.
30:54Il est fort.
30:55Martine,
30:55ça a été un plaisir
30:56de vous avoir sur Europe 1.
30:57Je vous fais d'énormes bisous.
30:58Merci.
30:59Salut,
30:59Martine.
31:00Je vous remercie.
31:01Salut, Martine.
31:02Salut, Martine.
31:03Non,
31:04franchement,
31:04c'est intéressant
31:06tout ce qui se dit.
31:07Donc,
31:07le classement,
31:08voilà.
31:08On vous rappelle
31:09les cinq premiers.
31:10Gérald Darmanin,
31:11Edouard Philippe en 4,
31:12Bruno Retailleau en 3,
31:13Marine Le Pen en 2,
31:14Jordan Mardella en 1.
31:15Ce qu'on voit quand même,
31:17c'est que les trois premiers
31:18sont quand même
31:18très portés
31:19sur la sécurité.
31:20ça va être le thème
31:23des axes majeurs
31:25évidemment
31:26de la prochaine présidentielle.
31:28Exactement.
31:28Mais bon,
31:28c'est quand même,
31:29vous voyez,
31:29l'identité.
31:30Tu as raison.
31:31Merci.
31:32Il n'est pas mauvais,
31:33d'Artigol,
31:33aujourd'hui.
31:34Non,
31:34parce qu'à d'habitude,
31:34il est croquignolesque,
31:35mais là,
31:35il n'est pas mal.

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