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Amusant
Transcription
00:00...
00:00L'objectif ici, c'est clairement d'avoir une narration,
00:21de compter nous-mêmes nos propres récits.
00:23Merci à Lissanga de nous permettre de mettre en avant
00:25des créateurs d'entreprises et des personnes
00:27qui sont animées par une certaine fierté culturelle.
00:30Et vous verrez que tous les projets ici
00:32sont pensés pour la communauté.
00:33Ce soir, j'ai eu le plaisir et l'honneur
00:35d'être la maîtresse de cérémonie de la soirée FUBU,
00:38Forest By Us, qui est la 10e édition des soirées Lissanga-Africa.
00:42Le mouvement FUBU, c'est un mouvement culturel
00:43qui est né de la création d'une marque de textiles
00:46à New York en 1992, créée par Dwayne John.
00:52Et ce qui est intéressant, c'est que cette marque
00:54avait vraiment pour objectif de revaloriser
00:55les cultures hip-hop afro-américaines de New York.
01:00Et clairement, ce mouvement de revendication,
01:02il s'ancre dans d'anciens mouvements aussi.
01:04Le mouvement pan-africain, bien sûr,
01:06les luttes de décolonisation,
01:08le mouvement de la négritude aussi de Mécésaire.
01:11Ça s'ancre aussi dans le son-charisme,
01:13dans le concept d'Udjama,
01:15et aussi dans l'afro-futurisme,
01:17puisque l'idée, c'est aussi de créer nos propres narrations.
01:18Les hommes peuvent aussi prendre les racines du métier vert aussi très bien,
01:22c'est bien pour la digestion.
01:23À travers des événements comme ça,
01:25on permet à monsieur tout le monde,
01:28et à nous-mêmes d'ailleurs,
01:30de découvrir notre potentiel.
01:32Et pour pouvoir engager, n'est-ce pas,
01:35une action de collaboration,
01:37il faut que ce climat de confiance puisse s'installer.
01:40Et ça part, n'est-ce pas, par l'action.
01:42Et c'est ce qui manque aujourd'hui,
01:44pour la plupart, n'est-ce pas, à notre communauté,
01:48ce pas, ce pas d'action.
01:49Aujourd'hui, je suis venu pour vous parler de mon business center
01:53que j'ai mis en place il y a maintenant plus ou moins un an.
01:56Toutes les personnes qui recherchent une adresse pour leur société,
02:02qui recherchent un lieu pour pouvoir travailler,
02:06qui recherchent des locaux à louer, on est là.
02:10Celui-ci est beaucoup plus rare en demande,
02:15donc il est uniquement sur commande.
02:16Je m'appelle Dean Kenene,
02:18je suis ici exposant pour les piments cafifi.
02:22Nous commercialisons des piments
02:23selon une recette africaine du Congo,
02:26dont je suis originaire,
02:28avec de la matière première,
02:29donc des piments en provenance des Caraïbes et d'Afrique.
02:33Si vous avez des questions sur Instagram,
02:34je suis au taquet de vous envoyer un petit message.
02:37Je réponds, ça va ?
02:38Merci à vous.
02:39Je suis Tatiana et je suis la fondatrice de la marque Penja,
02:43qui est une marque de soins capillaires
02:44pour les cheveux crépus, frisés et bouclés.
02:47J'ai lancé ça il y a un an,
02:49et donc pour le moment,
02:50je découvre un petit peu le monde des stands,
02:54et je présente un petit peu mes produits ici,
02:56dans des événements comme ici au FUBU.
02:59Et je suis d'ailleurs très contente de découvrir
03:01l'Isang Africa, que je ne connaissais absolument pas,
03:04et cet événement en particulier.
03:06Et je trouve ça hyper important,
03:09et nécessaire que notre savoir-faire soit reconnu à sa juste valeur.
03:14Bonjour, moi c'est Doriane Audrey Lobé,
03:29je suis la fondatrice des Tartinades de loup.
03:33Les Tartinades de loup, c'est une marque de pâtes à tartiner,
03:36sans huile de palme, faite à Bruxelles,
03:38avec des saveurs originales, moins sucrées que les marques
03:41que vous connaissez dans le commerce,
03:44et avec un sourcing majoritairement bio ou équitable.
03:48La poudre de Baoba, notre soeur en a parlé tout à l'heure,
03:52c'est aussi un excellent antioxydant,
03:54vitamine C, calcium, potassium,
03:59et tout ça c'est des produits qu'on trouve sur notre sol.
04:02Je m'appelle Christine Bala,
04:03je suis la fondatrice de la maison Epicurieuse,
04:06qui fait des pâtisseries à base de farines africaines.
04:10Donc, qui veut dire farine africaine,
04:13veut dire sans gluten.
04:15Je vous interpelle sur cette question,
04:17à savoir chez qui on achète notre nourriture,
04:19et si parfois ils ont un intérêt à savoir
04:21si nos nourritures correspondent à ce que notre corps a besoin.
04:25Je ferme la parenthèse.
04:30La santé est quelque chose de primordial,
04:32surtout dans la vie d'un entrepreneur.
04:34Donc, tout ce qu'il faut savoir pour maintenir une bonne santé,
04:39c'est très important.
04:40Ici, vous êtes sur le stand de Niamah.
04:42Nous faisons des marinades et des tomates en conserve comme ça.
04:47Ce sont des tomates qui viennent fraîchement du Cameroun,
04:50sans additifs, sans colorants, ni de sel, rien du tout.
04:55Donc, ce sont des marinades nature, très bonnes pour la santé.
04:58Dedans, vous allez retrouver un peu de basilic,
05:01mais c'est avec des tomates fraîches, du basilic frais.
05:04Donc, franchement, l'odeur, même à l'ouverture des boîtes,
05:07c'est vraiment alléchant.
05:09Après, les tomates, nous avons des marinades.
05:12Les marinades, nous avons la marinade poisson,
05:14viande, poulet, ou encore de la pâte de piment.
05:17Donc, dans ces marinades, là, vous retrouverez des épices
05:21qui viennent fraîchement du Cameroun,
05:23aussi sans additifs, sans colorants.
05:25Pour tous ceux qui désirent assaisonner leur viande,
05:29poisson, poulet, ou quoi que ce soit,
05:33vous pouvez utiliser nos marinades,
05:35et juste avec, vous ajoutez un tout petit peu de sel,
05:37et vous avez un très bon résultat.
05:39Je trouve que l'événement d'aujourd'hui est très innovant,
05:42c'est très encourageant pour les entrepreneurs de la diaspora.
05:45On a assisté aux différentes interventions des différentes entreprises,
05:53et je trouve que ça éveille,
05:56ça aide tous les entrepreneurs à être connus,
06:00à être connus pour ce qu'ils font,
06:02et ça les encourage aussi à aller de l'avant.
06:03La naturopathie, la base, c'est l'éducation.
06:17Alors, c'est pour ça que j'organise des événements
06:19pour la santé et le bien-être de la femme.
06:22C'est des événements 100% femmes,
06:24et ça, je fais depuis 2019.
06:26Donc, on fait des retraites,
06:27on va faire des journées spas,
06:29on fait aussi des ateliers,
06:31on fait des cercles de femmes, des brunchs,
06:34et le but est vraiment d'éduquer les femmes,
06:39avec, par moi, mais aussi d'autres professionnels du bien-être,
06:43créer des liens entre les femmes,
06:45transmettre le savoir,
06:47et créer une safe space.
06:48On a déjà soyez plus de 300 000 bénéficiaires
07:05avec ces solutions.
07:07On a une trentaine de collaborateurs
07:08qui travaillent avec nous,
07:10et vous pouvez voir les entreprises
07:11qui sont partenaires
07:13ou qui ont acheté
07:14ce qu'on appelle des 4 cadeaux de santé
07:17pour offrir soit à leurs employés,
07:21soit à leurs différentes familles.
07:23On a des problèmes de connexion à l'affaire.
07:25Comment vous arrivez à gérer,
07:27par exemple,
07:29les problèmes de financement ?
07:31Moi, je suis ici,
07:33et que quelqu'un que je voudrais bien aider
07:35au convo, par exemple,
07:36et que j'ai payé,
07:37et que lui soit capable
07:38d'aller à l'hôpital
07:39et dire que, d'inviter,
07:40je vous en ai, moi, j'ai déjà payé.
07:41Comment est-ce que vous arrivez à gérer ça ?
07:42On est parti vraiment de nos problématiques,
07:45et une de nos problématiques,
07:46c'est la connectivité,
07:48c'est l'énergie,
07:49donc il fallait la résoudre.
07:51Aujourd'hui,
07:51on résout cette problématique
07:53de manière très simple.
07:55On a mis la technologie
07:56directement au niveau des hôpitaux,
07:59donc on a mis la technologie
08:00au niveau des hôpitaux,
08:02dont la personne,
08:02le patient qui reçoit
08:03des crédits de santé,
08:04Kim Boker aujourd'hui,
08:06reçoit un SMS
08:07avec des différentes instructions
08:09dans ce SMS-là,
08:10et lorsque cette personne
08:11se rend à l'hôpital,
08:13elle peut donc réclamer
08:14ses crédits de santé.
08:15Donc du coup,
08:16on a permis de réduire
08:17cette dépendance à l'énergie
08:19en s'appuyant
08:20sur les structures médicales
08:22qui se trouvent aujourd'hui
08:23que dans des centres urbains.
08:25Donc il y a toujours
08:25un calendrier au niveau
08:26des centres ruraux,
08:28mais il faut résoudre
08:29les problèmes étape par étape,
08:32et on y viendra
08:32pour la prochaine phase.
08:34Habit de main,
08:35c'est quoi ?
08:36C'est nous projetons
08:37de pouvoir créer
08:38des crèches
08:40et des garderies
08:41pour les enfants,
08:43des professionnels
08:44de la santé,
08:44parce qu'on se rend compte
08:46qu'aujourd'hui,
08:46il est très difficile,
08:48très compliqué
08:49pour les professionnels
08:50de trouver une solution
08:51pour les enfants
08:52lorsqu'ils doivent aller travailler,
08:55et alors nous envisageons
08:56de permettre aux professionnels
08:58de la communauté,
09:00plus particulièrement,
09:01de pouvoir avoir une solution
09:03pour garder leurs enfants
09:04ou alors pour trouver des crèches.
09:07Nous envisageons aussi
09:08d'ouvrir des centres d'accueil
09:10et des maisons de repos
09:11pour les personnes âgées
09:13originelles de la communauté,
09:15parce que nous nous rendons compte
09:17qu'aujourd'hui,
09:17dans beaucoup de maisons de repos,
09:19on rencontre déjà plusieurs parents,
09:22grands parents qui sont arrivés
09:24ici bien avant nous,
09:25ou alors simplement nos parents
09:26que nous faisons souvent venir ici,
09:29mais qui s'ennuient finalement
09:30à la maison,
09:30parce qu'ils n'ont personne
09:32avec qui passer la journée,
09:34on est toujours la tête
09:35dans le travail,
09:37ce sera aussi l'occasion
09:38pour eux de pouvoir
09:39se rencontrer
09:40et partager comme ça
09:41des instants,
09:43des moments qui sont culturels,
09:45qui sont réunis autour
09:47de la communauté.
09:48Si on ne transpire pas,
09:49vous allez voir que
09:50en fait on garde plein de toxines.
09:52Le fait de transpirer
09:53permet aussi qu'on garde
09:53une température constante
09:55sur notre peau.
09:56On ne va jamais faire
09:5742 degrés
09:59ou 27 degrés, non.
10:00On va toujours être aux alentours
10:01de plus ou moins
10:04combien de degrés le corps ?
10:0537 degrés,
10:0737 et demi,
10:08ça va.
10:09Dès qu'on commence à monter,
10:10on parle de fièvre
10:11et tout ça,
10:12c'est un phénomène naturel.
10:13Ce soir, on a vraiment eu l'occasion
10:15de voir 10 beaux projets
10:16entrepreneuriels
10:17qui ont pour vocation
10:19de transformer leur communauté,
10:21de transcender les discriminations
10:22et de briser les barrières.
10:24C'est vraiment une très belle soirée.
10:25Je suis ravie d'en avoir pris part
10:27et d'en avoir fait partie.
10:28La meilleure manière de rêver,
10:29c'est de prêcher par l'exemple.
10:31Moi, j'ai trois questions
10:32par rapport à vous, madame.
10:33C'est premièrement,
10:34de quelle manière
10:35le savoir naturel et traditionnel
10:37peuvent-ils améliorer
10:38notre approche moderne des soins ?
10:40Tous les médicaments qu'on utilise
10:41viennent déjà de base de la nature.
10:44Donc, moi, je pense que
10:45les deux sont compatibles
10:46parce que vous avez demandé
10:47est-ce que dans la médecine modeste
10:48compatible, moi,
10:49quand j'accompagne des femmes,
10:50je ne leur dis pas
10:51écoute, renvoie ton gynécologue,
10:52déjà, oublie ça
10:53et reste avec moi.
10:54Non, parce que je ne suis pas médecin.
10:56Du coup, je ne peux pas prescrire,
10:58je ne peux pas diagnostiquer,
10:59je ne peux pas faire de prise de sang.
11:01Et même dans la naturopathie,
11:02on a besoin des fois,
11:04on a besoin en fait quasi tout le temps
11:05d'avoir les prises de sang,
11:07d'avoir les diagnostics
11:08qui ont été donnés
11:09et nous, notre but,
11:10c'est de trouver
11:10des autres solutions naturelles.
11:13Sokabel a déjà pu
11:14implanter Care4You
11:16qui fait déjà
11:18dans les soins
11:19à domicile au Cameroun.
11:22Et l'idée de Sokabel,
11:24c'est de favoriser
11:25la formation,
11:26d'intégrer les soins
11:27de santé
11:28tels qu'ici au Cameroun.
11:32Et pour cela,
11:33nous sommes fortement
11:34sur...
11:34Il y a de la demande.
11:36Nous sommes fortement sollicités.
11:37Le continent a besoin
11:39des personnes qualifiées,
11:41des personnes qui pourraient
11:42transmettre le savoir.
11:44Nous avons des autorités
11:46qui nous ont fait rappel,
11:48qui nous ont souligné
11:49leurs demandes.
11:51Et voilà.
11:52Et ça tombe dans
11:53les projets de Sokabel
11:55qui est d'aider,
11:57de transmettre.
11:58Et aussi,
12:00dans ces transmissions,
12:02on aimerait...
12:03il y a déjà des écoles
12:05sur place
12:06qui sont,
12:08on va dire,
12:09qui ont les formations
12:09à eux.
12:11Mais,
12:12optimiser
12:12leur formation
12:14pourrait réduire
12:15les risques
12:18que nous rencontrons
12:19lors des prises en charge
12:21dans les hôpitaux.
12:21Diplômée de l'UCL,
12:29Docteur Coïta
12:29a décidé de répondre
12:30à une détresse
12:31très spécifique,
12:33celle de la perte
12:33de cheveux.
12:35Et donc,
12:35elle a été formée
12:36en trichologie
12:37et en micro-greffe
12:38capillaire à Paris.
12:40Et elle a une expertise
12:41en nutrition aussi.
12:43Est-ce que je me trompe ?
12:44Je ne me trompe pas.
12:45Je ne me trompe jamais.
12:47Et bonne nouvelle,
12:48tout doucement,
12:49madame Coïta
12:50va ouvrir des consultations
12:51à Bruxelles.
12:53Alors,
12:53je ne sais pas
12:53si vous savez aussi
12:54qu'on est face
12:55à une star
12:55des réseaux sociaux ici
12:56avec plus de 6 000 abonnés
12:58sur Instagram.
13:00Elle nous fait des lives
13:01avec des invités
13:02et avec plein de bonnes infos.
13:03Donc,
13:03si ce n'est pas encore fait,
13:04abonnez-vous
13:05à sa page Instagram.
13:07Mais pour l'instant,
13:08ça va se faire en live
13:09tout de suite.
13:10Docteur Mariam Coïta.
13:14Les enfants,
13:14quand vous les coiffez,
13:15il faut vraiment faire attention
13:16de ne pas serrer
13:18au niveau de la racine
13:19parce qu'en fait,
13:20dès ce moment-là,
13:21en fait,
13:22ils peuvent déjà développer
13:23à l'adolescence
13:24ou à l'âge adulte
13:25une perte de cheveux localisée.
13:29Il va y avoir tellement de tension
13:30que les cheveux à l'avant,
13:33les premiers,
13:33en fait,
13:34vont se casser en premier.
13:35Donc,
13:36ceux-là vont rester
13:37et en fait,
13:37à l'arrière,
13:38on n'aura plus du tout de cheveux
13:39ou en tout cas,
13:40des tout petits cheveux
13:41tout fins et fragiles.
13:44Ça s'appelle
13:44le signe de la frange.
13:45Grandir en confiance en soi,
13:48en estime de soi,
13:49peut vous épargner
13:50beaucoup de problèmes de santé,
13:53en tout cas pour ce qui est
13:54la santé physique.
13:55ma vision particulière
13:59de coaching,
14:02je voudrais,
14:03c'est vrai que j'ai une pensée
14:04particulière aux femmes
14:05mais je pense aussi aux hommes,
14:07je souhaiterais que toutes les femmes
14:09puissent oser être soi-même,
14:12puissent être en même temps
14:14fortes et talentueuses.
14:17Je rêve en tout cas
14:18de pouvoir avoir
14:19toutes les femmes
14:20qui ont confiance en elles,
14:22une estime de soi
14:23qui ne soit pas brisée
14:24par tous les événements
14:25de la vie.
14:31Je travaille avec
14:32le centre Hortokine
14:33qui est un centre ouvert
14:34par une logopède belge
14:35à la base
14:37qui est partie s'installer là-bas
14:38et qui permet
14:40de faire des prises en charge
14:41d'enfants,
14:43notamment des formations
14:44pour les professionnels
14:45pédagogiques
14:46mais également médicaux.
14:50Et elle collabore aussi
14:50avec les familles
14:51puisqu'elle permet
14:52de faire de la guidance parentale.
14:54C'est un centre
14:55qui est assez récent
14:55qui s'appelle Hortokine
14:57et donc j'ai pu recevoir
14:58un enfant
14:59qui pendant ses vacances scolaires
15:01venait en juillet et août
15:03suivre la logopédie
15:04avec moi
15:05et une fois retourné
15:06chez lui à Kinshasa
15:07il pouvait encore être suivi
15:08avec ce centre-là.
15:10Et avoir des professionnels
15:11de la santé
15:12qui nous comprennent,
15:13qui nous ressemblent,
15:14qui connaissent
15:14nos galères aussi,
15:17un, deux fois,
15:17c'est très important
15:18et voilà,
15:20ce n'est pas un luxe.
15:21Surtout quand il s'agit
15:22de la santé,
15:23d'avoir des personnes
15:24qui nous ressemblent,
15:25qui nous comprennent,
15:26ce n'est pas un luxe.
15:27C'est vraiment deux fois
15:28question de vie ou de mort.
15:29Je pense que ça ne doit pas
15:30s'arrêter là.
15:31Je pense que les connaître
15:32c'est très bien
15:33et il y a des stands
15:34qui sont là pour ça
15:34mais je pense qu'on doit
15:36aller plus loin
15:36et franchir l'étape
15:38de consommer afro.
15:40C'est-à-dire qu'il faut
15:40vraiment faire l'effort
15:42de savoir où ils se situent,
15:43les plateformes
15:44et vraiment profiter
15:46au maximum de leurs produits
15:48et des services qu'ils offrent
15:49pour ne pas rester à l'étape
15:50de juste connaître
15:51mais vraiment consommer afro.
15:54C'est alors comme on le souhaite
15:56qu'on aura je pense
15:57une communauté
15:58qui sera considérée,
16:00qui sera respectée
16:01et qui va compter ici
16:02auprès des autres communautés
16:04en Belgique
16:05et c'est ce que je nous souhaite.
16:11Ça ne fait que trois ans
16:12mais j'espère qu'il y en aura
16:13encore au moins
16:15trois fois dix de plus.
16:17Donc bravo à l'équipe,
16:19bravo pour la suite.
16:20On se donne rendez-vous
16:21le 31 janvier
16:22pour la prochaine soirée
16:23Consommer Afro.
16:25On sera là
16:26en nombre et motivés.
16:28Sous-titrage Société Radio-Canada
16:36C'est parti.

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