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La Belgique veut investir 34 milliards d’euros dans sa Défense… mais c’est encore loin de la demande de l’Otan : « Cela reporte la charge sur le prochain gouvernement »
Transcription
00:00M. Duivre, êtes-vous satisfait que vous pouvez venir ici avec un accord dans votre gouvernement sur le plan stratégique de la défense ?
00:07Oui, certainement. Vous devez savoir quand même qu'on est le mauvais élève dans la classe de l'OTAN.
00:14On avait promis de faire les 2% en 2014 déjà, sommé de l'OTAN au Pays de Galles par M. Duivreau.
00:20On n'a jamais délivré. Donc, venir sans les 2% ici et sans une vision stratégique pour les dépenser, ça serait quand même très incroyable.
00:34Et s'il s'agit d'atteindre les 5%, il y a encore de la marge ou tout est bouclé ? Ça s'est décidé maintenant. Qu'est-ce qu'on va négocier ici ?
00:44Il n'y a pas de négociation. Donc, vendredi, on se met d'accord déjà sur un texte qui prévoit 3,5 et 1,5.
00:51Je pense qu'on doit se focaliser sur le 3,5. Ce sont les dépenses militaires, défense dans le sens strict du mot.
01:00On a 10 ans pour les réaliser. On a prévu aussi pas de trajectoire obligée. C'est important.
01:06Donc, il y a de la flexibilité et aussi un moment d'évaluation en 2029 pour voir comment le monde se présente en 2029
01:16et quelles seront les obligations à ce moment-là. Et je pense qu'à ce moment-là, on sera obligé de clarifier
01:23comment on va encore avancer dans le trajectoire des dépenses.
01:29Sous-titrage Société Radio-Canada

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