- 23/06/2025
- À Saint-Georges-Haute-Ville, parents et maire bloquent l'école pour défendre son avenir.
- Le collège de Roche-la-Molière inaugure un self moderne avec terrasse et nouvel agencement.
- France Travail et l'administration pénitentiaire œuvrent ensemble pour la réinsertion professionnelle.
- L'université Jean Monnet accueille la 1re journée olympique pour penser l'héritage 2030.
- À Montbrison, le salon bien-être propose des astuces pour aider les bacheliers à l'oral.
- La fête de la musique anime Saint-Étienne et Saint-Chamond entre rock, jazz et karaoké.
- Le collège de Roche-la-Molière inaugure un self moderne avec terrasse et nouvel agencement.
- France Travail et l'administration pénitentiaire œuvrent ensemble pour la réinsertion professionnelle.
- L'université Jean Monnet accueille la 1re journée olympique pour penser l'héritage 2030.
- À Montbrison, le salon bien-être propose des astuces pour aider les bacheliers à l'oral.
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00:00Musique
00:00Les élèves du Collège Louis Gruner de Roche-la-Molière vont pouvoir profiter d'un nouveau self et d'un nouvel extérieur pendant leur pause repas.
00:22Cette nouvelle cantine qui sert en moyenne 300 repas par jour a été inaugurée ce lundi.
00:27On vous fera découvrir ce nouvel espace.
00:31Le club Les Entreprises s'engage s'associent à France Travail et à l'administration pénitentiaire dans la lutte contre la récidive.
00:37On recevra sur notre plateau Élise Limousin, chargée de mission pour France Travail,
00:42pour nous parler du travail effectué dans la réinsertion professionnelle des personnes placées sous main de justice.
00:48Le 23 juin marque aussi la journée internationale olympique.
00:51À cette occasion, l'université Jean Monnet et l'Académie nationale olympique française ont organisé une journée de réflexion et d'échange autour de l'héritage des Jeux de Paris 2024
01:01et de la construction de ceux de 2030 dans les Alpes en étaient présents.
01:06Et enfin, la fête de la musique a rythmé le département ce week-end de la Contrie au groupe Stéphanois.
01:11En passant par des chanteurs mythiques, les Ligériens ont pu profiter de nombreux concerts.
01:16On vous fera découvrir et vivre cette fête de la musique.
01:19Bienvenue dans votre journal, je suis ravie de vous retrouver.
01:24Et on commence cette édition avec un record enregistré dans la Loire ce dimanche.
01:28Plus de 5000 éclairs ont été recensés dans tout le département entre 17h et minuit, d'après l'Observatoire Kironos.
01:35La commune la plus touchée de la Loire est Mabli avec 160 éclairs qui se sont abattus sur la ville.
01:41En comparaison, 402 éclairs ont été recensés sur l'ensemble de la Haute-Loire.
01:45Ce lundi, une nouvelle école a connu la colère des parents d'élèves devant son entrée à Saint-Georges-Haute-Ville.
01:53Le maire s'est lui aussi mobilisé pour bloquer l'entrée des classes, mais pas de l'école.
01:57Comme d'autres, ils craignent pour l'avenir du bon fonctionnement de l'école.
02:00Tchiborivière les a rencontrés.
02:02Les parents de Saint-Georges-Haute-Ville ont décidé de passer à la vitesse supérieure.
02:06Alors qu'ils ont occupé jeudi dernier le bureau de la directrice de leur école, place ce lundi aux classes, un moyen de ne pas bloquer l'établissement.
02:15On est attachés, que ce soit les élus ou les parents, vraiment attachés à la sécurité des enfants.
02:19Donc très clairement, ce matin, les enfants sont tous rentrés dans la salle de l'école.
02:22Et après, on est rentrés par binôme de parents dans les classes.
02:26Bloquer l'école, ça serait mettre l'ensemble des parents en difficulté, ne serait-ce par rapport à des problématiques professionnelles.
02:32Donc il faut faire attention à la démarche dans laquelle on rentre, mais on peut tout à fait bloquer les enseignements complètement
02:38et que les parents se fassent le relais et fassent des jeux de l'occupationnel pour que les enfants restent présents dans l'école, mais en sécurité.
02:46Les parents demandent le retour à 6 classes au lieu de 5 depuis la rentrée 2024.
02:51Une décision prise suite à la baisse des effectifs.
02:54En moyenne, cette école a désormais 28 élèves par classe.
02:57L'année dernière, au bout de 3 semaines de cours, ils avaient obtenu gain de cause en obtenant un professeur provisoire.
03:04Mais il y a une crainte de le perdre en 2025.
03:06Les effectifs devraient être stables pour l'année prochaine et pourraient même augmenter d'un élève.
03:12Moi, j'ai un fils qui est scolarisé en CE1.
03:14Je l'ai senti plus énervé, moins attentif, des difficultés dans l'apprentissage, dans les devoirs.
03:25Quand le moyen provisoire a été annoncé, décloisonnement à nouveau des enfants, on a dû refaire les classes.
03:33Des enfants encore perturbés, il a fallu leur expliquer qu'on les séparait, les copains, les copines, etc.
03:40Encore une fois, cette année, on nous demande d'attendre la rentrée pour savoir si on aura un moyen provisoire ou pas.
03:45Et ça, c'est inadmissible.
03:46La carte scolaire a été organisée en février dernier, se justifie l'académie, avec une baisse des effectifs prévisionnels à cette époque.
03:53L'inspecteur invite les parents et le maire à se rencontrer pour étudier leur cas.
03:58Une décision officielle sera prise pour tous les établissements le 8 juillet prochain.
04:03Le collège de Roche-la-Molière a, lui, inauguré son nouveau self fonctionnel depuis le 10 mars dernier.
04:10Il dispose d'un nouvel espace extérieur, de nouveaux équipements et d'un intérieur mieux agencé.
04:15De quoi ravir les élèves, le personnel éducatif et les cuisiniers.
04:19Thibault Rivière vous fait la visite.
04:21Avec un si beau temps, les bancs, les parasols et les tables à l'ombre offrent un cadre idyllique en cette fin d'année pour les 300 demi-pensionnaires quotidiens du collège Louis-Gruner.
04:32En fait, comme la cantine était côté parking, on avait les mêmes tables mais avec des parasols.
04:39Là, on a pu doubler la surface puisqu'on a la terrasse qui est installée et la salle de classe extérieure qui peut être utilisée aussi du temps de midi où on met les parasols.
04:48C'est vrai que même quand il ne fait pas très beau, ils aiment profiter de l'extérieur et de manger en extérieur.
04:55Mais le plus gros du travail se trouve en cuisine, désormais plus fonctionnel et qualitatif.
05:00Là, vous êtes sur la zone préparation froide, donc une pièce réfrigérée où on travaille à 10-11 degrés.
05:09L'avantage, c'est pareil, nous avons un frigo qui fait lien avec la zone de distribution,
05:15ce qui nous permet d'avoir beaucoup moins de manutention qu'avant.
05:19Après, on a aussi une zone de préparation chaude avec du matériel haute performance.
05:24Et on avait des problèmes de cuisson, il fallait vraiment surveiller.
05:26Alors que là, vous mettez votre programme en route et à la fin, vous n'avez pas de soucis.
05:31Et après, on a aussi ce matériel qui est très très bon, c'est ce qu'on appelle un lave-batterie.
05:36C'est des petites billes qui lavent les casseroles, enfin les plats, les gastros.
05:40La jambe n'a plus besoin de gratter, de frotter.
05:42Le réfectoire a été repensé pour plus de fluidité.
05:46L'architecte a aussi travaillé sur l'acoustique avec des spécialistes.
05:50On a l'habitude, dans certains selfs, comme c'était le cas ici auparavant,
05:54d'avoir un espace bas de plafond et là, on a essayé de donner de l'espace, donner de la lumière.
05:58Alors, notamment la pente fait qu'on a des réverbérations qui ont été étudiées de telle sorte
06:02pour réduire ces effets de réverbération et d'essayer d'amener un maximum de confort acoustique.
06:07Alors qu'on a fait le choix d'avoir des façades vitrées qui, elles, par contre, sont plutôt un problème acoustique.
06:12On a essayé de contrebalancer ces contraintes par des matériaux qui soient le plus absorbants possible.
06:16Pour ces 500 mètres carrés construits de plein pied, l'opération a coûté 3,2 millions d'euros à l'initiative du département de la Loire.
06:23Trans Travail, l'administration pénitentiaire et le club d'entreprises.
06:29Les entreprises s'engagent, s'associent dans la lutte contre la récidive.
06:33Lors d'une matinée, le club des entreprises de la Loire a découvert le travail réalisé par France Travail et le monde pénitentiaire
06:39et comment ils pouvaient eux aussi contribuer à la réinsertion professionnelle des personnes placées sous main de justice.
06:44Pour nous parler du travail effectué, Élise Limousin, chargée de mission pour France Travail, est avec nous.
06:51Quelles personnes vous aidez, Madame Limousin, avec ce dispositif ?
06:54Alors, les personnes qu'on aide, c'est ce qu'on appelle les personnes sous main de justice.
06:58Donc, c'est à la fois les personnes incarcérées, ce qu'on appelle le milieu fermé.
07:02Donc, dans la Loire, il y a deux établissements qui accueillent des publics détenus.
07:05Il y a le centre de détention de Rouen, où c'est plutôt des peines longues,
07:09et le centre pénitentiaire de la Talaudière, qui accueille des personnes condamnées à des peines de moins de deux ans
07:14ou des personnes qui sont en attente de jugement et qui a aussi un quartier de semi-liberté
07:19qui permet éventuellement de travailler la journée et de rentrer en prison le soir.
07:23Donc, ça, c'est le principal de notre intervention, puisque France Travail intervient dans toutes les prisons de France.
07:30Chaque prison a un conseiller France Travail.
07:32France Travail a accompagné environ 11 000 personnes l'année dernière.
07:35sur 2024, en prison.
07:38Et les personnes sous main de justice, c'est aussi ce qu'on appelle les personnes qui sont en milieu ouvert.
07:42Donc là, c'est des personnes qui sont condamnées à une peine, mais cette peine n'est pas l'incarcération.
07:47Ça va être, par exemple, un sursis probatoire.
07:49On connaît aussi le travail d'intérêt général.
07:52Ou alors des personnes qui sont sous contrôle judiciaire aussi, en attente de leur jugement.
07:56Voilà. Donc, l'idée, c'est qu'on s'adresse en fait à tous, publics sous main de justice.
07:59Alors, en milieu fermé, on a des conseillers qui sont détachés, qui travaillent en prison
08:04pour la réinsertion professionnelle.
08:07Et en milieu ouvert, on a des conseillers France Travail dans chaque agence,
08:10qui sont référents justice, donc qui travaillent avec ce public sous main de justice,
08:15mais qui n'est pas incarcéré.
08:16Et quel est le rôle de France Travail avec les entreprises ?
08:18Qu'est-ce que vous faites ?
08:19Alors, avec les entreprises, on les démarche pour trouver des entreprises volontaires
08:23pour accueillir les personnes sous main de justice, alors soit dans leur établissement
08:28pour leur proposer un contrat de travail, puisqu'il y a beaucoup de compétences
08:31parmi les personnes qui sont sous main de justice.
08:34On organise aussi des job dating au sein des établissements pénitentiaires.
08:39Donc, en général, il y en a deux par an.
08:41Donc, voilà, c'est aussi l'occasion de les faire venir.
08:43Et puis, on sollicite aussi les entreprises pour faire des immersions,
08:46que les personnes puissent justement aller le temps de quelques jours dans une entreprise
08:51pour reprendre un petit peu pied avec l'extérieur et les entreprises classiques.
08:57Est-ce que vous faites des rendez-vous avec des entreprises pour peut-être enlever
08:59certains préjugés qu'elles peuvent avoir sur les personnes incarcérées ?
09:02Alors, c'est pour ça qu'on a organisé, notamment, le 11 juin, un rendez-vous au tribunal.
09:07On s'est associé, bien sûr, avec l'administration pénitentiaire,
09:10parce qu'on a une convention qui a 30 ans entre l'administration pénitentiaire et France Travail.
09:15Et le club Les Entreprises s'engage,
09:18donc c'est un label qui est délivré par l'État.
09:20C'est sous l'impulsion de l'État.
09:22Sur la Loire, c'est trois clubs d'entreprises qui se sont associés.
09:26Donc, il y a Forêt Entreprendre, Face et Le Crépi, pardon.
09:32Ces trois clubs font partie du club Les Entreprises s'engage.
09:35Donc, ça fédère 300 entreprises.
09:37Et dans leur feuille de route, il y a la lutte contre la récidive.
09:39Donc, ils sont venus vers nous pour nous dire,
09:41ben voilà, comment on peut travailler ensemble.
09:43Et l'idée, c'était de leur proposer un temps au tribunal
09:45pour leur dire, voilà, comment on peut travailler ensemble.
09:48Donc, c'est soit qu'il y a directement dans votre entreprise,
09:51donc France Travail.
09:53On a aussi la mission locale qui intervient en prison.
09:56Peut vous orienter des profils, peut vous contacter,
09:59parce qu'il y a des profils qui peuvent vous intéresser.
10:01Donc, soit pour une immersion de quelques jours,
10:03soit pour un contrat de travail,
10:05soit pour mettre en place, comme on le fait à l'extérieur,
10:07une formation préalable à l'embauche.
10:08C'est aussi tout à fait possible.
10:11Soit leur proposer, et ou,
10:12parce que les deux sont tout à fait compatibles,
10:15soit venir en détention,
10:17rencontrer, en fait, des détenus
10:19qu'on aura préparés en amont.
10:21Parce que c'est l'occasion pour eux, parfois,
10:22d'avoir un entretien d'embauche,
10:24parce qu'on a un public
10:25qui, parfois, n'a pas beaucoup travaillé,
10:27ou alors beaucoup travaillé en intérim,
10:29et qu'on n'a finalement jamais vraiment rencontré
10:31d'employeurs avec qui ils ont pu prendre le temps
10:33de discuter, d'échanger.
10:35Voilà quelles sont mes compétences,
10:37voilà ce que je peux faire,
10:38qu'est-ce que vous pensez de ma présentation,
10:40qu'est-ce que je dois plus mettre en avant,
10:41est-ce que je dois parler de la prison
10:43ou pas un entretien d'embauche ?
10:44Parce que là-dessus,
10:46il n'y a pas une réponse standard.
10:47C'est un petit peu en fonction de la personne détenue
10:49et aussi en fonction du chef d'entreprise.
10:52Donc voilà, l'idée, c'était...
10:53Et est-ce que les entreprises,
10:55elles ont des aides quand elles reçoivent
10:57ces personnes incarcérées dans leur établissement ?
10:59Alors l'aide qu'on leur propose,
11:00c'est un accompagnement vraiment très rapproché
11:02par les services de France Travail.
11:04Et c'est un accompagnement qu'on fait en lien
11:05avec le SPIP,
11:07qui est le service pénitentiaire d'insertion
11:08et de probation.
11:10Donc là, c'est des conseillers de probation
11:11qui eux aussi sont là pour lutter contre la récidive
11:14et accompagner les personnes dans leur réinsertion.
11:17Donc on leur propose vraiment
11:18un accompagnement très rapproché.
11:20Est-ce que c'est un moyen de réinsertion qui marche ?
11:23Est-ce qu'il y a des moyens de récidive ?
11:24Alors aujourd'hui, la récidive,
11:26elle est forte parce qu'elle est de 60%
11:28dans les 5 ans qui suivent la sortie de prison.
11:30Donc oui, tous les dispositifs d'accompagnement
11:32qui permettent de préparer la sortie
11:34et d'éviter ce qu'on appelle des sorties sèches,
11:36c'est-à-dire que la personne se retrouve
11:38à dehors du jour au lendemain
11:39sans avoir pu anticiper,
11:41permet d'éviter la récidive
11:42et que la personne ressorte en retrouvant une place
11:45ou en trouvant une place,
11:46parce qu'on a des personnes aussi
11:47qui sont très éloignées de l'emploi,
11:49au sein de la société.
11:50Et pour terminer,
11:51combien de personnes sont accompagnées chaque année ?
11:54Alors, à France Travail,
11:55on a accompagné l'année dernière 200 détenus
11:58au centre pénitentiaire de la Talaudière
12:00et 200 personnes aussi à Rouen.
12:03Voilà.
12:04Et juste une autre manière
12:05que peuvent avoir les entreprises,
12:06c'est d'apporter du travail
12:08puisque les personnes détenues
12:09peuvent travailler en prison.
12:10Et donc notamment au centre pénitentiaire
12:12de la Talaudière,
12:13il y a des ateliers
12:14qui permettent justement
12:15la mise en place
12:16d'un atelier de production
12:17pour les entreprises que ça intéresse.
12:19Très bien.
12:19Merci Madame Limousin
12:20de nous avoir parlé
12:21du travail que vous effectuez chaque année.
12:24Merci beaucoup.
12:25Allez, restez avec nous
12:26dans quelques instants.
12:27On ira à Montbrison
12:28où s'est déroulée
12:29la deuxième édition
12:30du Salon du Bien-être
12:31et Santé Nature.
12:32Près de 70 professionnels
12:34étaient réunis
12:34pour donner des conseils
12:36pour se relaxer.
12:39Ce lundi se déroulait
12:40à l'Université Jean Monnet
12:41la journée internationale olympique,
12:43une grande première à Saint-Étienne.
12:45L'objectif de cette journée
12:46essaie de mettre à contribution
12:48l'héritage des Jeux olympiques
12:49de Paris 2024
12:50pour préparer au mieux
12:52Alpes 2030
12:53et faire du sport
12:54une question centrale.
12:55Pour l'occasion,
12:56plusieurs tables rondes
12:57ont eu lieu.
12:58Louvalla et Vito Genetti
12:59étaient sur place.
13:01C'est une première
13:01à l'Université Jean Monnet
13:03de Saint-Étienne.
13:04Rythmée par plusieurs tables rondes,
13:05la journée internationale olympique
13:07entre pleinement
13:08dans les valeurs
13:08et objectifs de l'université.
13:10C'est une fierté,
13:11c'est une manière aussi
13:11de mettre en lumière
13:13à la fois les valeurs
13:15de l'olympisme.
13:16Ça a été le cas
13:17dans la première partie
13:18de la journée,
13:19mais aussi un certain nombre
13:20de projets de recherche
13:21particulièrement originaux
13:23qui sont portés
13:23dans le cadre
13:24du comité olympique
13:25et dans le cadre
13:26de l'Université Jean Monnet.
13:28Et puis tout à l'heure,
13:28d'entendre
13:29nos étudiants
13:31qui se sont impliqués
13:32dans...
13:34qui ont des métiers
13:35maintenant
13:35dans ce domaine-là.
13:37Donc oui,
13:38c'est à la fois
13:39une fierté
13:39et une manière
13:40de mettre en lumière
13:41ce que nous faisons.
13:42Un an après Paris 2024,
13:43cette journée internationale
13:45des Jeux olympiques
13:46a une toute autre saveur.
13:47On est cinq ans
13:48avant ceux
13:49des Alpes françaises 2030.
13:51Ça va arriver
13:51très très vite.
13:52Il faut tout de suite
13:53qu'on soit en capacité
13:54de savoir
13:55ce qui a bien marché
13:56à Paris
13:56et ce qu'on pourrait reprendre
13:58et bien évidemment
13:59adapter
14:00parce que les Alpes françaises,
14:02ce n'est pas Paris.
14:03Ce sont des Jeux d'hiver
14:04et il y aura
14:06tout un tas de spécificités.
14:07On s'est dit
14:08pourquoi pas Saint-Étienne
14:09parce que Saint-Étienne
14:11est également
14:11dans une des deux régions
14:13qui va organiser
14:14les Jeux olympiques
14:15et paralympiques
14:15des Alpes françaises 2030.
14:17Organiser cette journée
14:18a été l'occasion
14:19pour l'université
14:20de Saint-Étienne
14:21de mettre à contribution
14:22la recherche
14:22pour co-construire
14:23de nouveaux projets
14:24autour des Jeux olympiques.
14:25L'idée, c'était
14:25de pouvoir fédérer
14:26un maximum
14:27de personnalités,
14:28des athlètes,
14:29des champions olympiques
14:30actuels en devenir,
14:33des pouvoirs publics
14:36mais aussi un certain nombre
14:38de personnalités
14:40du local à l'international
14:41qui viennent partager
14:42leur expérience,
14:43leur expertise.
14:44Vraiment, l'idée,
14:45c'est qu'on puisse
14:46co-construire ensemble,
14:47mettre en place ensemble
14:48un certain nombre
14:48de projets à long terme
14:51autour des questions olympiques,
14:53paralympiques,
14:54autour des valeurs
14:55de l'olympisme,
14:56des valeurs de paix
14:56qui sont fédératrices.
14:58En plus de l'université,
14:59le rectorat a pris part
15:00à l'organisation
15:01de cette journée.
15:03Les épreuves écrits
15:04du baccalauréat
15:04sont terminées
15:05mais ce lundi,
15:06c'est le début
15:06du Grand Oral,
15:08la semaine dernière
15:08où vous parlez
15:09d'ostéopathie
15:10pour affronter ce défi.
15:11Cette semaine,
15:12direction Montbrison
15:13où s'est déroulée
15:14la deuxième édition
15:15de son Salon Bien-être.
15:16Même si aucun consensus
15:18scientifique démontre
15:19l'efficacité
15:19de ces pratiques,
15:21certaines pourraient faire effet
15:22et Thibault Rivière
15:23est allé à la recherche
15:24d'astuces alternatives
15:25peu connues
15:26pour terminer les épreuves
15:27en toute sérénité.
15:29Stress,
15:30manque de concentration,
15:31énervement,
15:32la période du bac
15:33est un panel d'émotions
15:34et Catherine est là
15:35pour vous aider
15:36à les faire disparaître.
15:38En 2010,
15:38un rapport de l'armée américaine
15:40recommandé pour le stress
15:42post-traumatique,
15:43l'EFT clinique
15:44dit taping.
15:45Même si ?
15:46Même si ?
15:47Je suis très stressée ?
15:48Je suis très stressée ?
15:50Je m'aime ?
15:50Je m'aime ?
15:51Et je m'accepte ?
15:52Et je m'accepte ?
15:53Comme je suis ?
15:54Comme je suis ?
15:55Ok, maintenant on va tapoter
15:56sur le sommet du crâne.
15:57Les lunettes, attention.
15:59Tout se stresse.
16:00En fait, on peut faire ça
16:02juste, tu vois,
16:03avant de, par exemple,
16:03tu as un oral,
16:04tu te mets devant la porte
16:05et tu fais simplement
16:07quelques petits trombes.
16:08Même si tu ne parles pas,
16:09l'action, en fait,
16:10permet de faire baisser
16:11le taux de cortisol.
16:12Le taux de cortisol,
16:13c'est ce qu'on a dans le sang
16:14quand on est très stressé.
16:15Et est-ce que vous connaissez
16:16les élixirs ?
16:18Ici, pas de filtre d'amour
16:19ou de drogue,
16:20mais des effets thérapeutiques
16:21pour nos émotions.
16:22C'est à la base
16:23de fleurs de bac.
16:24Il en existe 36 différentes.
16:27Pour s'en procurer,
16:28une conseillère peut venir
16:29chez vous pour comprendre
16:31votre mal-être
16:31et concocter le meilleur mélange.
16:34Il y en a qui peuvent, du coup,
16:35être complètement tétanisés,
16:37d'autres qui vont être
16:38en manque de confiance en eux.
16:39Donc, du coup,
16:40ça va me permettre vraiment
16:41de faire le flacon
16:43en fonction de la personne.
16:44Et moi,
16:45quand je fais le flacon personnalisé,
16:46en fait,
16:46je vais pouvoir mélanger
16:47jusqu'à 7 élixirs maximum.
16:49Voilà le petit flacon goutte
16:50et après,
16:50il faut prendre nos gouttes
16:51dans un verre d'eau.
16:52Passons à la méthode
16:53un peu plus forte
16:54en cas de blocage
16:55ou de pression trop prononcée.
16:57Gaëtan propose
16:58des séances de voyage sonore
16:59avec des bols tibétains,
17:01un moment où l'esprit
17:02peut s'échapper
17:03du monde extérieur.
17:04La personne,
17:05elle est allongée
17:05donc sur le sol
17:06et autour de la personne,
17:08j'installe des bols.
17:09et je fais retentir
17:12les bols.
17:12Et les sons
17:13vont venir
17:16envelopper la personne.
17:19La personne peut venir
17:20pour une séance
17:21et la séance va durer
17:23longtemps,
17:24va résonner longtemps.
17:26Et puis,
17:27d'autres personnes,
17:27ça va être
17:28un petit peu plus régulier,
17:30mais le rythme
17:30de chacun est propre.
17:31Mais n'oublions pas,
17:32bien travailler ses cours
17:34reste toujours
17:35le meilleur conseil
17:36pour réussir
17:36son baccalauréat.
17:37Ce week-end,
17:39les rues ligériennes
17:40ont pris des airs
17:41de Seine à Seine-Lauvert
17:42pour la fête de la musique.
17:44A Saint-Etienne
17:45comme à Saint-Chamon,
17:46la musique a résonné
17:47sous toutes ses formes,
17:48country, rock, jazz
17:49et même karaoké
17:50sur des tubes bien connus.
17:51Alexandre Crouset
17:52vous fait vivre
17:53cette ambiance festive.
17:58A Saint-Etienne
17:59comme à Saint-Chamon,
18:00la fête de la musique
18:01s'est invidée
18:01sur les trottoirs,
18:02les places
18:03et jusque dans les chœurs.
18:04Pour cette édition,
18:05tous les styles étaient permis,
18:06même les santiaques
18:08et les chapeaux de cow-boys.
18:09Plusieurs centaines
18:10de danseurs
18:10venus des quatre coins
18:11de la région
18:11dans une chorégraphie
18:12millimétrée.
18:13On peut effectivement
18:14intervenir à la fois
18:15le cerveau et les muscles
18:16puisqu'il faut que le cerveau
18:18donne les bonnes instructions
18:20aux gens pour danser
18:21sachant que chaque chorégraphie,
18:24chaque danse
18:24a une chorégraphie différente.
18:26La fête de la musique
18:27c'est une occasion rêvée
18:28pour nous
18:29de montrer ce qu'on fait.
18:31Là vous avez un exemple
18:32de ce que font
18:33pas mal de gens
18:34dans la région
18:34plus qu'on est à peu près
18:3620 clubs de la région,
18:3710 Saint-Jeaux
18:38jusqu'à des clubs de l'Ainx.
18:40Une cinquantaine de mètres
18:41plus loin,
18:42sous le kiosque
18:42de la place Jean Jaurès,
18:44les amateurs de musique
18:45chinent la pépite
18:45parmi les CD de la médiathèque,
18:47tous à 1 euro.
18:49C'est génial
18:49parce que
18:50bon vieux quarantenaire
18:51et adorant la musique,
18:54c'est vraiment des perles
18:56qu'on a pu en digital
18:58et c'est vraiment génial.
19:01Je trouve que
19:02les médiathèques
19:03de Saint-Etienne
19:04ont fait un truc
19:04exceptionnel cette année.
19:06À Saint-Chamond,
19:07le public connaît
19:08ses classiques.
19:09L'esplanade Simone Veil
19:10bondée reprend les tubes
19:11du mythique groupe Gold.
19:12Rock, jazz,
19:27musique du monde,
19:28chaque coin de rue
19:28avait sa propre bande-son,
19:30une soirée éclectique
19:31où les talents locaux
19:32ont pu se faire entendre.
19:42À Saint-Etienne
19:44comme à Saint-Chamond,
19:45la fête de la musique
19:46a prouvé une nouvelle fois
19:47qu'elle rassemble,
19:47qu'elle fait chanter
19:48et qu'elle fait danser
19:49tout un territoire.
19:55C'est la fin de cette édition.
19:56Merci de l'avoir suivie.
19:58L'actualité revient
19:59mardi à 19h
20:00mais l'information
20:01s'étend continue
20:02sur nos réseaux sociaux
20:03et notre site internet.
20:04Merci d'autres fidélités.
20:12Sous-titrage Société Radio-Canada
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