00:00Bonjour Grégory, comment allez-vous ? Merci d'être avec nous sur Europe 1, il nous a appelé au 01, 81, 20, 39, 21, merci, tatata !
00:07Ça va très très bien, oui. Bonjour Céline, bonjour à tous.
00:11Quel est votre plat préféré, vous, puisqu'on parlait de ça en une seconde ?
00:13Alors, moi mon plat préféré, c'est un plat italien, c'est la pasta chuta.
00:18La pasta chuta, je connais pas. La pasta chuta, c'est quand tu manges en prenant des ballons dans la gueule.
00:23Non, non, c'est...
00:25Non mais c'est quoi, je connais la pasta chuta ?
00:27La pasta chuta, alors les Italiens connaissent très bien, en fait, c'est des pâtes à la sauce tomate avec des polpettes.
00:35Les polpettes, c'est des grosses boulettes de viande, alors on met de la chapelure, on met du parmesan, on met sel, poivre, persil, c'est un délice, c'est un délice.
00:45Franchement, il faudra qu'on mange ça ensemble, tous ensemble.
00:48Avec grand plaisir. Moi je sais pas où est ma cuisine.
00:53Je vais vérifier.
00:54Sinon, un plat typiquement français que j'adore, alors là c'est très français, c'est le pot-au-feu.
01:00Ah, le pot-au-feu.
01:04Non, c'est la poule au pot de pot.
01:07Pas le pot-au-feu.
01:09C'est pas le pot-au-feu de pot, c'est la poule au pot.
01:13Qu'est-ce qu'il a dit ?
01:14Qu'est-ce qu'il a dit ?
01:15Qu'est-ce qu'il a dit ?
01:16Il parle, Olivier, on a l'impression qu'il a tous les ingrédients dans la bouche.
01:18Non, c'est pas possible.
01:20Le pot-au-feu.
01:21Non, mais le pot-au-feu, c'est très bon.
01:24Merci.
01:25Alors, Grégory, on parlait de la fête de la musique, c'est insupportable.
01:28On ne peut plus faire la fête en France, ça y est.
01:31Non, on ne peut plus rien fêter, en fait.
01:33On ne peut plus que ce soit la Ligue des champions quand Paris gagne, que ce soit la fête de la musique,
01:38ou plein d'autres choses.
01:40Il y a de plus en plus de violences en France parce que, alors, on laisse une justice très faite,
01:46pourtant, on a un excellent ministre de la justice, que vous aimez aussi, Cyril Gérald Darmanin,
01:51qui est un excellent ministre.
01:53On a un excellent ministre de l'Intérieur qui est Bruno Retailleau.
01:58Bruno Retailleau à l'intérieur et Gérald Darmanin.
02:01Bien sûr, il y a la justice, on connaît un peu.
02:02Il faut regarder ça.
02:03Tout à fait.
02:04Et donc, voilà, ça devient insupportable parce que moi, déjà,
02:09je pense que les policiers ne peuvent...
02:12Enfin, ce n'est pas qu'ils peuvent en faire, mais ils ont peur d'agir depuis l'histoire Naël.
02:16Depuis l'histoire Naël, donc, ils ne peuvent plus vraiment bien protéger
02:19parce que maintenant, ils vont toujours s'interroger de savoir
02:22est-ce que si je fais quelque chose, je vais avoir des histoires ou pas.
02:27C'est ça, maintenant, les policiers.
02:28Et c'est dingue.
02:30Alors, bien sûr, il y a de très mauvais policiers,
02:31mais il y a de très bons policiers qui ne peuvent plus agir, moi, je pense, depuis l'histoire Naël.
02:36Donc, alors, moi, je pense aussi à Bruno Retailleau qui...
02:42Parce que ce qu'avait dit Éric Zemmour, il y a beaucoup de Français qui le pensent aussi,
02:47c'est que Bruno Retailleau dit de belles paroles, mais qu'il n'agit pas.
02:50Mais, mais, mais, moi, je pense aussi à autre chose.
02:52Je pense plutôt que Bruno Retailleau aimerait agir,
02:55mais moi, je pense que c'est Emmanuel Macron, encore une fois, qui bloque tout.
03:01Moi, je pense, je suis pas sûr.
03:02De toute façon, Bruno Retailleau, il peut rien faire, pour l'instant.
03:05Bah ouais, mais ce qu'il y a, c'est que, il pourrait faire quelque chose,
03:09mais je crois que c'est Emmanuel Macron qui empêche de faire les choses.
03:14Emmanuel Macron, moi, je suis désolé, Géraldine ne va pas être d'accord avec moi,
03:17on est là pour débattre.
03:18Ça tombe bien, les pales.
03:20Ouais, ouais, non, mais c'est à l'entend, à l'entend.
03:22Je lui ai eu au téléphone ce matin.
03:24Non, mais elle écoute, elle écoute.
03:26Elle écoute bien.
03:26Et donc, moi, je crois, voilà, pour moi, Emmanuel Macron, j'ai ce sentiment,
03:35en tout cas, j'ai ce ressenti qu'il veut détruire la France.
03:37Il veut détruire la France.
03:38Emmanuel Macron veut détruire la France.
03:40C'est moi qui le dis, je suis responsable.
03:42Et moi, je crois que, par contre, des gens comme Bruno Retailleau ou Gérald Damanin
03:49qui veulent essayer de faire quelque chose de bien,
03:53qui disaient, voilà, Bruno Retailleau, moi, je suis désolé, je pense qu'il aime la France.
03:56Mais ce qu'il y a, c'est qu'il ne peut pas agir parce que, je crois,
04:00que c'est Macron qui a la main mise.
04:02Je crois que c'est Macron qui bloque tout.
04:05Et moi, ce que disait Éric Zemmour l'autre jour, c'était intéressant.
04:09Quand il disait, bah oui, Bruno Retailleau, il a des belles paroles,
04:12il ne fait pas ce qu'il dit, c'est très juste, mais il ne fait rien.
04:16Oui, mais c'est Macron.
04:19Je crois que c'est lui qui bloque tout.
04:20J'ai dit, de toute façon, la situation aujourd'hui, en plus,
04:23aujourd'hui, on sait très bien qu'ils ont une marge de manœuvre très, très infime.
04:27Aujourd'hui, on le voit bien, c'est un gouvernement de briques et de brocs, comme on dit.
04:30C'est vrai, voilà.
04:31Et puis, la marge de manœuvre, on le voit bien.
04:32Depuis la dissolution, on sait bien qu'il n'allait rien se passer.
04:35C'est à la marge, mais il ne se passera rien, Grégory, on le sait très bien.
04:39Donc, il faut arrêter de croire qu'il va y avoir des miracles
04:40et que Bruno Retailleau peut faire des miracles.