Trois semaines après l’élection présidentielle, la Pologne est secouée par une grave crise de légitimité électorale. Le nationaliste Karol Nawrocki l’a emporté d’un cheveu face au libéral Rafal Trzaskowski, avec 50,89 % des voix. Le Premier ministre Donald Tusk conteste la régularité du scrutin, tandis que le président sortant Andrzej Duda minimise la polémique.