Jacqueline Jacob, la grand-tante du petit Grégory, peut-elle faire l'objet, plus de quarante ans après les faits, d'une convocation à un interrogatoire préalable à une éventuelle mise en examen ? C'est la conviction du président de la chambre de l'instruction, Dominique Brault. Dans un arrêt daté de ce mercredi 18 juin, il liste les éléments qu'il considère comme pouvant constituer des indices graves ou concordants à l'égard de cette femme octogénaire.