- il y a 4 jours
Regardez Le journal RTL avec Céline Landreau du 18 juin 2025.
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00:00RTL Midi, le 12h, Céline Landreau et Éric Brunet.
00:09Chers auditeurs, chères auditrices, bonjour, bienvenue dans ce RTL Midi, les auditeurs ont la parole.
00:14Deux heures ensemble de l'opinion du témoignage et c'est avec vous Céline Landreau, bonjour.
00:19Bonjour Éric, bonjour à tous.
00:20Au cœur de l'actualité Céline aujourd'hui.
00:22C'est le décès de trop, celui qui a conduit Stellantis à rappeler toutes les C3 et DS3 encore équipées d'Airbag Takata dans le pays.
00:3082 000 véhicules sont concernés, décision prise après le décès d'une femme de 37 ans à Reims,
00:35mais qui aurait dû l'être bien plus tôt selon les associations.
00:39A la une également, l'ayatollah Ramenei va s'exprimer à la télévision d'État iranienne,
00:43lui qui a été menacé à demi-mot par Donald Trump hier.
00:47Le président américain appelle l'Iran à une capitulation sans condition.
00:51Le conclave sur les retraites s'est achevé ou presque sans fumée blanche pour le moment
00:55et voilà que la menace d'une censure se fait plus pressante sur le gouvernement de François Bayrou.
01:00La notion de consentement, bientôt inscrite dans la loi.
01:03Le Sénat s'apprête à modifier la définition pénale, une évolution très symbolique qui ne fait pas consensus.
01:09On vous expliquera pourquoi.
01:11Et puis l'hommage des supporters lyonnais à Bernard Lacombe, figure du foot français,
01:15visage emblématique de l'Olympique lyonnais, décédé hier.
01:18Il avait 72 ans.
01:20Dans les auditeurs ont la parole, on va parler du président Trump qui a menacé de faire chuter le régime des mollas.
01:26Le président Macron estime que ça n'est pas comme ça qu'il faut procéder.
01:30On aimerait entendre votre avis au 3210.
01:33Vous savez qu'on parle de supprimer même la personne de l'ayatollah Ramenei.
01:37Qu'en pensez-vous ? Appelez-nous au 3210.
01:38Nous parlerons également du short.
01:40Ah ouais, ça va vous étonner, mais il y a beaucoup de métiers où le short est interdit pour des raisons de sécurité.
01:45Seulement, figurez-vous que les éboueurs de la ville de New York ne sont pas contents.
01:50Ils voudraient qu'on autorise le short.
01:52C'est un vrai sujet dans les entreprises.
01:54Faut-il être à souplir la règle ?
01:57Appelez-nous au 3210.
01:58Le short de rigueur aujourd'hui, Peggy Broch. Bonjour Peggy.
02:02Bonjour Céline, bonjour à tous.
02:03Un short, un petit éventail, un brumisateur, ce serait pas mal.
02:06En fait, on gagne 1 ou 2 degrés.
02:08On atteint les 30 degrés au nord et 32 à 34 au sud.
02:11Merci Peggy. Les détails à la fin du journal.
02:13RTL Midi
02:15Tous les propriétaires de C3 et de DS3 sont désormais priés de les laisser au garage
02:20tant que leur airbag Takata n'aura pas été remplacé.
02:24Stellantis accélère ses opérations de rappel après le décès d'une femme de 37 ans à Reims,
02:28victime, elle aussi, d'un airbag défaillant.
02:31Bonjour Christophe Bourreau.
02:32Bonjour.
02:3382 000 véhicules, on le disait en titre, sont concernés en France.
02:36Et pour les proches de victimes et les associations, la question est la même aujourd'hui.
02:40Pourquoi ce rappel intervient si tard ?
02:42Oui, car l'affaire des airbags a démarré il y a une bonne dizaine d'années,
02:46avec déjà plus de 100 millions de véhicules qui ont dû retourner en concession dans le monde.
02:50Citroën réagit donc beaucoup trop tard, estime Amandine Stévenin,
02:54la présidente de l'association de consommateurs UFC que choisir.
02:58Ça fait des années qu'on sait que les airbags Takata sont des airbags défaillants.
03:04Ça fait plus d'un an qu'il y a une procédure de rappel, de stop drive sur certains véhicules et pas sur d'autres.
03:10On a alerté en disant qu'il y avait des millions d'automobilistes qui étaient exposés à un risque mortel.
03:16Et malheureusement, ce risque s'est réalisé.
03:18Et s'il y avait eu d'autres mesures prises, peut-être que ce risque ne se serait pas réalisé.
03:24Et ça, c'est vraiment dommage.
03:26Car il a fallu ce nouvel accident à Reims pour que Stellantis étende désormais l'interdiction de conduire à l'ensemble des propriétaires de DS3 et C3.
03:34L'association, qui a déjà porté plainte contre le constructeur, souhaite aujourd'hui aller plus loin avec la création d'une commission d'enquête parlementaire.
03:43L'idée, c'est vraiment de mettre la lumière tant au pénal qu'au niveau de la commission d'enquête parlementaire sur ce qui s'est passé.
03:49Pour voir comment est-ce qu'à l'avenir, ça peut ne pas se passer à nouveau.
03:54Parce que c'est quand même un vrai scandale.
03:56Il y a eu des personnes qui sont décédées.
03:59Donc, il ne faut pas que ça puisse se reproduire.
04:00Voilà une enquête parlementaire qui ne viserait pas que Stellantis.
04:03UFC que choisir vient aussi de déposer plainte contre BMW, Mercedes, Volkswagen et Toyota.
04:09Et dans cette affaire, le ministère des Transports recense 18 décès, dont 2 en métropole et 25 blessés.
04:16Alors justement, si vous êtes concerné, si votre véhicule est rappelé, si vous ne savez pas comment faire d'ailleurs,
04:22sans votre véhicule pour aller au travail notamment, appelez-nous au 3210.
04:26Et si vous êtes propriétaire d'un C3 ou d'un DS3, vous êtes peut-être très inquiet.
04:30Donc appelez-nous au 3210.
04:31L'ayatollah Khamenei doit prendre la parole dans quelques minutes à la télévision iranienne au sixième jour de guerre entre l'Iran et Israël.
04:44Il répondra probablement à Donald Trump qui appelle à une capitulation sans condition de Téhéran,
04:50tout en assurant que les Etats-Unis savent où se cache le guide suprême, menace à peine voilée.
04:55Alors jusque-là, l'appel n'a pas été entendu par l'ayatollah qui promet au contraire une réponse forte à Israël qualifiée, je cite, de régime terroriste sioniste.
05:03Téhéran continue d'ailleurs ses frappes aériennes sur l'état hébreu.
05:07Bonjour Betsa Bessalem.
05:09Bonjour.
05:09Israël où l'on est maintenant suspendu à la décision du président américain.
05:14Oui tout à fait.
05:15Les médias d'ailleurs guettent le moindre indice.
05:17On souligne ici qu'avant leur entretien hier soir,
05:19Benyamin Netanyahou et Donald Trump se sont longuement entretenus avec leurs responsables sécuritaires respectifs,
05:26que les déclarations du président américain à l'égard de l'Iran sont beaucoup plus virulentes,
05:30que Donald Trump s'approprie déjà les succès des attaques contre la République islamique,
05:35quand par exemple il écrit « Nous avons pris le contrôle de l'espace aérien en Iran ».
05:40Alors il faut comprendre que la possible intervention active de Washington dans le conflit peut tout changer.
05:46Prenez un site nucléaire comme celui de Fordo,
05:49et bien seules des frappes américaines seraient décisives.
05:52Les avions de combat israéliens ont beau être performants,
05:55ils ne pourraient qu'endommager les infrastructures d'enrichissement d'uranium.
05:58Après, il y a une autre conséquence possible de la participation des Etats-Unis,
06:03le conflit risquerait de s'étendre.
06:05Betsa Bessalem, correspondante d'Hertel en Israël,
06:08et pour la communauté iranienne exilée.
06:10Les journées sont souvent rythmées par l'attente de nouvelles des proches restées au pays.
06:14Des Iraniens exilés suspendus aussi à l'avenir du régime des Mollah fragilisés,
06:18on l'entendait par cette guerre.
06:20Le boxeur Maïar Monchipour était l'invité d'Hertel ce matin.
06:23Pour lui, c'est clair, les Iraniens espèrent aujourd'hui la chute du régime.
06:27Vous savez ce qu'ont dit les Iraniens,
06:28on est sous occupation depuis 79, depuis 46 ans.
06:31On est sous occupation.
06:33Les Mollahs, l'islam, les islamistes, ce n'est pas l'Iran.
06:35Dans l'ensemble, les Iraniens remercient les frappes.
06:38Dans l'ensemble, je ne parle pas au nom des Iraniens de tous.
06:41Dans l'ensemble, ils remercient Israël d'avoir frappé
06:43et peut-être de nous débarrasser des Mollahs.
06:45Vous pensez vraiment que tous les Iraniens remercient Israël ?
06:48Parce qu'il y a une différence quand même entre vouloir la fin du régime des Mollahs
06:51et remercier Israël.
06:53Tous les échos qu'on a, c'est des fêtes.
06:56Moi, hier, j'ai eu des gens au téléphone.
06:58Il y avait un mariage, mais des petits jeunes,
07:00ils étaient en train de pique-niquer.
07:01Ils attendaient la chute du régime.
07:04Il y a la peur.
07:05Il y a la peur.
07:05Il y a septembre.
07:07Il y a les huit ans de guerre.
07:08Ils ont peur d'une guerre qui dure.
07:10Mais beaucoup, quand je dis beaucoup,
07:12la majorité des gens, la grande majorité,
07:14attend la chute du régime.
07:15Maïa Armonchipour avec Amandine Bégaud ce matin sur RTL.
07:19Et à 12h50, on s'arrêtera sur le rôle,
07:21le poids du renseignement extérieur israélien.
07:23Le Mossad en première ligne dans ce conflit.
07:26Yvonique Denoël, historien spécialiste du renseignement,
07:28sera notre invitée.
07:30RTL midi.
07:32Et puis après, l'Assemblée nationale,
07:33c'est au tour du Sénat de s'apprêter à son tour
07:36à modifier la définition pénale du viol.
07:39Pour y intégrer explicitement la notion de consentement.
07:43Bonjour Cindy Hubert.
07:44Bonjour.
07:44Qu'est-ce qui va changer exactement ?
07:46Eh bien, la réforme propose de redéfinir le viol
07:48comme tout acte sexuel non consenti.
07:51Le consentement est libre, éclairé et révocable.
07:54Oui, une femme ou un homme peut changer d'avis.
07:57Le projet de loi précise aussi que ce consentement
07:59est apprécié au regard des circonstances environnantes.
08:02Tout cela doit aiguiller les enquêteurs et les juges.
08:04Mais au-delà de ça, l'idée, c'est de faire évoluer les mentalités,
08:07en finir avec l'idée que le corps des femmes est à disposition.
08:10Mais alors, Cindy, les quatre critères qui existent déjà aujourd'hui
08:14et qui définissent aujourd'hui le viol comme une relation
08:17sous l'effet de la violence, de la contrainte, de la menace ou de la surprise,
08:21ces quatre critères, que deviennent-ils ?
08:23Eh bien, ils ne changent pas.
08:24Ils seront toujours inscrits dans la loi.
08:25Mais pour les défenseurs de cette réforme,
08:27ces critères collent à un viol cliché dans la rue
08:30par un inconnu qui n'est pas la réalité du viol.
08:34Inscrire le consentement permettrait donc
08:35que les victimes se reconnaissent plus dans cette nouvelle définition
08:38et qu'elles osent pousser la porte d'un commissariat
08:40quand aujourd'hui, huit victimes sur dix de viol ne portent pas plainte.
08:43Et une fois devant le tribunal, ça changerait quoi ?
08:45Eh bien, l'objectif, c'est que la justice se concentre plus
08:47sur le comportement de l'agresseur.
08:49S'il s'est soucié, par exemple, de savoir
08:51si la victime était d'accord ou non pour un rapport sexuel,
08:54notamment dans des cas où la victime n'a rien dit,
08:57pas réagi.
08:58Écoutez la députée écologiste Marie-Charlotte Garin.
09:01Il ne peut pas être déduit du seul silence
09:02ou de l'absence de réaction de la victime.
09:04Là, c'est très important parce qu'on vient couvrir
09:06les cas de sidération.
09:07Dans 70% des cas, les victimes sont en état de sidération.
09:10C'est-à-dire qu'elles sont en incapacité la plus totale de réagir.
09:12Donc, c'est plutôt des grandes boussoles qu'on vient donner.
09:14Plus d'éléments, notamment pour que les enquêteurs
09:16puissent constituer un faisceau d'indices
09:17pour mieux apprécier si le consentement a été donné ou pas.
09:21S'il a été donné, est-ce qu'il a été donné librement ?
09:23Est-ce qu'il a été extorqué ?
09:25Est-ce qu'il a été bafoué ?
09:26Est-ce qu'il a été donné sous pression ?
09:28Et l'espoir, évidemment, c'est de s'attaquer enfin
09:29à ce crime de masque et le viol
09:31avec une victime de violences sexuelles en France
09:33toutes les deux minutes.
09:34Alors, le texte est quand même loin de faire l'unanimité
09:37et y compris, d'ailleurs, chez les féministes.
09:38Oui, certaines le voient comme une fausse bonne idée.
09:41Avec cette crainte, explique la porte-parole
09:43d'Osée le féminisme, Céline Pique,
09:44que la justice s'interroge essentiellement
09:47sur le comportement de la victime.
09:49Ce qu'elle a dit, ce qu'elle n'a pas dit.
09:50Est-ce qu'elle a dit non ?
09:51Est-ce qu'elle n'a pas dit non ?
09:52Qu'est-ce qu'elle a fait ?
09:53Et puis, le consentement, c'est quelque chose
09:54d'extrêmement subjectif.
09:55Il est extrêmement facile d'extorquer,
09:58de vici un consentement.
09:59Et bien sûr, l'agresseur va se défendre
10:01en disant, mais regardez, elle avait consenti.
10:03C'est aujourd'hui la défense des agresseurs.
10:05Même dans un procès comme celui de Dominique Pellicot
10:08et de ses 51 violeurs,
10:10tous ont dit, mais je pensais qu'elle était consentante.
10:12Donc, le consentement est quelque chose
10:13d'extrêmement subjectif,
10:15alors que la coercition,
10:16c'est quelque chose d'extrêmement objectif
10:18qui peut être prouvé matériellement
10:20en dévoilant la stratégie mise en place
10:22par le violeur pour pouvoir effectivement
10:24contraindre et imposer ce rapport sexuel.
10:27Avec cette définition du viol,
10:29dénoncent aussi certaines féministes,
10:31le consentement reste l'affaire des femmes
10:33avec ce vieux schéma.
10:35L'homme propose, la femme dispose.
10:37Merci beaucoup Cindy Hubert,
10:38service pour les justices d'RTL.
10:39La loi de simplification, elle a finalement été adoptée
10:42hier par les députés
10:43avec sa mesure controversée
10:45pour abroger les ZFE,
10:46les zones à faibles émissions.
10:48Le texte sera maintenant étudié
10:49en commission mixte paritaire en septembre.
10:52Et puis, il s'est achevé,
10:54mais rien, rien n'est terminé.
10:55Le conclave sur les retraites
10:56jouera les prolongations lundi prochain.
10:59Avec une nouvelle réunion
11:00entre les partenaires sociaux
11:01pour tenter de trouver un accord.
11:03Ce que trois mois et demi de réunion
11:04n'ont pas permis pour l'instant.
11:06Mais, écoutez le patronat,
11:07on en est encore loin.
11:08Patrick Martin, président du MEDEF,
11:10était sur France 2 ce matin.
11:11À l'instant où je vous parle,
11:12je ne sais pas,
11:13mais pour ce qui me concerne,
11:14je suis très réservé.
11:15Parce que nous n'étions pas demandeurs
11:17que cette réforme soit réexaminée.
11:19Elle apporte au pays,
11:21pas aux entreprises singulièrement.
11:23Et à bas bruit,
11:25certains sont en train
11:26de la détricoter.
11:27Or, notre pays a besoin
11:28de travailler plus
11:29et notre pays est en grande
11:30difficulté financière.
11:32Alors, ça peut paraître très abstrait.
11:33Ça veut dire qu'au rythme
11:34vont les choses rapidement.
11:36nous ne pourrons plus payer les retraites.
11:38Patrick Martin,
11:39président du MEDEF,
11:40difficile donc d'imaginer
11:41une conclusion facile.
11:43Lundi prochain,
11:44la suite,
11:44elle sera aussi politique.
11:46Bonjour Thomas Becker.
11:47Bonjour.
11:48Car le conclave avait permis
11:49à François Bayrou
11:49de gagner du temps,
11:50d'éviter une censure socialiste
11:52à l'époque.
11:52Oui, c'était il y a six mois.
11:54Le Premier ministre promet
11:55aux socialistes
11:56de transposer le futur accord
11:58du conclave
11:58en texte soumis
12:00aux parlementaires
12:01pour revoir
12:02la réforme des retraites.
12:03Sauf que d'emblée,
12:04il pose ses conditions,
12:05notamment une,
12:06pas de retour en arrière
12:07sur les 64 ans.
12:09La CGT claque la porte,
12:10suivie par deux autres syndicats.
12:12Face aux organisations patronales,
12:14la CFDT,
12:14la CFTC
12:15tentent d'arracher
12:16des améliorations
12:17sur les carrières des femmes,
12:19sur la pénibilité.
12:20Sauf qu'hier,
12:21date du dernier jour
12:22du conclave,
12:23toujours aucun accord.
12:25Un jour supplémentaire
12:26a été décidé,
12:27ce sera lundi prochain.
12:27Mais écoutez,
12:29à la sortie,
12:29hier soir,
12:30Pascal Cotton
12:30de la CFTC
12:31au micro de Flora Granchette.
12:33Le 66 et demi
12:35pour la décote,
12:36c'est absolument pas possible.
12:37Nous,
12:37c'était notre chiffon rouge.
12:39À la date de ce soir,
12:41on est totalement opposés
12:42et on va réfléchir
12:44si on vient entièrement
12:45le 23
12:46ou qu'au début
12:47ou pas du tout.
12:48Là,
12:49la balle est dans le camp
12:50du Medef
12:50qui ne souhaite pas
12:51depuis le début
12:51accepter les 66 ans.
12:53On verra
12:54ce qu'on va avoir
12:55comme réponse physique
12:57et de combat lundi.
13:00Ce matin,
13:01la CFDT
13:02est réunie
13:02en bureau national.
13:04Patrick Martin
13:04du Medef,
13:05vous l'avez dit,
13:05consulte ses instances.
13:07Pas sûr
13:07qu'il y ait quelqu'un
13:08autour de la table lundi
13:09pour la réunion
13:10de la dernière chance.
13:11Alors,
13:12si je résume
13:12cette menace,
13:13vous savez,
13:13cette menace
13:14de censure
13:15du gouvernement,
13:16elle se rapproche.
13:17Oui, Eric,
13:17et il y a eu
13:18une alerte
13:19au début du mois.
13:20Les communistes
13:20ont fait adopter
13:21une résolution
13:22portant l'abrogation
13:23de la réforme des retraites
13:24non contraignante,
13:26mais elle montre
13:26qu'il n'y a pas
13:27de majorité
13:28à l'Assemblée
13:28pour défendre
13:29la réforme borne.
13:31Manuel Bompard
13:31l'a rappelé
13:32ce matin sur RTL.
13:33Les Insoumis
13:34déposeront
13:35une motion de censure
13:36car le conclave
13:37n'aboutira pas
13:37à l'abrogation
13:38de la réforme des retraites.
13:39Alors,
13:40quelle sera la réaction
13:41des socialistes ?
13:42Début de réponse
13:42avec le patron
13:43des députés PS,
13:45Boris Vallot,
13:45hier à l'Assemblée.
13:46Ce que l'on souhaite,
13:47c'est que le Premier ministre
13:48tienne ses engagements
13:50pris devant
13:51la représentation nationale
13:52d'un retour au Parlement
13:54qui n'est un accord
13:54global ou pas.
13:56Nous sommes
13:56la souveraineté nationale.
13:59Respectez vos engagements
14:00où les conséquences
14:01en seront pour vous
14:02et pour votre gardement
14:03ce qu'elles doivent être
14:04malheureusement pour vous.
14:06Pour l'instant,
14:07le RN laisse planer
14:08le doute
14:08mais n'abandonne pas
14:09l'abrogation des 64 ans.
14:11Maintenant,
14:11François Bayrou
14:12pourrait décider
14:12de jouer la montre.
14:14Jusqu'au début de l'été,
14:15l'agenda de l'Assemblée
14:16est saturé.
14:17Une bonne raison
14:18de ne pas parler retraite
14:19au Parlement
14:19avant la rentrée
14:20quand la question
14:21de la censure
14:22reviendra inévitablement
14:23comme un boomerang.
14:24Thomas Becker,
14:25service politique d'RTL.
14:26Merci.
14:27Dans un instant,
14:29faut-il interdire
14:29la publicité
14:30des produits alimentaires
14:31qui sont exagérément
14:32gras,
14:33salés,
14:34sucrés ?
14:35Il y a débat.
14:36Votre avis compte ?
14:38Venez l'exprimer
14:38sur RTL au 3210.
14:4050 centimes la minute.
14:42Le midi,
14:42les auditeurs ont la parole
14:44avec Eric Brunet
14:45et Céline Landreau.
14:46Trop gras,
14:47trop salé,
14:48trop sucré.
14:49trop mis en avant
14:52par la publicité.
14:53Des associations
14:53et organisations
14:54comme la Ligue contre le cancer,
14:56Action contre la faim
14:56ou encore la CLCV
14:57interpellent le gouvernement
14:59dans une lettre ouverte
15:00pour lui demander
15:01d'interdire la publicité
15:02pour certains produits
15:03jugés.
15:04Peu sain,
15:05notamment quand il vise
15:06les enfants.
15:07Écoutez Stéphanie Pierre
15:08de France Asso Santé.
15:09C'est très important
15:10que ces publicités
15:11soient interdites
15:12dans les médias traditionnels
15:13mais aussi sur les réseaux sociaux
15:15parce qu'aujourd'hui
15:16les jeunes,
15:17les enfants
15:17sont exposés
15:19en majorité
15:20à la publicité
15:21sur les réseaux
15:22ou faites
15:22par des influenceurs.
15:24Mais c'est aussi important
15:25que des mesures soient prises
15:26dans l'espace public
15:27parce que ces publicités
15:29pour les produits
15:29trop gras,
15:30trop sucrés,
15:30trop salés,
15:31on va les retrouver
15:32souvent à proximité
15:33d'écoles
15:34ou de centres de loisirs
15:35ou de centres sportifs.
15:37Les enfants n'ont pas
15:38le recul suffisant
15:39pour résister
15:40à cette pression marketing
15:42et on a aujourd'hui
15:44toutes les études
15:45qui nous montrent
15:45que ça favorise
15:47vraiment l'augmentation
15:48de l'obésité
15:49et l'apparition
15:49de maladies chroniques
15:50chez les enfants.
15:52Propos recueillis
15:53pour RTL
15:54par Laura Legault.
15:55Et puis il a marqué
15:56l'histoire du football français
15:58et plus encore
15:59celle de son club de cœur
16:01l'OL,
16:02l'Olympique lyonnais
16:03qui salue
16:04le plus grand,
16:05le plus grand de tous.
16:06Bernard Lacombe
16:06décédé hier à 72 ans,
16:08il a été buteur,
16:10entraîneur,
16:10puis dirigeant
16:11et les supporters
16:12que vous avez rencontrés
16:13au Groupama Stadium
16:14n'ont rien oublié
16:15Frédéric Perruche.
16:16Ah oui,
16:17les supporters
16:17ont réellement perdu
16:18l'âme de l'OL,
16:19Bernard Coeur de Lyon,
16:20la figure emblématique
16:21d'un club
16:21qu'il a rejoint
16:22comme joueur
16:22dans les années 60-70,
16:24buteur hors pair,
16:25puis entraîneur,
16:26recruteur,
16:26conseiller de Jean-Michel Aulas.
16:28Une perte immense
16:29pour Patrick,
16:30supporter historique.
16:32C'est vrai que Bernard Lacombe
16:33aujourd'hui,
16:33il va nous manquer.
16:34Un pur lyonnais
16:35qui a toujours tout fait
16:36pour l'Olympique lyonnais
16:38en dirigeant,
16:39en choisissant les joueurs.
16:41J'ai connu
16:41le grand L'OL à Gerland
16:43avec Juninho,
16:44Anderson,
16:45voilà,
16:45tous ces grands joueurs.
16:47C'était la grosse époque
16:48de l'Olympique lyonnais.
16:50C'était le pur lyonnais
16:51qui donnait tout
16:52pour le club.
16:53Ce que retient surtout
16:54Samuel,
16:5426 ans,
16:55de Bernard Lacombe,
16:57c'est d'avoir repéré
16:57et formé
16:58une autre légende
16:59de l'OL,
17:00Karim Benzema.
17:01Il a été très proche
17:02par exemple de Karim Benzema,
17:03qui l'a fait beaucoup évoluer
17:03au sein du club,
17:04qu'avant les matchs,
17:05ils l'accompagnaient au stade,
17:06ils essayaient de voir
17:07un petit peu
17:07les différentes techniques
17:08pour jouer,
17:09pour mieux produire le jeu,
17:10etc.
17:10Il y a eu comme une confiance
17:11entre les deux
17:12qui a opéré,
17:13donc du coup,
17:13ça l'a amené,
17:14je pense,
17:14au plus haut niveau aujourd'hui.
17:15Benzema,
17:16Benzema,
17:16Benzema,
17:16Benzema,
17:16Benzema,
17:16Benzema,
17:17on est allé jusque là,
17:18donc c'est beau,
17:19c'est beau,
17:19on remercie,
17:20et puis on est ému.
17:22Jean-Michel Olas,
17:22l'ancien président de l'OL,
17:23indique avoir perdu un frère,
17:25nul doute que le club
17:26lui rendra hommage,
17:27l'hommage qu'il mérite.
17:29Frédéric Perruche,
17:29à Lyon,
17:30pour RTL.
17:31Et si vous êtes un fan
17:31de Bernard Lacombe,
17:32je vous recommande
17:33de regarder la une
17:34de l'équipe aujourd'hui
17:35qui est juste magnifique
17:36et qui lui est consacrée.
17:37Début de l'Euro
17:38de basket féminin
17:40aujourd'hui en Grèce,
17:41les Bleus affronteront
17:41la Turquie pour leur entrée
17:42en lycée à 16h30.
17:44Toujours en basket,
17:44je vous rappelle
17:45que le Paris Basketball
17:45a creusé les carrières
17:46en finale du championnat de France
17:47en corrigeant Monaco,
17:4892 à 67.
17:50Les Parisiens
17:51mènent donc
17:51deux victoires à zéro.
17:52Et puis,
17:53cette petite déception
17:54pour Loïs Boisson,
17:55elle ne disputera pas
17:56directement le tournoi
17:57de Wimbledon
17:58à partir du 30 juin.
18:00Malgré son impressionnant
18:01parcours à Roland-Garros,
18:02la jeune Française
18:03n'a pas reçu d'invitation.
18:05Le classement pris en compte
18:05pour être qualifié directement,
18:07c'était celui d'avant,
18:08Roland.
18:09Loïs Boisson devra donc
18:10passer par les qualifications.
18:12La météo,
18:13Peggy Broch,
18:14qualifiée directement
18:15pour la chaleur
18:15cet après-midi.
18:16Ah ça c'est sûr,
18:17de fortes chaleurs
18:17et ça continue
18:18de grimper.
18:18On gagne encore
18:19un ou deux degrés
18:20et ce sur tout le pays.
18:21On atteint même
18:22les 30 degrés sur le nord
18:23et jusqu'à 34 encore
18:25cet après-midi à Nîmes,
18:2633 à Limoges
18:27comme à Bordeaux,
18:2932 degrés à Lyon,
18:30Toulouse,
18:30Marseille,
18:31Montpellier,
18:3131 à Clermont-Ferrand
18:32comme à Nantes,
18:33Nevers ou encore Strasbourg,
18:3530 degrés à Paris,
18:36Rennes,
18:36Aurillac,
18:37Tarbes,
18:3729 à Reims,
18:38à Ajaccio,
18:39Mulhouse,
18:39à Toulon,
18:4028 à Lille,
18:4127 à Brest,
18:4224 à Caen
18:43et 22 à Cherbourg.
18:45Côté ciel,
18:48grand bleu pour tout le monde.
18:49Oui, oui,
18:50peut-être si,
18:51en fin de journée,
18:51on peut avoir un petit nuage
18:52porteur d'averse.
18:53Oui,
18:53mais ça,
18:54c'est uniquement sur le relief
18:55des Alpes
18:55comme sur le relief Corse.
18:57Franchement,
18:57ce n'est pas grand-chose
18:58et puis on a un petit vent
18:59près de la Méditerranée
18:59et la vallée du Rhône
19:00mais ça reste vraiment
19:01très très faible.
19:03Voilà,
19:03et cette chaleur
19:03va continuer de s'accentuer
19:05dans les jours prochains.
19:07On ne parle pas
19:08pour l'instant de canicule
19:09parce que j'entends
19:09beaucoup parler de canicule.
19:10On n'y est pas encore.
19:11Parce que les nuits
19:11sont suffisamment frais.
19:12Exactement,
19:13et on surveille tout ça
19:14peut-être d'ici vendredi
19:15parce que les températures
19:17vont continuer de grimper
19:17jusqu'à 36 au nord
19:18vendredi
19:19et 38 dans le sud-ouest.
19:21Quand même.
19:22Quand même, oui.
19:23Merci beaucoup Peggy.
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