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  • 15/06/2025
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🧠 Au programme :
Des invités prestigieux, des questions sportives, de l’humour, de la mauvaise foi… et un final de saison comme on les aime !



Catégorie

🥇
Sport
Transcription
00:00Ah, ça commence bien.
00:01Ça commence bien.
00:02J'aurais essayé la voix du foot d'RMC qui s'arrête.
00:04Salut Christophe.
00:05Ça fait plaisir de te revoir.
00:06On a peut-être commencé ensemble les RMC, non ?
00:08C'est 1987.
00:09Ça se dit pas.
00:10Qui a gagné le Tour de France en 1987 ?
00:11Toi t'étais à Monaco, moi j'étais à Toulouse à l'époque.
00:12Qui a gagné le Tour de France en 1987 ?
00:13Stéphane Roche.
00:14Qui a gagné en même temps ?
00:15Il a commencé en même temps.
00:16Bah le Tour d'Italie.
00:17Le Tour de France et champion du monde.
00:18Bien sûr.
00:19Pas mal.
00:20Et depuis, il y a Pogaccia.
00:21Pogaccia ?
00:22Notre histoire.
00:23Je pense avec Jean Ressayer.
00:24On va parler tennis et vélo peut-être avec Frédéric Verdier.
00:26La voix du tennis à la télévision sur toutes les chaînes.
00:29Bonsoir.
00:30Mais oui, bonjour, bonsoir, comme tu veux.
00:31Mais c'est vrai que t'es partout toi.
00:33T'es sur print.
00:34T'es sur l'équipe.
00:35Je joue dans le lécho.
00:36C'est incroyable.
00:37En plus, tu sors d'une finale incroyable il y a quelques temps.
00:38Oui, c'est monstrueux.
00:39C'est inoubliable.
00:40Ça interroge ces cinq manches quand même, non ?
00:42Ou pas ?
00:43Ou c'est que du spectacle ?
00:44C'est que du vrai ?
00:45Il n'y a pas de critique ?
00:46Il n'y a pas de soupçons ?
00:47Je dis ça.
00:48C'est comme le PSG qui gagne 5-0.
00:50Allez, ça commence.
00:51Allez, non !
00:52Très bien.
00:53Deuxième club français pour la Ligue des champions.
00:54Et très important pour le football français.
00:56Et le PSG qui avait gagné une autre coupe, bien sûr.
00:58Oui, 96.
00:59C2.
01:00Ouais.
01:01Messieurs, les journalistes en face de vous, il y a du gros.
01:04Ah ouais.
01:05Du spectacle, monsieur.
01:06C'est un ami de Rémi Marceau qui a déjà fait un épisode chez nous.
01:08Oui.
01:09Contant de te retrouver.
01:10Laurent Barra.
01:11Content aussi.
01:12Salut les gars.
01:13Bonjour à toutes et tous.
01:14Bonjour Laurent.
01:15Je suis poli en 87, j'étais en CM2, ça peut vous rassurer, continuer.
01:19Ah, mais t'es déjà né ?
01:20Ouais, j'étais déjà né.
01:21Ah, tu fais quand même.
01:22C'est parce que j'ai des origines asiatiques.
01:23C'est ça.
01:24Ah oui.
01:25Tu vas faire quelques imitations ou non ?
01:26On va essayer.
01:27La grand-mère tout à l'heure, non ?
01:28La grand-mère peut-être, dans la salle.
01:29Enfin, je vais essayer d'en placer deux-trois.
01:30T'es là, deux-trois.
01:31Je vais te dire quelque chose.
01:32On va pas comprendre.
01:33Mais bon.
01:34Toi, tu comprends que c'est ta région.
01:35Oui, tout à fait.
01:36J'ai pris l'habitude.
01:37C'est le sud, tu vois.
01:38Quand je le vois, je suis à Nice, je suis à Cannes, je suis à Mercos.
01:40C'est ça.
01:41Moustapha Courleux, bonjour.
01:42Bonjour.
01:43Ravie de vous retrouver.
01:44La BPI qui est à fond dans le sport.
01:46C'est complètement.
01:47Et vous serez notre amateur éclairé.
01:49Exactement.
01:50Ça vous va ?
01:51Amateur.
01:52C'est pas réjoratif ?
01:53Non, non, très bien.
01:54Je le crois comme un vrai compliqué.
01:55Ah ouais, ouais.
01:56Vous organisez une grande fête très bientôt, une fête.
01:58Un grand rassemblement.
01:59Un grand rassemblement, ouais.
02:00Qui s'appelle Sport Définition le 19 juin à l'Adidas Arena.
02:02Est-ce que c'est digital aussi ?
02:04Alors Sport Business de manière générale avec vocation à rassembler tous les écosystèmes
02:09économiques du sport en France et de pouvoir leur donner la parole, mettre en valeur et
02:15puis des travaux de connexion pour faire monter le business.
02:18Avec tous les plus grands du sport aujourd'hui, je parle de l'ancienne ministre qui sera peut-être
02:22présidente du comité olympique, vous voyez ce que je veux dire ? Edgar Gropiron sera
02:25là.
02:26Edgar Gropiron sera là.
02:27Philippe Diallo sera là.
02:28On aura aussi d'autres où je pourrais peut-être en reparler, mais oui, beaucoup
02:33de beau monde.
02:34Vous avez un petit papier, un stylo, tous devant vous.
02:36Ce n'est pas des chiffres pour vous aujourd'hui.
02:37Ce n'est pas que des millions.
02:38Ce n'est pas Jean-Pierre Foucault.
02:39D'accord ?
02:40Alors.
02:41Là.
02:42C'est parti.
02:43Le petit pack.
02:44L'avantage, vous savez, le petit pack, c'est que c'est chez vous.
02:46Et en plus, il se passe de temps en temps.
02:49Je ne sais pas.
02:50On peut être gêné par une voix qui nous arrive, mais qui est aussi l'arbitre de cette
02:53émission.
02:54Je vous présente Maître Capello.
02:55Bonjour Maître Capello.
02:56Salut tout le monde.
02:57Vous l'entendez bien Maître Capello ?
02:58Bonjour Maître Capello.
02:59On entend très bien.
03:00Bonjour.
03:01Tout le monde devrait savoir à quoi il ressemble, tu sais.
03:02Oui.
03:03Parce qu'au début, il est très sympathique, mais après il devient agaçant.
03:05Il paraît.
03:06Mais agaçant.
03:07Voilà.
03:08Où est-ce qu'on peut retrouver Radio Sport, monsieur ?
03:09Partout.
03:10Partout, très bien.
03:11Et Sport en France qui nous récupère l'émission ?
03:12Partout.
03:13Partout.
03:14Il est conscient.
03:15Oui.
03:16Ça veut dire que c'est une télévision linéaire aussi que tu peux regarder sur
03:17MyCanal, sur n'importe quel site intéressant.
03:19On attaque la première manche, Maître Capello ?
03:20Eh bien oui.
03:21C'est parti pour l'épisode 24.
03:28Les cases du jour.
03:30Avant de vous donner la lettre, en commençant par Sport puisque nous sommes Radio Sport Sport
03:33en France.
03:34La deuxième case, c'est Prénom.
03:35Facile.
03:36Oui.
03:37Sport, Prénom, Pays, Métiers.
03:38Animauxx.
03:39Pour faire plaisir à Montjeanot.
03:41Foochiball.
03:42Pour faire plaisir à la BPI.
03:44Des pubs.
03:45De la marque.
03:46Oui.
03:47Tennis.
03:48Ça te va ?
03:50Comique.
03:51Et enfin, Maître Capello pour la catégorie 10, c'est lui qui va vous donner, attention,
03:56la définition de cette dixième case.
03:59Que faut-il faire ?
04:00Que faut-il remplir, Maître Capello ?
04:01Un mot qui finit par le son A.
04:03Ah oui.
04:04Comme Rafa.
04:05Par exemple.
04:06La première lettre.
04:07Vous êtes prêt chez vous ?
04:08Ça dure deux minutes.
04:09Ici, chez nous, sur le plateau.
04:10C'est le premier qui pose le stylo, bien sûr.
04:12Première lettre, Maître Capello.
04:13Et ça sera le E.
04:14On est donc parti pour deux minutes.
04:16C'est facile pour toi, pour le comique.
04:17Je sais déjà, Laurent.
04:19Ah oui.
04:20Je ne suis pas obligé de faire dans l'ordre.
04:22Vous faites comme vous le sentez.
04:23Eux.
04:24Eux, comme l'électricité.
04:27Allez-y.
04:28Je vous vois perdu, là.
04:29Le sport peut vous aider.
04:31Si vous me regardez, je vous aide.
04:32Si vous êtes coincé, je vous aide.
04:34Non, ça va.
04:35Prénom, ça va.
04:37Dans le public, ça travaille.
04:38Je sens que ça va aller vite aujourd'hui.
04:40Tu crois ?
04:41Moi, je n'ai pas fini.
04:42J'en vois un.
04:43Là, il ne lui reste qu'une seule case.
04:45Attends, je regarde qu'est-ce qui va vite.
04:46Non, non, ça va.
04:47Si, si, si.
04:48Ils sont bien, regardez.
04:49Ils ne sont même pas à ma hauteur.
04:50On peut mettre le prénom.
04:51Ah non, pour le foot, on peut mettre…
04:52Je rappelle des catégories pour ceux qui sont chez eux.
04:54Non, mais tu vois Michel Pitini, je ne vais pas mettre Michele.
04:55Platini, c'est Platini.
04:56Zizou, c'est le 2Z.
04:57Donc là, je ne peux pas mettre le prénom, par exemple.
04:59Non.
05:00Il faut vraiment qu'il soit là, tu vois.
05:01Après, tu peux mettre Chris, le prénom, puisque c'est un joueur aussi.
05:04Alors, on cherche une catégorie en sport, prénom, pays, métier, animaux, foot, pub ou marque, tennis, comique et la catégorie mystère.
05:11Quelque chose qui finit avec le son A. Il a déjà donné une réponse.
05:16Tu vois, je regarde le timing.
05:17Moi, j'arrive à faire une petite minute avec l'habitude.
05:19Le mec, il se la pète.
05:20Et donc, normalement, chez vous, vous avez peut-être déjà posé le stylo.
05:23Et chez nous, pas encore.
05:24Il faut dire que tu en as fait 24.
05:26Oui, on a eu des spécimens quand même.
05:28Tu te souviens, les joueurs de poker, c'était quelque chose.
05:30Et les demoiselles, on a fait une émission 100%, c'était pas mal non plus.
05:33100% féminine.
05:35Jeannot, tu veux un coup de main sur quoi ?
05:36Je craque même sur le foot.
05:38Sur le foot ?
05:39J'ai posé moi, j'ai posé stylo.
05:40Un pays ? Un pays de foot ?
05:42L'arbitre.
05:43Christophe, il est sourd en fait.
05:45Christophe, j'ai posé le stylo.
05:47Ah pardon, ok.
05:48J'ai posé le stylo.
05:49Il fait semblant d'être sourd en plus.
05:50Ouais, ouais.
05:51Alors, je suis pas sûr de tout.
05:52Je croyais que c'était par rapport au foot.
05:53Non mais, foot comme j'ai dit, tu veux mettre une généralité.
05:55Tu voulais un café ou...
05:56Non, non, j'explique.
05:57J'explique pour ceux qui auraient loupé, qui auraient pas tout regardé les épisodes,
05:59tu peux mettre quelque chose qui se rapproche d'eux.
06:01Donc en foot, tu peux mettre un pays de foot, tu peux mettre l'Italie.
06:03Ouais, ouais, d'accord.
06:04Ça va venir, ça va venir.
06:05Tu vois ?
06:13C'est ça le taux d'intérêt ?
06:14Il n'est pas bon.
06:15Attention !
06:17Dénouement, vous posez ici des stylos chez vous, on va compter.
06:21Parce qu'ensuite, il faut raconter vos points, bien sûr.
06:23On peut aller faire 40, s'il n'y a pas de doublons, parce que le doublon c'est 0.
06:26Ah ouais, ouais.
06:27Comme tu étais le meilleur, tu peux débuter.
06:29Équitation.
06:30Facile, hein ?
06:31Ouais.
06:32Je voulais vous faire signe, mais vous avez ?
06:33Équitation.
06:34Au revoir, 0, 0.
06:35J'ai pas trouvé.
06:36Escrime.
06:37Un point pour Jean essayer.
06:38Lui, il m'embête, lui.
06:39Ah oui, il va t'embêter.
06:40Il y a des couples qui se forment comme ça, tu sais.
06:42Lui, il m'embête aussi.
06:43Les deux, ils m'embêtent.
06:44De toute façon, t'as pas la même équipe.
06:45Donc c'est-à-dire qu'ils ne marquent pas de points tous les deux parce qu'ils ont le même ?
06:47Ah ouais, mais...
06:48Un petit doublon.
06:49Le prénom ?
06:50Émile.
06:51Étienne.
06:52Eudes.
06:53Jean Eudes aussi, non ?
06:54Éric.
06:55Oui.
06:56Tranquille, ça passe, tu vois.
06:57Pays ?
06:58Éthiopie.
06:59Éthiopie.
07:00Très bien.
07:01Équateur.
07:02Érythrée.
07:03Oui, très bien.
07:04État génie.
07:05Oui, oui, ça va.
07:07Je réfléchis toujours, tu sais qu'il y a une petite embrouille.
07:11Métier ?
07:12Pas trop.
07:13Ébouer.
07:14Ébouer.
07:15Pas bien.
07:16Ébouer, très bien.
07:17Pas de métier ?
07:18Pas d'électricien ?
07:19Ah oui, j'ai de l'électricité en plus pour rigoler tout à l'heure, donc...
07:22Animaux !
07:23Moi, j'ai mis un éléphant, mais je vais me faire...
07:25C'est bon, moi aussi.
07:26L'émeu.
07:27Un émeu.
07:28Un émeu.
07:29Un émeu !
07:30Lui m'embête, lui aussi.
07:31Écureurier.
07:32Lui aussi.
07:33Souvent, tu es émeu.
07:34Je suis très émeu.
07:35J'ai extrêmement...
07:36J'adore Frédéric Verdier.
07:37Si vous ne connaissez pas encore chez vous la télévision, Frédéric Verdier, c'est
07:40quelque chose...
07:41Regardez-le sur l'équipe, sur Frank ou sur Eurosport.
07:42Il est très poétique, lui.
07:43C'est un vrai poète.
07:44C'est beau de l'air pour nous.
07:45Non, mais il a d'autres...
07:46Il va chercher plus loin, tu veux.
07:48Il ne reste pas dans Victor Hugo, tu vois, demain dès l'aube, j'irai par les cheveux.
07:51J'irai en Doume.
07:52J'irai en Doume.
07:53Le coup blanchit la campagne, tu vois, il change, il va chercher ailleurs.
07:55Bien sûr.
07:56Le football.
07:57Samuel Eto'o.
07:58Eto'o, génial.
07:59Brélembolo.
08:00Brélembolo.
08:01Monaco.
08:02Monaco.
08:03Espagne, grand pays de foot, merci pour l'indice.
08:05Équateur.
08:06Ben voilà, Équateur, très bien.
08:07Équador.
08:08Pub, Marc.
08:09Nada.
08:10Rien.
08:11Samaclou.
08:12Evidemment.
08:13Ben non, évidemment.
08:14C'est pas Samaclou.
08:15Mais t'es bien Laurent Barraou, ça va ?
08:17Maître Capello, vous pouvez faire un café pour Laurent Barraou, pour qu'ils puissent comprendre.
08:21Ah, c'était le slogan, évidemment.
08:23Bon, allez, ok.
08:24Tu l'acceptes, Maître Capello ?
08:25Non, mais il aurait pu prendre un verre d'eau.
08:27Ah, un verre d'eau.
08:28Moi, j'avais mis Evian, tu vois.
08:29Voilà, un verre d'eau.
08:30Unique.
08:31Ouisseau.
08:32Qu'est-ce que c'est ça ?
08:33Ah oui.
08:34Oui, exact.
08:35Et c'est laquelle, celle-ci ?
08:36Ah, je ne connais pas celle-ci.
08:37Il y avait ni aussi, pour le sens.
08:39Ils font ce qu'ils peuvent, surtout.
08:40T'es sûr de toi, Maître Capello ?
08:42Oui, oui.
08:43D'accord.
08:44Il a dit oui.
08:45En tennis.
08:46Il y a égalité.
08:47Joli.
08:48Joli.
08:49Joli, très bien.
08:5040 ans.
08:51Deuce ?
08:52L'américain Chris Eubanks.
08:53Eubanks.
08:54Ah, il faut le connaître, un Chris Eubanks, ouais.
08:55Eubanks.
08:56T'as pas pensé à Edberg, toi ?
08:57Non, parce que ça ne m'est pas venu, ouais.
08:59Bah voilà, tu vois.
09:00C'est quand même plus évident.
09:01Ah, plus évident.
09:02Quoique, Edberg, j'avais peur d'être éventuellement...
09:03Lui, il est très très forme.
09:04Ouais.
09:05C'est vrai qu'il est bon.
09:06Non, non, rien.
09:07Moi, j'ai séché après.
09:08Non plus.
09:09Non plus ?
09:10Regardez-moi la prochaine fois.
09:11Je vous aide.
09:12Ouais.
09:13Comique !
09:14Il a fait sa première partie.
09:15Elikaku, Gad Elmaleh.
09:16Ah non, on a dit pas les prénoms.
09:17Pas les prénoms.
09:18Gad Elmaleh.
09:19Ah bah non, je savais.
09:20Elikaku, Gad Elmaleh, c'est deux.
09:21C'est Gad Elmaleh.
09:22Quand j'ai vu ça, que je sais que t'as fait pendant un an la première partie de Gad Elmaleh,
09:25je te dis, c'est caviar pour toi, là.
09:28C'est caviar pour moi, mais je voulais pas tout ramener à moi, mais bon, voilà, écoutez.
09:31Comique ?
09:32J'ai pas trouvé.
09:33Bon.
09:34J'ai bloqué après le...
09:35Moi, j'avais Gad Elmaleh aussi.
09:36Ah bah oui.
09:37Bah désolé.
09:38Ah bah en zéro.
09:39Tu as voulu tricher.
09:40Tu vois ?
09:41Tu vois là, le destin est là.
09:42Tu as voulu tricher.
09:43Elle est là.
09:44Elle est là.
09:45Et confiance.
09:46Trois envoies.
09:47Catégorie mystère.
09:48Bah c'est pas trop difficile, hein.
09:49Comme un truc à pelo, c'est bien ça.
09:50Emportera.
09:51Emportera.
09:52Gagnera.
09:54Au revoir.
09:55Au revoir.
09:56J'ai bloqué après le foot, moi.
09:57Emportera.
09:58C'est comme ça, tu sautes une case.
09:59Oui, ça y est.
10:00J'ai bien compris.
10:01Bah pareil.
10:02En fait, j'allais dire Mustapha, mais bon, je savais pas si l'auto...
10:04Magnifique.
10:05Magnifique.
10:06Non mais c'est avec un E.
10:08Donc c'est pas Mustapha.
10:09C'est ça.
10:12C'est pas bête.
10:13Non plus.
10:14C'est pas bête.
10:15C'est bien la dernière lettre.
10:16Combien de points, Monsieur Verdier, puisque vous souriez ?
10:18Et bien 7.
10:197, c'est pas mal.
10:20Pour une première, Jeannot ?
10:215.
10:225.
10:236.
10:241.
10:25Ah ouais.
10:27Bah 4.
10:28Combien vous dites ?
10:294.
10:304.
10:31C'est bien, personne n'est à égalité pour l'instant.
10:32En tout cas, tout le monde est très honnête.
10:33Et ça, c'est vraiment...
10:34Oui.
10:35Les feuilles.
10:36En plus, magnifique.
10:37Comme tu as gagné la première manche, on va commencer par toi Fred.
10:40Ça tombe bien parce qu'il n'y a pas si longtemps Roland-Garros, on a une petite quinzaine
10:43plutôt sympathique avec les numéros 1 et 2 garçons et filles qui sont arrivés en
10:48finale.
10:49Absolument.
10:50Ça, c'est bien.
10:51Un et deux mondiaux.
10:52Quinzaine de malades.
10:53Ça avait commencé avec l'hommage à Rafael Nadal.
10:55Ah, c'est vrai.
10:56Parce que les Espagnols et la Fédération Internationale, qui en général fait très
10:59mal les choses, avaient très mal fait les choses en Coupe Davis à Malaga.
11:03Ils avaient fait un hommage, mais monstrueux, dégueulasse.
11:06Il n'y avait rien.
11:07Il n'y avait rien.
11:08C'était vraiment des vidéos.
11:09Vous ne voyez pas bien.
11:10Enfin bref.
11:11C'était indigne de Rafa.
11:12Et là, Roland-Garros, en accord avec Rafa, a fait un truc pour reconnaître.
11:16Alors, c'est vrai que maintenant, en France, il y a des hommages à peu près tous les jours,
11:19sur les 10 ans, les 20 ans, les 30 ans, des hommages associés à ceux-là.
11:23Là, Roland, on a eu 17 hommages aussi pendant la quinzaine.
11:25C'est parce qu'on a beaucoup de Français qui arrête aussi.
11:27C'est ça le problème ?
11:28Oui, c'est ça.
11:29Ce qui est très drôle, c'est juste quand j'ai regardé ça, le stade a été fait en
11:3428 à Roland.
11:35De 28 à 78, il y a un hommage.
11:37Je ne sais même plus pourquoi d'ailleurs.
11:38Si c'était pour les 50 ans du stade.
11:40D'accord.
11:41C'est tout.
11:42Il n'y a pas d'autre hommage.
11:43Ensuite, on a eu 60.
11:44Ce qui était formidable, c'est quand même qu'on avait eu un hommage tellement
11:47vibrant pour le départ de Federer, avec la dalle qui était plus ampleur que Federer.
11:50Tu vois ce que je veux dire ?
11:51Oui, mais ça, c'était dans le cas d'une exib, que c'était l'Ever Cup.
11:54Mais l'image est restée.
11:55Il se tienne par l'auriculaire.
11:56Et là, ce qui va rester, c'est quoi ?
11:58C'est la plaque à côté du filet ?
11:59La plaque, c'était une idée de génie.
12:00Je trouve ça extraordinaire.
12:01Parce qu'il y en avait qui voulaient débaptiser le central, ça n'avait pas de sens.
12:04Et puis, Chatrier a eu un rôle beaucoup plus important encore que Rafa sur le plan mondial
12:09et français.
12:13Donc, c'était une connerie.
12:14Mais mettre du coup de la plaque...
12:15Du coup de la plaque à droite.
12:16C'est excellent, oui.
12:17Quelle belle idée.
12:18Déjà, les grands ont commencé à...
12:20Arsenal avec Thierry Henry.
12:22Bernard Tapie.
12:23Il y a Copa, Juste Fontaine, Arrins.
12:25Non, non, mais c'est très bien.
12:26Oui, dernièrement, il y a Bernard Tapie.
12:27Et Claude Baez à Bordeaux, non ?
12:28Non, ça, ils n'ont pas.
12:29C'est-à-dire qu'ils sont partis de l'escu.
12:30Ils sont allés au Matmut Atlantique.
12:32Ou Matl Lopez.
12:33Joli, comme ça.
12:34Mais Rafa avait déjà sa statue de son vivant.
12:36Et là, ils ont rajouté un truc qui est, je trouve, beaucoup plus fort.
12:39Cette plaque-là, c'est un côté Hollywood Boulevard.
12:41C'est un côté de substance aussi, le film.
12:43C'est ça qui est bien, en fait.
12:44Oui, oui, bien sûr.
12:45Parce que, par rapport à toutes les critiques, ce Roland Garros s'est super bien passé, sportivement
12:48parlant.
12:49Parce qu'il y a la critique, moi, l'amateur de tennis ou celui qui paye, ça te dit, je
12:52sais que toi, tu fais partie de Prime Vidéo, d'Eurosport et autres.
12:54Donc, tu comprendras la réflexion de faire sortir les gens pour faire revenir des gens,
12:57pour faire une deuxième session, pour reprendre de l'argent avec un match.
12:59Avec un match, je ne sais pas combien de temps ça va durer le soir.
13:01Maintenant, il n'y a plus de polémique, ça existe, parce que ça existe partout ailleurs.
13:04Oui, sauf à Wimbledon.
13:05Ah, sauf à Wimbledon.
13:06Il n'y a pas de lumière là-haut ?
13:08Les Britanniques sont des pins ?
13:10Ils ne le font pas.
13:11Non, c'est surtout...
13:12Non, tu sais, c'est pour une seule raison.
13:14C'est qu'ils sont comme nous, comme Roland, dans la ville.
13:17Mais eux, ils ont des primes avec leurs riverains.
13:19Et ils se sont toujours engagés, comme c'est un club qui fonctionne toute l'année,
13:23à ce qu'après 23h, il n'y a rien.
13:25Pas de bruit, pas de nuisances, rien.
13:27Donc, il ne faut pas faire une session de nuit.
13:29S'il y a 23h, on doit dire aux gars, vous pliez les goals, vous êtes gentils.
13:31Là, il y a deux partout au cinquième, mais on finira demain.
13:34C'est comme nous, au parc, quand on reste après des prolongations, il n'y a pas de métro.
13:37Il y a des moments...
13:38Parce que quand tu fais les interviews, tu sais, maintenant avec les joueurs,
13:40quand tu vas faire Dembélé ou Mbappé à l'époque, tu attends un peu, Jeannot.
13:44L'avantage, c'est que j'ai le bureau qui n'est pas très loin, donc je rentre à pied.
13:47Autrement, tu attends jusqu'à une heure du matin.
13:49Pour voir un joueur.
13:50Pour voir un joueur.
13:51Un joueur.
13:52Le deuxième, tu n'es pas sûr de l'avoir.
13:53Celui qu'on te désigne.
13:54Celui qu'on te désigne.
13:55Donc, en général, les francophones, tu les oublies.
14:02Après la grande requête de Maître Capello de mettre un jingle,
14:05nous voici de retour sur Sport en France et sur Radiosport.
14:08Petite case mystère pour cette deuxième lettre après la lettre E.
14:11Avant de vous dévoiler la lettre, Maître Capello.
14:13Un dessert.
14:14Génial.
14:15J'en connais certains qui aiment les desserts.
14:17C'est sûr.
14:18On est d'accord ?
14:19Oui.
14:20Attention.
14:21La deuxième lettre du jour dans cet épisode 24.
14:23Prenez le temps de bien réfléchir aux mots que vous choisissez.
14:27Ça sera la lettre T.
14:28C'est parti pour deux minutes.
14:29Quoi ?
14:30T.
14:31T comme le temps.
14:32Tu sais que c'est un poète, Henri Capello.
14:34Et là, tu vas commencer à parler, c'est le temps de parler.
14:37Il est temps de faire un petit rappel pour vous qui nous regardez.
14:40Écoutez, dans la voiture, dans votre salon, peut-être dans votre transport,
14:42ou peut-être en train de faire un footing.
14:44Tu sais que j'ai une personne qui m'a envoyé une petite photo très sympa.
14:47Elle écoutait dans la voiture, dans les bouchons.
14:48C'est une bonne idée.
14:49Après, pour écrire, faites attention.
14:51Tu sais que depuis son lancement, le petit pack, il a fait vivre chaque mois des moments uniques
14:56autour du sport, l'humour et la culture populaire.
14:59T'as vu, c'est pas bien écrit, ça ?
15:00Au fil des épisodes, on a eu le temps d'accueillir des invités extraordinaires, Christophe.
15:04Des copains de Jeannot ?
15:05Des champions olympiques, des journalistes de renom, des comédiens, des entraîneurs,
15:08des seuls points communs.
15:10Les seuls points communs.
15:11Ils sont tous supporters et passionnés.
15:13Ça, on ne peut pas leur en voir.
15:15Des fous rires, des débats.
15:17Et chaque émission, c'est une mission de voir le sport autrement.
15:19Et je vous invite à les retrouver.
15:20Toutes les émissions sont disponibles, tous les épisodes sont disponibles sur radiosport.fr,
15:25sur YouTube et également en podcast audio.
15:27Comme ça, vous pouvez les écouter tranquilles, au rythme.
15:30Vous avez le temps de revoir.
15:31Et vous pouvez jouer avec nous, c'est pas compliqué.
15:32C'est pénible avec le monsieur qui parle.
15:34Il me fatigue.
15:35Je l'écoute, je lui parle et j'ai terminé.
15:38Un stylo, une feuille de papier et vous avez 50 secondes pour trouver une catégorie sport,
15:44prénom, pays, métiers, animaux, foot, pub ou marque, tennis, comique et dessert avec la lettre T.
15:52On a plein de trucs.
15:54Non mais dites-moi le premier truc qu'il vous montre.
15:56C'est tea time.
15:57Tennis, vous n'avez pas ?
15:58Métier.
15:59Métier, ah bah si.
16:01Il y en a beaucoup avec.
16:02Il y en a beaucoup avec.
16:03Un mur.
16:04Oh mon dieu.
16:05Mais non, un mur.
16:06Un carreleur ?
16:07Bah non, qu'est-ce que tu fais si tu mets pas de carrelage, tu mets autre chose ?
16:10Et là, ils vont tous faire pareil.
16:11Non, toujours pas, ok.
16:12Le foot, c'est une fatigue, le foot.
16:14Fatigue.
16:15Il te reste 17 secondes.
16:16Élargissez.
16:17Vous n'êtes pas obligés de trouver des gens d'athlètes.
16:18Qu'est-ce qu'il est en forme ?
16:19Le foot, je n'arrive pas.
16:20Vous pouvez élargir.
16:21Oh, c'est un Toulousain.
16:22Ouais.
16:23Jeannot.
16:24T'as mis des cheveux ?
16:25Élargis, élargis Jeannot.
16:26Ah oui, ok.
16:27Mais j'ai rien dit.
16:28J'ai posé ce stylo, moi.
16:29Mais tu ne gagnes pas pour autant.
16:30Bah ça veut dire que j'ai fini.
16:31Tout le monde les arrête de finir.
16:32Et c'est facile, c'est terminé pour tout le monde, même chez vous.
16:35Ah, on est parti Maître Capello.
16:37Vous allez voir si vous pouvez valider toutes les bonnes ou mauvaises réponses.
16:40Lettre T pour le sport.
16:41Laurent, tu étais le premier.
16:42Le tennis.
16:43Le tennis aussi.
16:44Et il n'y en a pas un qui a mis tennis de table, quoi.
16:48Oui, quel con.
16:49Non, pardon.
16:50Pas de gros mots chez nous, monsieur.
16:51Vous faites ça.
16:52Quelle abrutine.
16:53Moi, j'aime bien Christophe Paco.
16:55Le problème, c'est qu'il fait ça toutes les semaines.
16:57Bien sûr.
16:58Depuis l'enfance.
16:59Et tout le temps avec les mêmes lettres, en plus.
17:01Oui, mais en plus, je n'ai pas voulu regarder.
17:04Ça, c'est qu'il se passe.
17:05En plus, je voulais rentrer un indice.
17:07Je ne rentrerai pas dedans.
17:08Un peu de silence, comme disait mon ami.
17:10On ne s'entend plus.
17:12On refait le match avec Laurent Barra.
17:15Et le prénom de ?
17:16Tim.
17:17Ah, je crois que c'est ami Thérèse, moi.
17:18Théodore.
17:19Thierry.
17:20Tristan.
17:21Mais c'est bon, ça tient.
17:22Le pays, attention là, à mon avis.
17:24La Tanzanie.
17:25Merde.
17:26Ah, pas de gros mots.
17:27Désolé, désolé.
17:28Parce que Maître Capello ne fait pas le montage, je vous le dis tout le temps.
17:32Vous n'avez pas une petite tirelire pour mettre une petite pièce à chaque fois qu'il y a un gros ?
17:35Le pays ?
17:36Moi, c'est Togo.
17:37Oui, voilà.
17:38Et Turquie.
17:39Très bien.
17:40Métier.
17:41Tomaturge.
17:42Non, mais c'est le mot qui n'existe pas aussi.
17:44C'est facile.
17:45C'est beau, ça.
17:46Tomaturge.
17:47C'est la première fois qu'on nous en fait un comme ça.
17:48Ah bon ?
17:49Qu'est-ce qu'il fait, le Tomaturge ?
17:50Il fait quoi ?
17:51Ah, c'est Thomas, c'est son prénom ?
17:52Non, non, non, c'est T-A-U.
17:53Il pleurait.
17:54Tomaturge.
17:55C'est un dramaturgien ?
17:56Il s'occupe des morts.
17:58C'est celui qui est juste, quand la personne est morte, qui le prépare, c'est ça ?
18:02Je crois.
18:03C'est ça, de mémoire.
18:04Très bien.
18:05Il y a le croque-mort, celui qui croque le pied.
18:06C'est vraiment.
18:07Non mais bon, c'est comme ça que ça se passe.
18:08C'était comme ça.
18:09Enfin, à l'époque, c'est des cow-boys.
18:10Technicien.
18:11Très bien.
18:12Je ne l'avais pas.
18:13Et tapissier ?
18:14Tapissier, tapissier.
18:15Un mur, on ne mettait pas de carrage.
18:17Ou à la BPI où je n'ai pas beaucoup fait mon argent tout de suite, moi.
18:20Attention, on va en parler après l'émission.
18:23Nous en sommes aux animaux.
18:25Un tigre.
18:26Et voilà.
18:27Adieu.
18:28Le tyrannosaure.
18:29Le T-rex.
18:30Tarantule.
18:31Tarantule.
18:32Pas pensé à Bernard Tapie, Tapir.
18:33Non, non.
18:34Non.
18:35Le football.
18:36Numéro 3.
18:37Tai Taiwo.
18:38Pas mal, ça.
18:39Taiwo.
18:40Thierry Henry.
18:42Ah non, ce n'est pas bon.
18:43Non, monsieur.
18:44Alors, à la limite, on aura accepté Titi.
18:45Oui.
18:46Juste Titi.
18:47Non, non.
18:48Ah oui, c'est Titi, non plus.
18:50Bon, ok.
18:51Je vois la blague arrivée.
18:52Titi, ça va.
18:53Mais Thierry Henry, non.
18:55Ok, ok.
18:56Ça va enchaîner.
18:57Ça va, Alberto César.
18:59Moi, j'ai mis Thuram.
19:00Pas facile.
19:01Mais lequel ?
19:02Bon, je peux mettre Lilian, je peux mettre Marcuse, je peux mettre Kefren.
19:05Pas mal.
19:06C'est-à-dire qu'il y aurait eu deux Thurams, on aurait pu dire n'importe quoi.
19:08Oui, oui, c'est ça.
19:09On aurait pu.
19:10Ouais, c'est pour ça que j'ai pu dire Thuram.
19:11Thuram, c'est bon.
19:12De toute façon, il n'y a personne qui...
19:13Bon, pub et Marc.
19:15Toyota.
19:16Tecna.
19:17Ouais.
19:18Tango.
19:19Ah, la boisson ?
19:20Ouais.
19:21Moi, je suis Tango Tango.
19:22Et Tango est noir.
19:23J'en fais toujours un peu trop.
19:25Ok, j'ai rien.
19:26Mais euh...
19:27Je...
19:28En fait, je pense que j'avais pas compris le...
19:29Le jeu ?
19:30Alors, pour commencer l'émission pour...
19:32Qu'est-ce que je fais ici ?
19:33Qu'est-ce que je fais ici ?
19:34Adjo, j'ai mis Adjo.
19:35Moi, déjà...
19:36Ok, c'est n'importe quel pub.
19:37C'est le premier truc.
19:38Pendant que tu te concentres.
19:39Et après, on entend...
19:40C'est n'importe quelle marque.
19:41On est d'accord.
19:42C'est trop top.
19:43Ok, ok.
19:44C'est une pub, une marque, quoi.
19:45Moi, j'ai mis Tricks pour les anciens.
19:47Twix, le doigt coupe fin.
19:48Ok, ok.
19:49Même en téléfoot, on aurait pu le prendre.
19:51Oui, tu peux, ça.
19:52Oui, oui, tout à fait.
19:53Un tennis, j'en ai un pour toi, tout à l'heure.
19:54Un 8 sur 8 à la fin.
19:55Un 10 sur 10.
19:56Moi, alors, je fais basique, hein, M. Paco.
19:57Des tennis.
19:58Des tennis.
19:59Mosquette, ouais, des tennis.
20:00Ah oui.
20:01Maître Capello.
20:02C'est bien vu.
20:03C'est bien vu.
20:04Bien emmerdé.
20:05Ah, les mecs, pour écrire ses skis, je comprends qu'il n'avait qu'un spectacle en 50 ans.
20:06Un spectacle très basique.
20:07Je suis vraiment copié, pas les textes.
20:09Non du tout.
20:10Ton tennisman ?
20:11Roscoe Tanner.
20:12Ah ouais, magnifique.
20:13Une liste à Wimbledon.
20:14Mais oui.
20:15C'était le monsieur au service à l'époque.
20:16Voilà, c'est ça.
20:17Gros serveur du monde à l'époque.
20:18Mais oui.
20:19Tu n'as pas mis ta bilo ?
20:20Je crois que tu voulais surligner ta bilo, non ?
20:21Oh, magnifique.
20:22Ah, joli.
20:23Oui ?
20:24Rien.
20:25Rien.
20:26Ça m'a dit, il faut...
20:27Troisième et quatrième manche, on se quitte pas.
20:30C'est mon gars.
20:31Même terrain, j'aurais accepté.
20:33Même terrain, oui.
20:34Comique.
20:35Toujours pas.
20:36Tite off.
20:37Un bout ton copain.
20:38C'est mon copain.
20:39Vous en avez, quoi ?
20:40Pas trouvé, pas trouvé.
20:41Tartarin, tu m'aurais pris, Tartarin de Tarasco ?
20:43Oui, on aurait pu prendre.
20:44Tourner, j'aurais pris aussi.
20:46Catégorie mystère avec un T.
20:48C'est le dessert, c'est ça ?
20:49Oui.
20:50La tatin.
20:51Un quoi ?
20:52La tatin.
20:53Tu sais que c'est le dessert préféré d'un chanteur connu ?
20:54Non.
20:55Bruno, tatatin.
20:56Allez, voilà.
20:57Allez, je quitte le plateau.
20:58Oui, oui.
20:59C'est pour décontraxer la BPI.
21:00Ah bon, oui, bien sûr.
21:01C'est pas un dessert ?
21:02Je l'ai pas.
21:03Et vous mangez pas non plus, donc ?
21:05Moi, je l'ai.
21:06Si.
21:07Je suis pas con, mais c'est parce que je viens d'un milieu défavorisé.
21:10Fraise tagada.
21:11Ah oui, joli.
21:12Ah la tagada.
21:13Dans le dessert ?
21:14Tu vas en manger plusieurs quand même.
21:15On avait peu les moyens.
21:16Oui, mais il mange le paquet, lui.
21:17Tu peux manger le sachet quand même.
21:19Il mange le sachet, lui.
21:20Et toi, t'es quoi ?
21:21Tarte, tout simplement.
21:22Bah oui.
21:23Combien de poids, messieurs ?
21:24Je fais le mal, hein.
21:25On va commencer par BPI, ça va plus vite.
21:26Ça, c'est pas gentil de ma part.
21:27Quatre.
21:28Ah bah on reste dans ses chiffres.
21:29Ouais, je vais rester là, ouais, ouais.
21:30Les gens de chiffres comme ça, ils font les mêmes.
21:31J'arrive là.
21:32Huit points en total, Laurent.
21:33Sept.
21:34Sept.
21:35Treize.
21:36Six.
21:37C'était sept, quatorze.
21:38Six, c'est...
21:39Ah, t'as onze.
21:40Ouais, je me débrouille.
21:41C'est bien.
21:42En deux manches, c'est pas mal, ça.
21:43Un mec, il comprend pas tôt.
21:44Alors, gros match toujours avec Frédéric, bien sûr.
21:46Et avec Laurent, avec ses treize points.
21:48Onze points, Jeannot.
21:49Et quatre points.
21:50J'essaie de vous remotiver en m'adresseant à vous maintenant comme invité,
21:52parce que vous l'avez dit.
21:53Vous l'avez dit.
21:54Vous avez nous raconté parce que vous êtes un sportif quand même dans l'âme.
21:56Comment on arrive à la BPI ?
21:57Comment on s'occupe des sports, du digital ?
21:59Parcours d'entrepreneur.
22:01Je rejoins BPI parce que je bossais beaucoup avec BPI sur des sujets liés au digital.
22:08Et puis après, j'ai repris le sujet des sports qui était au départ un sujet de visibilité pour BPI France.
22:14C'est-à-dire qu'on était sponsor de plusieurs clubs en France.
22:16Et puis, plutôt que de rester uniquement sur un sujet de visibilité,
22:19je me suis dit que ça valait le coup parce qu'il y avait un énorme sujet,
22:22à la demande des acteurs que je rencontrais sur comment transformer ce sujet-là en vrai sujet business.
22:28Et donc, mon sujet aujourd'hui, c'est de donner un cadre à un marché qui a besoin de se rassembler,
22:38de ne pas rester cloisonné entre ceux qui sont dans la pratique,
22:41ceux qui sont dans les différentes industries.
22:43et donc, on fait beaucoup de choses en termes de contenu, en termes d'événementiel.
22:49On fait des contenus comme le nôtre, par exemple ?
22:51Ben, comme le vôtre, oui.
22:53Alors, on a une émission qui s'appelle « La causerie des meneurs »
22:55qui a pour vocation à justement traiter des sujets économiques.
23:03Arrête-nous.
23:04Moi, je viens si on m'invite.
23:05Sinon, je ne viens pas.
23:06Oui, ça fait.
23:07J'ai invité, là.
23:08Ah, c'est invité.
23:09Après, il y a des discours inauguraux, bien sûr, mais inauguraux.
23:14Alors, il y a du contenu, il y a de l'intelligence économique pour tous les acteurs, encore une fois.
23:19Et artificielle ?
23:20Il y a de l'intelligence artificielle avec les startups aussi qu'on accompagne via un accélérateur.
23:24L'idée étant de les accélérer pour qu'elles grandissent plus vite et plus fort.
23:29Et qu'on arrive derrière avec des outils d'accompagnement, de financement pour faire grandir tout ça.
23:34Puis après, on adresse aussi différentes verticales comme les PME-ETI qui sont des industriels,
23:39les fabricants, les organisateurs d'événements.
23:42L'idée, encore une fois, étant de comment est-ce qu'on structure des belles entreprises pour les faire grossir
23:47et puis que ça tracte celles qui sont un peu plus petites.
23:49Est-ce que le sport est porteur de valeur, justement ?
23:51Ça veut dire qu'aujourd'hui, il y a un partenaire qui va venir vous voir et qui vous demande concrètement de l'aider.
23:56Comment ça se passe, vous ?
23:58Il y a plusieurs choses.
23:59Chez BPI, on fait beaucoup de choses.
24:00Il y a des sujets de financement.
24:01On va pouvoir le financer sur des logiques.
24:04On prête de l'argent pour pouvoir se développer comme n'importe quelle banque.
24:08Puis ensuite, on a des logiques d'accompagnement.
24:10Là, c'est les accélérateurs, le conseil qu'on peut apporter en tant que BPI France.
24:14Puis ensuite, il y a des logiques d'investissement.
24:16On prend des participations dans des entreprises pour faire un apport en capitaux,
24:20que ça accélère et qu'on aille chercher la croissance plus...
24:23J'aurais essayé, Luc, un vrai sportif amateur dans le sens noble du terme.
24:27J'ai toujours aimé ça chez toi, Jean, parce que c'est vraiment le défenseur du foot amateur, des règles, des règlements.
24:31Toi, un petit club...
24:33T'as intérêt, par exemple, d'aller à BPI, avec un petit club qui vend comme Cannes la dernière fois ?
24:37C'est pas un petit club.
24:38Ah, c'était sur les Cannes.
24:40T'as intérêt à aller voir comment tu vendrais ton produit pour aider un petit club de région ?
24:44Et surtout, expliquer le fait qu'on a énormément de licenciés, 800, dont 150 féminines.
24:49Donc ça, déjà, quand tu dis féminine dans le milieu du football, ça marche très très bien.
24:54Et nous, dans mon club à Montauban, l'équipe 1 est en régionale 1, donc petit niveau.
25:00Mais les filles sont en D3 alors qu'elles ont été en D2,
25:03parce qu'on a un peu compliqué tout en haut de la pyramide le système du football féminin.
25:07Mais avec les partenaires, oui, c'est de vendre justement la formation.
25:11Un club qui est structuré, d'ailleurs, ça s'appelle le Complexe Jean Verbeck,
25:15l'ancien vice-président de la Fédération de football et président de la Ligue de Paris.
25:19On a tout sur place, quoi.
25:21Donc ce qui veut dire qu'on a réussi aussi à créer des séminaires sur place
25:24pour des sociétés partenaires du club, des rendez-vous fixes toute l'année,
25:29un, deux, trois tournois de jeunes, voilà.
25:31Et ça, c'est un moyen de séduire justement les partenaires, quoi.
25:36Justement, un des messages qu'on a beaucoup poussé quand moi j'ai pris le sujet des meneurs,
25:40donc les meneurs, c'est la communauté du sport chez BPI France,
25:43c'était de dire aux patrons de club, en fait, il faut arrêter d'être dépendant des sponsors.
25:48Parce qu'en gros, le modèle économique, c'est de dire, je gagne le week-end, j'ai plus de sponsors,
25:52je perds le week-end, j'ai moins de sponsors.
25:53Donc en fait, il y a une réflexion qui est généralement d'une semaine à l'autre,
25:57et on n'est pas toujours sur des temps longs dans une approche stratégique
26:01ou comment est-ce qu'on construit des modèles économiques, des revenus...
26:04Mais après, vous ne pouvez pas lutter non plus sur le fait que, par exemple, chez moi, à Montauban, je vous parle du foot,
26:08mais c'est surtout le rugby qui vient de remonter en top 14.
26:10Ah, ça t'en est fier !
26:12Ah, c'est bien placé !
26:13Oui, mais c'est the place to be, quoi.
26:15C'est-à-dire que là, il n'y a pratiquement pas besoin d'aller chercher les partenaires.
26:19Ils viennent eux-mêmes, alors ils n'ont peut-être pas les moyens pour aider le club à se maintenir en top 14,
26:24mais n'empêche que tous les gros entrepreneurs...
26:27Il y a des gens qui arrivent que tu n'avais jamais vu le club.
26:29...sont là parce que c'est justement l'endroit où ça se passe, quoi.
26:33En fait, mon propos par rapport à ça, c'est justement de dire, en fait,
26:36que les patrons de clubs sont aussi des entrepreneurs.
26:39Et donc, le sujet pour eux, c'est d'aller chercher d'autres sources de revenus que uniquement les sponsors.
26:44Et en fait, en faisant ça, en travaillant sa communauté, en travaillant sa fanbase,
26:47en travaillant tout le volet entertainment et même les sujets technologiques comme la data,
26:52au final, on arrive à générer des nouveaux revenus qui vont permettre au club de foot de Montauban
26:57de pouvoir aller chercher un autofinancement et puis d'être assez autonome, finalement, dans son développement.
27:03Et après, nous, on arrive avec aussi des startups qui vont apporter un peu d'innovation
27:07pour permettre des choses comme ça de manière un peu plus facile.
27:10Après, est-ce qu'il y a aussi le côté accompagnement des sportifs ?
27:14Parce qu'il y a quand même...
27:15Oh, tu veux de l'argent ?
27:16Non, justement, moi, ce qui m'intéresse tout ça, c'est que les joueurs qui débutent dans une carrière professionnelle
27:21ou les joueuses soient aidées, soient accompagnées.
27:23Nous, on a travaillé avec Sport Society, notamment, pour essayer justement d'amener de l'alternance
27:28et de leur donner la facilité de se retrouver aujourd'hui à être sportif ou sportif de haut niveau
27:33ou de niveau moyen, mais de pouvoir réussir sa vie à côté, quoi.
27:37Oui, bien sûr. En fait, il y a plein de structures qui existent pour ça, qui font ça très bien.
27:40Il y a plein d'associations.
27:42Après, on pourrait parler de l'INSEP aussi, qui font plein de choses merveilleuses.
27:46Mais après, c'est moins de notre sujet. Nous, on est vraiment sur le sujet économique qui doit être au service après,
27:52une fois qu'on a rentré en gros de l'argent et que le sport est un marché reconnu et autofinancé,
27:57de pouvoir irriguer aussi tout le volet associatif et que ça redescende dans la pratique
28:02comme celle que j'ai connue quand j'étais enfant et qui permette aussi de pouvoir générer des revenus
28:07pour les clubs amateurs et que ça continue de vivre.
28:10Intéressant.
28:11Les grandes dates et la grande date ?
28:12En tout cas, vraiment notre positionnement, il est vraiment sur le marché économie du sport.
28:17Bien sûr.
28:18Et puis, avec l'idée que ça puisse redescendre derrière et que ça irrigue, quoi.
28:20La grand-messe, c'est ?
28:2119 juin.
28:22Noté le bien.
28:23À l'Adidas Arena, on va justement valoriser différents écosystèmes.
28:28On va donner la parole à ceux qui peuvent aussi inspirer soit des entrepreneurs qui arrivent,
28:33soit des personnes qui sont en réflexion.
28:35nos 35 clubs meneurs qui sont nos partenaires, qui seront également présents.
28:40Et tout ça, en fait, fait qu'il y a quelque chose qui est en train de se créer, un beau mouvement.
28:43Et quand on parle beaucoup d'héritage des Jeux, on essaie de rentrer un peu dans le concret de l'héritage,
28:48d'un point de vue, en tout cas économique.
28:49Vous en parlez très bien.
28:50Il va falloir être bon.
28:51Oui, c'est ça.
28:52Il parle super.
28:53Ne m'interviewez pas sur mon spectacle.
28:54Je ne vais pas en parler comme il parle.
28:55Bah si.
28:56Il y a deux, trois.
28:57Il y a combien de temps au spectacle ?
28:58Je n'en sais rien, moi.
28:59Il est fort.
29:00Il est très fort.
29:02Il est très fort.
29:05Le petit pack épisode 24 sur Radiosport tout d'abord, puis sur les chaînes linéaires
29:12comme Sport en France, bien sûr.
29:13Vous pouvez la retrouver partout cette télévision.
29:15Sur n'importe quelle appui, on est d'accord, c'est ça ?
29:17Sur n'importe quel box mon cher ?
29:19Oui, monsieur.
29:20Très bien.
29:21Après la lettre E, la lettre T, la domination pour l'instant de Frédéric Verdier
29:25devant Laurent Barat, Jean Ressayet et Moustapha Curlu qui a très bien parlé de BPI
29:28il y a quelques instants.
29:29Oui, très.
29:30Mais il va falloir maintenant qu'il soit très bon sur son petit pack.
29:32Troisième manche, la lettre choisie.
29:34Mais auparavant, la case mystère.
29:36Qualité ou défaut ?
29:38Et quand tu n'as pas de défaut ?
29:39Tu trouves une qualité.
29:40Ah, et ça peut être un défaut ?
29:42Bien sûr.
29:43Ok.
29:44La lettre ?
29:45Le D, comme Dudul.
29:46Deux minutes.
29:47Et c'est parti.
29:48Tu prends ça comme prénom ?
29:50Du poisson.
29:51Dudul ?
29:52On l'appelle Dudul le petit poisson ?
29:54Le petit poisson.
29:55Prénom.
29:56Ah bah oui.
29:57On va pas laisser tranquille non plus.
29:58Non.
29:59Je pense qu'ils vont tous mettre le même pays, je sais pas pourquoi.
30:01C'est possible.
30:02Radiosport, c'est 100% passion.
30:03100% passion.
30:04Vous le savez.
30:05Sport et musique, vous pouvez nous écouter.
30:07Il n'y a pas du sport.
30:08Il est pénible.
30:09On met de la musique pour que vous puissiez vous détendre.
30:11Ça, ça fait du bien.
30:12Il y a des choses.
30:13On a presque envie d'avoir de la musique pendant une minute.
30:15Et vous pouvez donc nous retrouver partout, effectivement, Christophe.
30:18Que ce soit Spotify, Deezer, YouTube, il y a tous les réseaux.
30:23D'ailleurs, on vous invite à donner votre avis sur ce qui se passe dans le sport.
30:27Parce qu'il y a beaucoup de choses qui se passent.
30:28On parle du sport féminin.
30:29On parle de la santé.
30:30On parle de l'environnement.
30:31On parle de beaucoup de choses sur radiosport.
30:33Et d'ailleurs, tu as vu, il y a pas longtemps, on a eu Maureen Nizima qui est venue nous
30:37parler de sa carrière.
30:38Oui, très bien.
30:39Très intéressant.
30:40Bravo, bravo Fabrice.
30:41Il y a des surprises à venir.
30:42On va parler de rugby et de rugby 15 fauteuils.
30:45Est-ce que tu connais le rugby 15 fauteuil ?
30:47Oui.
30:48Alors, je connais le rugby des Jeux Olympiques.
30:49Alors, le rugby des Jeux Olympiques, figure-toi que j'ai appris que c'était un jeu qui
30:52n'a rien à voir avec le rugby.
30:53Rien à voir.
30:54Alors que le rugby 15 fauteuil, il y a une fédération française qui vient d'être
30:58créée.
30:59Et c'est les mêmes règles que le rugby avec des fauteuils.
31:01Mais c'est une équipe mixte.
31:03Franchement, pire que ma copine, vous parlez-vous.
31:06Elle doit être contente, ta copine.
31:08Oui, vraiment.
31:09Elle parle beaucoup au coucher le soir, alors c'est pas pire.
31:12Il te reste 30 secondes, Maître Capello.
31:14Et donc, tu peux participer à des compétitions.
31:17Il y a des clubs qui ont été montés.
31:19Et c'est mixte.
31:20Hommes, femmes, enfants, adultes, seniors.
31:23Et c'est des fauteuils qui ont été fabriqués.
31:25C'est la Rotam.
31:26Il est fatigant.
31:27C'est bon métier.
31:28Il faut vous habituer parce que moi, j'ai terminé.
31:30Vous voulez un petit coup de main ?
31:31En quoi ?
31:32En tennis, par exemple.
31:34En tennis.
31:35C'est difficile, en tennis.
31:36J'en ai pas un facile pour vous.
31:37Et Christophe, si je te posais une question, tu saurais répondre ?
31:39Tu as 8 secondes.
31:40Il y a Maître Capello qui me parle en même temps.
31:43J'ai fini.
31:44Ah !
31:45Moi, je pose.
31:46Moi, je suis correct.
31:47En tennis, j'avais pas simple.
31:48J'en ai un compliqué.
31:50Elle est pas gonflé, là.
31:51Ah, mais c'est incroyable.
31:52J'ai pas pu aider.
31:53Je vais quitter l'émission.
31:54J'ai pas un évident dans le tennis, toi ?
31:55Non, non, non.
31:56Ah, d'accord.
31:57Je n'en ai trouvé pas évident du tout.
31:58Pareil que toi, alors.
31:59Oui.
32:00D'accord.
32:01Oui, Monsieur Capello.
32:02J'en ai deux, trois qui me font rire.
32:03On fait rire intérieurement.
32:04Un tout animal.
32:05Dis-moi Maître Capello.
32:06Non, c'était pour savoir si tu savais où on était bien.
32:08On était bien.
32:09On était bien.
32:10Plus que jamais, vous êtes bien sur Radio Sport.
32:11C'est bien.
32:12Tu peux continuer à travailler.
32:13Ça va, c'est bien.
32:14Ah, c'est peut-être jingle.
32:15Bonus.
32:16Sport, qui a terminé en premier ?
32:17J'en ai essayé ?
32:18Allez, mon Jeannot.
32:19Décathlon ?
32:20Bah oui, à fond la forme.
32:22Les dames.
32:23Le jeu.
32:24Très bien.
32:25La danse.
32:26La danse.
32:27La danse.
32:28La danse, c'est un sport.
32:29Jeanneau, je vais avoir quatre.
32:31Je ne l'ai pas.
32:33Il a commencé à parler, Maître Capello.
32:35Il a commencé à parler, Maître Capello.
32:36Il a commencé à demander le genre de tennis.
32:37Ah, il a chaque prénom.
32:38Alors, comme j'étais très mauvais sur TFC tout à l'heure, j'ai pensé à un
32:42Toulousain, même l'habitant de Cugnot.
32:46Ah, Daniel Bravo.
32:47Daniel Bravo.
32:48Je l'avais.
32:49Daniel ?
32:50Daniel, c'est Daniel.
32:51Demosten.
32:52C'est un médicament, ça.
32:54Il va quand même les chercher très loin.
32:55C'est un champion olympique des anneaux.
32:57Demosten Istampakos à Athènes.
32:58Magnifique.
32:59L'ostal était en feu.
33:00J'adore lui.
33:01Tu sais comment il t'a engagé, lui ?
33:02Je suis sûr qu'il y a le média.
33:03Je me souviens de l'anecdote avec lui.
33:04Je ne sais pas.
33:05Ah, c'est à Canal ou à Eurosport.
33:06Oui.
33:07C'est Monsieur Poulain qui t'engage.
33:09Oui.
33:10Comment tu sais ça ?
33:11Et il te pose une question parce que généralement quand tu fais, je dis ça pour la BPI, quand
33:14on veut être engagé à l'équipe, par exemple, il faut connaître le vainqueur du Tour de France
33:17de votre année de naissance.
33:18Exact.
33:19Et toi, on t'a posé une autre question.
33:21Oui.
33:22On t'a dit, cite-moi deux altérophiles.
33:23Mais c'est vrai.
33:24Comment tu sais ça ? C'est fou.
33:25Tu sais, je travaille.
33:26Si j'ai tenu 50 ans dans ce métier, c'est quoi ?
33:28Ah oui.
33:29Paco, il est au-dessus.
33:30C'est marrant ça.
33:31Moi, on m'a demandé quelle était l'équipe championne de France en 63.
33:35Ah, tu vois ?
33:36Alors ?
33:3763 ?
33:38Alors ?
33:39Marseille ?
33:40Bordeaux ?
33:41Saint-Etienne ?
33:42Monaco ?
33:43Non, pas Monaco, 63.
33:44Mais si.
33:45Avec Hidalgo, 63 ?
33:46Dans les huit titres de Monaco ?
33:47On m'a posé la question et j'ai répondu comme ça.
33:48Moi, je confonds.
33:49Moi, je réponds quand même.
33:50Ils me posent ça.
33:51J'ai un bol pas possible parce que je n'en connais pas trois.
33:54Daltérophile, oui.
33:55Et tu les donnes ?
33:56Et je lui dis, parce qu'ils avaient des noms, des blases incroyables.
33:59Laurent Fomberta, c'est Francis Tournefier.
34:01Mais non.
34:02Et comme c'est des noms qui sont quand même un peu exotiques,
34:04le gars, il me regarde et il me dit, ah ouais, vous êtes quand même bien calé.
34:07Et en fait, c'était vraiment des grandes fumées.
34:09C'était de la blague.
34:10C'est grandiose.
34:11J'ai retenu comme ça, mais j'étais incapable de parler de ces mecs-là plus de 5 minutes.
34:13Il y a eu ça sur le Tour de France avec RMC, avec Jean-Louis Filck et Christophe Sessieux.
34:16Ils avaient inventé un duchinien ou un truc comme ça, non ?
34:19Non, non, non.
34:20Je suis un peu à l'origine avec mon ami Christophe Sessieux et Eric Fabry.
34:23Qu'est-ce qu'il dit, Maître Caffello ?
34:24Eros Rastafumeto.
34:25Rastafumeto.
34:26Mais non, mais il y en avait un autre aussi.
34:27Ah non, celui-là, c'est sûr.
34:28Mais il y en avait un autre.
34:29Ah non, c'est bien sûr.
34:30C'est sûr, parce que toutes les radios ensuite ont repris.
34:32Jean-François Rennes, France Inter.
34:33Moi, j'étais RMC à l'époque, avec Filck et Sessieux.
34:36Et notre grand truc, on a même fait abandonner, tu sais où, à l'époque ?
34:38Avec le grand speaker et Daniel Mangias, dans une ville incroyable, Châtenay-Malabry.
34:42Parce qu'il a eu peur du contrôle.
34:44Donc, si tu veux, Eros Rastafumeto.
34:45Et je crois qu'il y a encore des pancartes aujourd'hui, au bord de la route d'un coureur qui n'a jamais existé.
34:49On va loin, là.
34:51Oui, ça, tu peux pas le profiter.
34:52On est sur les alphérophiles, on est sur 63 Monaco.
34:54On est dans quelle catégorie ?
34:55On est en prénom.
34:56En prénom, donc là, on est parti sur le prénom, on est parti.
34:58Dominique.
34:59Laurent Dara.
35:00Dominique.
35:01Vous devriez faire ma première partie, moins de ces quatre.
35:03J'attends que ça.
35:04Dorian.
35:05Bien.
35:06Trop bien.
35:07Ça passe.
35:08Pays.
35:09Je pense qu'on va être tous pareils.
35:10Danemark.
35:11Oh merde.
35:12Et la caisse est pleine.
35:13C'est pas possible.
35:14Moi aussi, moi aussi.
35:15Je vire d'un autre.
35:16Métier.
35:17Dépanneur.
35:18Des mineurs.
35:19Douaniers.
35:20Oui.
35:21Docteur, y'a pas.
35:22Ok.
35:23Oui, docteur.
35:24Animaux.
35:25Animaux.
35:26Dindons.
35:27Je te l'ai dit, ça m'a fait intérieurement.
35:29C'est une farce.
35:30Dinosaures.
35:31Toi, tu nous effets tous, toi.
35:33Mais je reste.
35:34Dauphin.
35:35Mais oui.
35:36Pas mal.
35:37Doriformes.
35:38Doriformes.
35:39Tu sais que j'ai ressorti mon ami Laurent Ciara.
35:41Le grand sudiste, le basketeur.
35:43Ouais.
35:44Tu te souviens de sa conférence de presse ?
35:45Ouais, dis donc.
35:46Des dauphins.
35:47On en fait pas.
35:48Les requins.
35:49Si vous avez cinq minutes un jour après l'émission, il s'appelait Laurent Ciara.
35:51Elle est géniale.
35:52Elle est géniale.
35:53C'est les dauphins qui m'ont motivé.
35:56Le football ?
35:57Deschamps.
35:58Oui, facile.
35:59J'ai commencé à écrire Deschamps.
36:01Je me suis dit non, ça va forcément tomber.
36:02Tant pis, j'ai dit ça.
36:03C'est le premier qui sort.
36:04Oui, oui, oui.
36:05Mon idole d'enfant, c'est mon ami Marcel Dib.
36:06Ça va passer, tu vois.
36:08Marcel Dib.
36:09Il y a toujours des Santiago aux pieds ?
36:10Non, non.
36:11Il y a toujours des Santiago aux pieds.
36:12Il y a les tongs maintenant.
36:13Dédé ?
36:14C'est bien le vu, ça.
36:15Bien joué.
36:16Bien joué, Dédé.
36:17Ça me permet de conserver mon Deschamps.
36:18Exactement.
36:19Surtout que j'étais sur...
36:20Décathlon.
36:21Bien joué.
36:22Dacia.
36:23J'avais mis le même.
36:24Ouais, ouais.
36:25Non, mais c'est bon, tu le peux garder toi.
36:26J'ai pas, j'ai pas.
36:27Danane.
36:28Ben voilà !
36:29Quand on part l'argent, monsieur.
36:31Le tennis !
36:32Damé ?
36:33On dit ça ? Non, Damé...
36:34Non, c'est pour le ski, ça.
36:35Damé, c'est le ski ?
36:36Ah merde, voilà.
36:37C'est pas bon.
36:38Passer le tamis.
36:39Ouais, le tamis.
36:40Non, mais il y avait une autre expression, il me semblait.
36:41Ça, dame ?
36:42Non, damé, c'est pour les pistes.
36:43Là, t'as quand même juste le meilleur, toi.
36:44Tu veux me parler d'amis, mais t'as quand même juste...
36:46En revanche, je me suis tourné automatiquement par lui.
36:49Bah écoute, c'est ironique, parce que mon joueur, c'est un vainqueur de grand chelais mandou, mais personne ne le connaît.
36:53Martin Dam.
36:54Oui, oui.
36:55Tu te souviens, Martin Dam ?
36:57Moi, j'avais Davidovitch, tu vois.
36:58Oui, c'est mieux.
36:59Quand on m'a demandé de souffler sur le tennis, il n'y a pas grand chose de très connu.
37:02C'est comme ça qu'ils viennent.
37:03T'as mis quoi, toi ?
37:04Durée.
37:05C'est long.
37:06Ah, la durée ?
37:07Ouais, c'est long.
37:08C'est ce que je vous le dise.
37:09Ah bah ouais, mais bon, je suis un créatif, moi.
37:11Tu sais que dans le sud, à Cannes, ils sont face à la mer, là-bas.
37:14Je suis un créatif.
37:15Françoise Dure, on aurait pu la mettre.
37:16Ah oui, Françoise Dure, t'as raison, une légende.
37:18Je l'ai oublié.
37:19J'ai vu la neige au ocre, finalement.
37:20Comique !
37:21Duvoss.
37:22Ah oui.
37:23Moi aussi.
37:24Ah oui !
37:25Un mec de ma génération, pour regarder sur Google.
37:26Dooli.
37:27Didou.
37:28Un mec qui joue avec moi dans les Comédie Club.
37:29Dooli.
37:30Je connais pas.
37:31Je connais Dooli, tu vois.
37:32Dooli, ouais, Dooli, qui est une pote aussi.
37:33Elle a fait une petite série, d'ailleurs, avec Jamel Debbouze dans les petits avions.
37:36Ouais, ouais.
37:37Et Didou.
37:38J'aurais pu dire Jamel Debbouze.
37:41J'aurais pu faire semblant, j'étais en train de dire discrètement.
37:44On se prérange après.
37:46Ah oui, pas mal, qualité aux défauts.
37:48Détendu.
37:49Détendu.
37:50On prend ?
37:51Oui, quand même.
37:52Quand c'est un gros défaut que j'ai, je suis complètement débile.
37:55Personne n'a confié en méthode de la chance.
37:58Moi, je suis porteur de l'OM, donc je suis défaitiste.
38:00Je suis pas beau ce que tu fais.
38:02Mais vous retrouvez la Ligue des Champions, il vous faut quoi de plus ?
38:05C'est un honneur de me faire engueuler par vous.
38:07Vraiment.
38:08C'est incroyable.
38:09Vraiment, c'est un honneur incroyable.
38:10C'est incroyable.
38:11Et Laurent, tu resteras toujours le premier ?
38:12Ouais, je sais.
38:13La Ligue des Champions.
38:14Mais bon, quand même.
38:15Je l'avais pas.
38:16Vous avez pas de défauts, vous ?
38:17Bah, si, si, plein.
38:18Si, bah là où ?
38:19Ça commence pas par un défaut.
38:21On va rappeler votre bureau.
38:22Quel est le défaut du patron ?
38:24Ah, j'ai pas eu de réponse dans la salle.
38:26Il est pas là, le patron.
38:27Ça nous amène à combien de points, ça ?
38:28Et bah, ça fait 8.
38:30Et bah, ça fait 8 aussi.
38:31Moi, j'ai des perçues.
38:32Alors, attends.
38:33Là, faut que je calcule.
38:3414 et 8, on est bon.
38:36Moi, ça fait 8 aussi.
38:37Pas mal, hein, 22.
38:38Ouais, c'est...
38:39Laurent ?
38:408 aussi.
38:41Donc toi, 13 et 8, 21.
38:42Ouais.
38:43Jeannot ?
38:447.
38:45Quel match ?
38:4618.
38:47T'es un peu à la traîne.
38:48Ouais, un petit peu.
38:49Monsieur Curlu ?
38:50Très constant.
38:514 ?
38:52Ah ouais.
38:53Il tire ses 4 points.
38:54C'est ça, c'est les gens de la finance.
38:55Aujourd'hui, on a choisi le 4.
38:57À part ma bêtise du tennis, j'avais rempli toutes les cases.
39:01Ce qui ne m'était pas arrivé depuis le début.
39:02Donc, tu vois...
39:03Il est en train de progresser.
39:04Ouais, ouais.
39:05Tu vas finir en apothéose.
39:06C'est possible.
39:07Et Fred, remplir toutes les cases, ça c'est une belle expression.
39:08Oui.
39:09C'est vrai.
39:10Tu aimes les expressions comme ça ?
39:11Non, enfin, faut voir.
39:12On va reparler dans quelques instants.
39:14Monsieur Ressayé.
39:15Monsieur Paco.
39:16C'est votre moment.
39:17Comment t'as fait pour partir ?
39:19T'as eu envie de partir ou c'était le bon moment ?
39:22C'était...
39:23Il y a plein de choses qui ont fait que j'avais envie de jouer cette clause parce que je suis
39:27à deux ans de la retraite.
39:28Donc, j'ai encore un petit peu de temps.
39:29Ouais.
39:30Donc, tu t'en caches pas.
39:31T'as pris la fameuse clause de session comme ça.
39:32Ça arrive dans certains...
39:33On a le droit dans le métier de journaliste quand le média est vendu.
39:35Donc, voilà.
39:36La réflexion a duré six mois quand même.
39:38Et puis, t'es pas seul à partir, je crois.
39:39Non, non.
39:40On est plusieurs à partir dans les médias du groupe.
39:42Mais c'est une décision qui est d'ordre privé pour plusieurs raisons.
39:48Voilà.
39:49Et dans l'aspect professionnel, je commençais un peu à fatiguer, à être usé.
39:52Alors, je...
39:53C'est quoi ? C'est les voyages ?
39:54Je vais pas à la mine, bien évidemment.
39:55Je suis très content de ce que j'ai fait.
39:56Mais voilà.
39:57L'enchaînement des matchs.
39:58Je suis à 85 matchs par saison.
40:00Donc, c'est quand même pas mal si vous calculez.
40:02Donc, l'enchaînement avec les hôtels, les trains, les avions.
40:05La grosse fatigue usure depuis la saison 2022-23 avec la Coupe du Monde en hiver.
40:11Oui.
40:12Ça a été très, très compliqué.
40:13Donc, voilà.
40:14L'opportunité était là.
40:15Je vois BPI qui fait des hônes magnifiques.
40:17Je pense qu'il va me parler tout à l'heure.
40:19Alors, vous avez pris la clause de session.
40:20Alors, monsieur, il faut qu'on parle.
40:22Il faut qu'on parle.
40:23Il faut qu'on parle.
40:24Voilà.
40:25C'est simplement une décision sage.
40:26Et l'opportunité, ok.
40:27Mais c'était le moment.
40:28Alors, tu sais, à l'interviewé des sportifs, nous aussi, autour de cette table,
40:31on parle toujours de la petite mort.
40:33Alors...
40:34Ouais.
40:35Mais moi, j'ai...
40:36Je te rassure, moi qui ai passé ce cap, ça va très bien.
40:37Dans le sport en France, je rêve de ma vie d'après, quoi.
40:39Voilà, c'est ça.
40:40Et je te garantis, pour avoir commencé cette vie d'après, c'est gigantesque.
40:43C'est génial.
40:44Ouais, parce qu'on peut aller dans plusieurs terrains à la fois et se faire plaisir sur
40:48des moments particuliers.
40:49Tu parlais du foot amateur et c'est un des objectifs.
40:52Tu resteras dans le foot.
40:53Oui, oui.
40:54Ah, oui.
40:55Ça, c'est sûr.
40:56Et le rugby.
40:57Un petit peu de rugby.
40:58D'être un petit peu plus proche des clubs.
41:00Voilà.
41:01Et de voir de quelle manière je peux arriver à m'éclater de façon différente.
41:06Et je ne m'interdis rien.
41:07Je sais qu'il y a une Coupe du Monde en 2026.
41:09On ne sait jamais.
41:10S'il y en a qui ont envie de venir taper à la porte en me disant...
41:13Patron ?
41:14Voilà.
41:15Tu as le budget, patron ?
41:16Non, mais voilà.
41:17Non, mais ce n'est même pas une question de budget.
41:18C'est simplement une question de passion.
41:19Voilà.
41:20Je note cette phrase en plein milieu du petit pack.
41:22Ce n'est pas une question d'argent.
41:23Je l'enregistrais, je l'enregistrais, je l'enregistrais.
41:24Fabrice.
41:25J'ai du budget, j'ai pas dit argent.
41:26Ah.
41:27Tu changes déjà, tu vois ?
41:28Non, j'ai du budget, j'ai pas dit argent.
41:29C'est toi qui viens de parler d'argent.
41:31Ce qui est fou, c'est qu'il y a eu des hommages incroyables.
41:34On était attachés quoi.
41:36Alors moi, j'ai connu cette maison pendant 14 ans qui est RMC avant de partir à RTL.
41:39Mais quand tu as une voix, tu as connu Sakomano comme moi, tu as connu Thierry Roland pour les gens de télé.
41:43Ces voix-là, Vendroux aujourd'hui qui est encore sur Europe 1, c'est des gens qui l'ont tellement accompagné.
41:48Parce que ne serait-ce que l'écoute en voiture.
41:50Moi, je me souviens de Sakomano, tu vois quand tu as le ballon, tu dis exactement où se trouvent les équipes.
41:54Ça, c'était la base quoi.
41:55À droite, t'as Auteuil, à gauche, t'as Boulogne ou en autre sens, au stade de France, tu fais le périple.
41:58La voix, la précision, c'est l'image.
42:00Voilà, c'est tout.
42:01Mais c'est comme ça.
42:03Moi, j'ai découvert la radio, j'avais 13 ans, au fond de mon lit, j'écoutais Radio Monte-Carlo et le parcours de Saint-Etienne.
42:08Et je me suis dit un jour, mais c'est magique quoi.
42:10Comment ils font pour arriver déjà à 1 jusqu'à moi ? Et comment font-ils pour commenter comme ça ?
42:14Donc, j'ai embêté pas mal de chefs des sports, et tu le sais, pour faire du sport.
42:18Parce que j'ai commencé par l'Infogénée en tant que correspondant à Toulouse.
42:21J'ai réussi à faire du sport, donc surtout du sport co, et notamment le handball, le rugby et le foot.
42:27Et de finir avec le foot et de me dire, bon, mais voilà, t'as réussi quelque chose.
42:31T'as gagné deux Coupes du Monde, toi, quand même.
42:33Ouais, non, une seule, moi.
42:35T'as pas fait 98 ?
42:36Non, non, j'étais avec vous, mais j'étais pas à la finale, j'avais même pas eu mon ticket match.
42:40Tu sais que j'étais en même temps avec toi, j'étais à l'affaire Festina sur le Tour de France.
42:43Et toi, t'avais quitté le foot et t'étais parti sur le Tour de France.
42:46T'as pas le choix, il y a un patron qui décide.
42:48Non, non, moi j'étais pas en 98, donc Euro 2000, Coupe du Monde 2018,
42:52et la Ligue des Champions du Paris Saint-Germain,
42:54puisque en 93, j'étais sur le vieux port en tant que reporter avec les supporters.
42:58Quand tu écoutes Frédéric Verdier sur le tennis, par exemple, tu prends du bon temps,
43:01parce que quand ça dure surtout 5h29 comme la dernière fois,
43:03il faut qu'il y ait un petit bon mot, c'est pas la même façon de poser sa voix,
43:07c'est pas la même façon de travailler, tu bouges pas pendant 5h20.
43:10Là, toi, t'as une heure et demie, c'est-à-dire deux heures de grand spectacle,
43:12parce qu'en plus, avec cette radio qui t'épuise beaucoup quand même,
43:15comme RMC ou BFM qui te demandait des directs par-ci par-là,
43:18c'est pas comme quand on arrivait à l'ancienne, tu te posais au stade,
43:2020h, tu faisais un multiplex, à but à Toulouse !
43:22Là, tu es incarné et tu es obligé de décrire à la radio, donc d'abord, t'as protégé ta voix.
43:27Oui, sauf qu'elle m'a lâché à la 77ème minute pour la finale de 2018.
43:31Ah, c'est la finale ?
43:32Ça a duré 3-4 minutes, le temps d'attraper le médicament qui va bien.
43:34Je crois que je t'ai incarné.
43:35Non, non, c'était la finale, c'était catastrophique.
43:37Pourquoi tu te soignes dans ces cas-là, tu dis ?
43:39Je donne la cortisone.
43:40Bah, y'a que ça.
43:41Prends la cortisone direct.
43:42Trois cachés que je glisse sous la langue.
43:44Et ça revient en 3 minutes ?
43:46Alors attention, elle revient pas totalement.
43:48Non, non.
43:49Tu récupères une partie de ta voix.
43:51T'as quand même une voix d'outre-tombe pour finir le match.
43:54On était donc dans les derniers quarts d'heure de la rencontre.
43:56Et t'as fini comme ça, quoi.
43:57Et j'ai fini comme ça, effectivement.
43:59Après, Jean-Baptiste Boursier à la BFM, comme on avait fait la boucle...
44:02Tu nous feras direct ?
44:03Non, mais justement, tu viens nous dire un petit mot.
44:05Je voulais que je dise quoi ?
44:06Ça va ?
44:07Non.
44:08Et puis terminé.
44:09Voilà.
44:10Mais ça reste quand même des bons souvenirs, quoi.
44:12Mais oui, la voix, il faut la protéger.
44:14C'est d'ailleurs ce que j'ai dit à Jean-Louis Tour qui prend la suite.
44:16Mais voilà, je vais te poser la question.
44:17Quel conseil tu vas donner à Jean-Louis ?
44:18Parce qu'on connaît aussi, qu'on a connu un peu à droite à gauche.
44:21Parce que quand tu as quelqu'un comme toi, comme Sakou qui s'en va, comme des voix du foot qui s'en vont,
44:25t'as cette nostalgie.
44:26Moi, dans ma voiture, je sais, même quand j'étais un peu RTL, j'écoutais un petit peu RMC,
44:29j'écoutais un petit peu Europe pour voir un peu la concurrence.
44:31Et quand t'as la voix de Jeannot qui arrive, pas parce qu'il est là aujourd'hui,
44:34il arrive avec un son d'accent, comme disait Jean-Michel Apathy.
44:37Tu vois, ça nous sert à l'accent quand même.
44:39Même si on est décrié que ce n'est pas facile, toi qui es un homme du Sud.
44:41Et c'est vrai que tu faisais partie, parce qu'on écoutait de moins en moins la radio,
44:45on ne peut plus l'écouter comme, tu sais, les anciens disent toujours,
44:47surtout les patrons disent toujours ça, moi je coupais le son de la télé, j'écoutais.
44:49Mais ce n'est pas possible, t'as un décalage à chaque fois deux secondes, trois secondes, même chez toi.
44:52La télé de maman, elle marche, elle est à trois secondes de retard pour regarder le tennis,
44:55tu sais déjà qu'Alcaraz a gagné quoi.
44:56Donc, ça a changé.
44:58Mais tu te rends compte du manque que tu vas susciter ou tu n'auras pas encore ?
45:00Non, pas du tout.
45:01Ah si, c'est la dernière voix légendaire.
45:03Oui, aujourd'hui c'est la dernière voix.
45:05Oui, alors je me rends compte effectivement de ce que je pouvais représenter
45:09pour les gens qui écoutaient la radio et surtout pour une certaine génération.
45:12Mon père, ouais.
45:13Voilà, il y a les anciens qui ont continué d'écouter la radio
45:19et il y a les jeunes qui ont découvert la radio, qui ont découvert le sport.
45:22Combien j'en ai vu qui m'ont dit, j'ai grandi avec vous, voilà, vous êtes la voix de notre génération, etc.
45:27Ça je l'ai découvert avec les messages que j'ai reçus depuis un an.
45:30Mais tu vois comme on a reçu ici par exemple Michel Montana qui était la voix du PSG quoi.
45:33C'est Satan, Satan, il restera à vie quoi Michel Montana.
45:36Non mais c'est...
45:37Et son successeur qui est très bon, c'est pas un problème, il va falloir du temps.
45:39Tony Montana, son successeur.
45:40Facile ça.
45:41Ouais mais bon.
45:42T'es football américain, t'es quoi, t'es baseball, t'es... non ?
45:44Ok.
45:45Non mais je suis conscient que ça peut laisser un vide mais voilà, c'est comme ça.
45:48Ouais, ça va les autres.
45:49Dire à l'autre c'est mon choix.
45:50Tu as terminé, c'était il y a pas très longtemps, un dimanche après-midi,
45:53tu pensais faire une finale avec la France mais finalement c'était de mémoire
45:56Portugal-Espagne à la victoire du Portugal de Cristiano Ronaldo.
45:59Tu as vécu un but d'Mbappé, tu le critiques Mbappé toi ?
46:02Pas du tout, non.
46:03C'est bien, on a la même génération.
46:04Non, je trouve que c'est...
46:05Bon après, je ne dis pas que tout ce qu'on fait est bien.
46:08Quand j'entends des critiques sur Mbappé, ça m'énerve.
46:09Non mais quand j'entends que le PSG a gagné la Ligue des Champions parce qu'il n'y avait pas Mbappé,
46:13ça, ça me fait doucement rigoler.
46:15Mais quelque part, aujourd'hui, oui, le PSG a gagné la Ligue des Champions
46:18parce que Luis Enrique a fait passer le message à tous les joueurs
46:21et que peut-être Mbappé n'aurait pas entendu ce message.
46:23En tout cas, la saison d'avant, il ne l'avait pas entendu.
46:25Dis-moi, je vais arrêter avec ça, je ne vais pas t'embêter, c'est une question très personnelle
46:29parce que comme on se connaît depuis longtemps,
46:31là, quand tu as terminé, tu as eu une émotion qui doit être terrible.
46:35J'avais la boule là, elle est montée là.
46:37Tu penses à la famille, aux parents...
46:39Surtout à ma femme qui était très très patiente pendant 25 ans de me voir partir,
46:44ma fille que je n'ai quasiment pas vue grandir.
46:46C'est ça le truc.
46:47En fait, l'image que j'ai revue, parce qu'en plus, elle est venue dans l'hommage
46:49qu'ils m'ont rendu après le match, parce qu'il devait être avant le match.
46:52Mais bon, 5h29, Alcaraz, le cinéma, hop, on a tout décalé.
46:56Ma fille est arrivée alors qu'elle est hyper timide.
46:58Elle est venue me parler à l'antenne.
47:00Ça, ça m'a fait un truc un peu bizarre.
47:02Et j'ai revu l'image de ma fille qui avait deux ans,
47:05avec les bras comme ça, la tête de teigne,
47:08qui m'attendait à la sortie des bagages à Blagnac,
47:10après la Coupe du Monde en Asie.
47:11Elle m'a fait la gueule pendant trois semaines.
47:14Donc, c'est tout ça qui fait qu'à un moment donné,
47:17tu as envie de renvoyer l'ascenseur.
47:19Et j'ai envie de profiter des miens et des proches.
47:21Là, tu vas profiter des tiens.
47:22Évidemment, tu feras des podcasts quand tu veux chez nous.
47:24Tu le sais, tu es le bienvenu.
47:25Question de budget, j'ai compris.
47:26Pas de salaire non plus.
47:28Honnêtement, tu ne vas pas me répondre, j'en suis sûr,
47:30mais est-ce que tu as reçu un coup de fil derrière,
47:32quand tu as annoncé que tu allais partir,
47:34pour te dire, vous venez chez nous ?
47:36Prenez les sous, monsieur, et vous venez chez nous.
47:37Non, je n'ai pas reçu de coup de fil.
47:39J'ai reçu deux, trois messages, je ne vous dirai pas de qui.
47:42Non, je ne te demande pas ça.
47:43Qui m'ont demandé quand la rumeur est sortie,
47:45avant l'officialisation, c'est vrai, tu vas quitter RMC.
47:48Et donc là, j'ai répondu, voilà.
47:50Mais c'est tout.
47:51C'est tout ?
47:52Ouais, pas plus.
47:53Donc, pour l'instant, ce n'est pas où tu seras à la rentrée, par exemple.
47:54Ni cet été.
47:55Et puis, je ne cherche même pas à savoir, pour l'instant,
47:57ce qui va se passer.
47:58Je ne referai pas ailleurs, où que ce soit,
48:01sur le rythme que j'avais à RMC.
48:03Ça, c'est ordinaire.
48:04Oui, oui.
48:05Tu vas te faire plaisir, tu vas voir.
48:06Exactement.
48:07C'est génial.
48:08Merci, en tout cas, d'être venu dans une de ses premières émissions après RMC,
48:10puisque je t'ai vu dans les grandes gueules il n'y a pas longtemps,
48:12bien sûr, au lendemain de ce grand départ.
48:19La dernière étape, quatre invités, quatre actualités
48:22et quatre manches du petit pack.
48:24Alors, la case mystère, Maître Capello, tout d'abord.
48:26Un jeu de société.
48:28Oh, c'est dur, ça.
48:30Tu prends les cartes, quand même.
48:31Oui.
48:32Si c'est une lettre R, tu vois, Ramy, tu prends.
48:34Un jeu de société.
48:35Enfin, Ramy aussi, alors.
48:36Super.
48:37Ouais, mais c'est peut-être pas cette lettre-là.
48:38Dommage.
48:39D'ailleurs, quelle est la lettre ?
48:40Et c'est là qu'il nous sort le...
48:41Re.
48:42Re.
48:43Et ça sera la lettre de sport, c'est-à-dire un S.
48:45Et on est donc parti pour deux minutes.
48:47Deux minutes.
48:49Alors...
48:50Juste le temps de vous rappeler que vous jouez pour une catégorie sport,
48:53prénom, pays, métier, animaux, foot, pub ou marque, tennis, comique.
48:59Et la catégorie mystère est donc un jeu de société.
49:02Ah, tu t'aimes maintenant ?
49:04C'est bien.
49:05Non.
49:06Non, c'est bien.
49:07Non.
49:08T'as évolué.
49:09On donne le programme de ce qui se passe au mois de juin et juillet.
49:10Allez.
49:11Il n'y a pas un Tour de France ?
49:12Alors, attends.
49:13En juin, il y a le meeting de Paris.
49:14Diamond League.
49:15C'est à Charletti.
49:16Ne pas manquer.
49:17Il y a du championnat d'Europe, de Féminin.
49:19Basket.
49:20Il y a le cyclisme.
49:21C'est le championnat de France.
49:22Juste avant le Tour de France.
49:25Et il y a du rugby.
49:26C'est horrible ce que tu fais.
49:27Et après, la finale, le pro des deux.
49:30Magnifique.
49:31Tu sais que t'arrives à me faire bloquer pour la première fois.
49:32Il y a la finale du top 14 dedans.
49:34On enchaîne.
49:35Et cet été alors là, vous avez le choix.
49:36Il me rend fou.
49:37Il y a du football.
49:38Non mais vraiment.
49:39Il y a du football.
49:40Je n'arrive pas à me faire surprise.
49:41C'est incroyable.
49:42C'est incroyable.
49:43Et le Tour de France.
49:44J'adore.
49:45Et vous vous rendez compte, les gars.
49:46Moi, j'ai bossé avec vous.
49:47Vous n'avez pas arrêté de parler pendant des années.
49:48Chris Sévert, ça ne va pas.
49:49Chris Sévert, ça ne va pas non plus.
49:50Je joue au tennis.
49:51Mais non.
49:52C'est pas possible.
49:53Ah, si ça y est.
49:54J'ai des anecdotes avec quasiment tout le monde.
49:57Une dernière invitée.
49:58Là, avec Jean-Lauret Séguier.
50:00On pourra raconter les choses des années 2000, 2002,
50:02pour la Coupe du Monde.
50:03Mais t'es tout.
50:04J'étais un gobelet, hein.
50:05Ça se raconte pas.
50:08Il manque un comique.
50:09Une grande aventure.
50:10Je ne peux pas me concentrer.
50:11Non, non, mais moi non plus.
50:12Ça y est, je l'ai, je l'ai.
50:13Il vous reste 35 secondes.
50:14Moustapha.
50:16Alors, vous donnez les réponses.
50:18Donne-moi des mots.
50:19Moi, ça va.
50:20Où c'est que t'es pas bon ?
50:21Tennis, mais bon.
50:22Tennis.
50:23Élargissez.
50:24On sait qu'il...
50:28Dans le public, ça a fini.
50:30Pensez contenu contenant.
50:31C'est un nom d'un joueur de tennis, mais c'est un prénom aussi.
50:33J'ai fini.
50:34J'ai fini.
50:36Et tu fais croire que t'as été déconcentré.
50:38Oui, bah, j'ai fini.
50:39Faut poser les points de pique, monsieur le banquier.
50:42Bah, ouais, bah.
50:43Non, mais...
50:44Oh, fin de déconner.
50:45T'as qu'a dit ?
50:46Bah, alors là, bah, voilà.
50:47C'est la triche, quoi.
50:48Nous, on joue pour les champions, avec mon camarade.
50:50Et ils trichent.
50:52Pas du tout.
50:53Allez, vas-y, comme t'as terminé, vas-y.
50:54Bah, alors...
50:55Sport.
50:56Le surf.
50:57Ouais.
50:58Tous d'accord.
50:59Le saut en longueur.
51:00Le surf, c'est Bryzen High.
51:01Le saut en hauteur.
51:02Ah, bravo.
51:03Ah, bravo.
51:04Vous me faites tellement rêver.
51:05Quand j'ai entendu le saut, il dit...
51:06Oh, déjà que j'ai pas mis quelque chose.
51:07Hop, hop, hop.
51:08Le ski.
51:09Ah, le ski.
51:10Prénom.
51:11Sam.
51:12Sidonie.
51:13C'est joli.
51:14Aglaé aussi, non ?
51:15Aglaé, pourquoi pas.
51:16Je suis content que tu gagnes.
51:17Serge.
51:18Serge.
51:19Serge, mon fils.
51:20La vérité, Serge.
51:21Je suis à côté d'un mec de la BPI.
51:22T'as vu ?
51:23Ah, la vérité.
51:24Alors, mon cousin.
51:25Tu veux nous faire un prêt ou quoi ?
51:26Elle est jolie.
51:27Bah, ma foi, la vérité.
51:28On y va.
51:29Alors, fille.
51:30Pays.
51:31La Suède, tout le monde l'a dit, non ?
51:32Non.
51:33Bah, écoute.
51:34Pays ?
51:35Non, j'ai le Soudan du Sud.
51:36Ah, ah, ah.
51:37Et Sénégal du Nord.
51:39C'est vrai, t'as le Soudan, toi ?
51:41Oui.
51:42Bah oui, mais du Sud.
51:43Alors, c'est pas beau, hein ?
51:45Soudan central.
51:46La Slovénie.
51:47T'avais la Suède ?
51:48La Slovénie, magnifique.
51:49Et Soudan.
51:50Oui.
51:51Soudan, le Soudan.
51:52Excellent, excellent.
51:53Un métier ?
51:54Surfeur, c'est un métier rémunéré.
51:55Bryce ?
51:56Bah oui, moi aussi.
51:57Ok.
51:58Sauveteur en mer.
51:59Joli.
52:00Tu sais qu'il y a un championnat de France.
52:01On a parlé sur Radio Sport.
52:02Magnifique.
52:03Ah bah oui.
52:04Capelo, tais-toi.
52:05Mais j'ai rien.
52:06Ah, Capelo, tais-toi.
52:07D'accord, ok.
52:08Tu ne peux pas te concentrer, c'est pas possible.
52:09Soudan.
52:10Soudan, très bien.
52:11Animaux ?
52:12Snake en anglais, serpent.
52:14Non, du riz.
52:15Ouais, du riz.
52:16Le sapin-jou.
52:18Moi, j'en peux plus, lui.
52:20C'est un collège.
52:21Vas-y, c'est quoi le sapin-jou ?
52:22Un singe.
52:23C'est un sapin-jou.
52:24Un sapin-jou.
52:25Un sapin-jou.
52:26Un sapin-jou.
52:27Sapin-jou.
52:28Sapin-jou de quoi ?
52:29De viande ?
52:30Sapin-jou de papaye.
52:31Sapin-jou de papaye.
52:32Sapin-jou d'orange ?
52:33Sapin-jou.
52:34Sapin-jou.
52:35Sapin-jou.
52:36C'est bien un primate.
52:37Sapin-jou.
52:38S-A-P-A-G-J-U-S.
52:39C'est un primate qu'on a bien connu.
52:41Qu'est-ce qu'un primate ?
52:42C'est bien un primate.
52:43C'est ce que j'ai lu.
52:44Et il y a même le sapin-jou avec grosse tête.
52:45Sapin-jou.
52:46Capelo, tais-toi.
52:47J'adore cette pièce.
52:48S-A-P-A-Jou.
52:49S-A-P-A-Jou.
52:50S-A-P-A-Jou.
52:51S-A-P-A-Jou.
52:52S-A-P-A-Jou.
52:53Oui, mais c'est pas la même.
52:54Le football.
52:55Morgane, Samson.
52:56Oh oui, bien.
52:57Omar Sivori.
52:58Moi, je connais rien à ce qu'il dit.
53:00Mais c'est moi, je suis con ou c'est lui, il est trop intelligent ?
53:02Je me le sors doux.
53:03Il sors doux, lui.
53:04Attends, quand même.
53:05Ça, c'est une blague.
53:06Légende, légende absolue.
53:07Mais Omar, comment ?
53:08Omar Sivori, Gigi Riva, Gianni Rivera.
53:11La Grande Italie, c'est la nationalée des années 60-70.
53:14Riva, bien sûr.
53:15Oui, bien sûr.
53:16Je crois pas une seconde.
53:17Maître Cableau, tu me diras.
53:19Ah, j'en peux plus.
53:20Omar Sivori.
53:21S-I-V-O-R-I.
53:23Du club de Sedan.
53:24Je vous demande tous.
53:25Ah oui, c'est vrai.
53:26Moi, j'ai sorti.
53:27Sorti de but.
53:28Sorti de but.
53:29Moi, j'ai pensé tout ça à regretter Jean-Luc Sassus.
53:31Oui, oui, oui.
53:32J'avais déjà écrit ça chez moi.
53:34Ah, j'aurais dû dire.
53:35La pub et la marque.
53:36Ça va faire plaisir, sauf un co.
53:38Oui, très bien.
53:39Un petit crédit.
53:40Sab.
53:41Les voitures suédois.
53:42J'ai mis Seat.
53:43Capeloté toi.
53:44Ah, mais tu peux pas.
53:45Moi, on a dit qu'il parle de toi et tout.
53:47Tony, mais qu'est-ce qui va se faire ?
53:48Oui, oui, je vais rester dans la promo sport définition.
53:50Voilà.
53:51Tennis.
53:52Un slip de tennis.
53:53C'est une coquille, monsieur.
53:55Ils ont des slips.
53:56Tu regardes une série.
53:57Il y a Netflix sur Noah.
53:58Tu vois ce qu'il a comme slip en 83.
54:00C'est assez hallucinant.
54:01C'est les mêmes.
54:02Ils n'ont pas un slip de tennis.
54:03Non, mais tu avais vu, à l'époque,
54:05ils avaient des choses très bizarres.
54:06Comme des coquilles.
54:07Ils gardiens de handball ont des coquilles.
54:09Oui, ça, c'est une vraie coquille.
54:10Oui, ils avaient des coquilles.
54:12Tu vois, avec une sorte d'élastique derrière.
54:14Un suspensoire.
54:15Un suspensoire, ça passait, ça.
54:17Un suspensoire.
54:18Tu aurais pu le mettre, un suspensoire.
54:19Il était injouable, aujourd'hui, de toute façon.
54:21Sabalenka, numéro 1 mondial.
54:23Très bien.
54:24Moi, j'ai pensé à Gilles Simon.
54:25Service.
54:26Oui, très bien.
54:27Très bien, on est bon.
54:28Je n'avais pas.
54:29Comique, mon barra.
54:30Alors, Sandrine Saroche.
54:31Ah oui, très sympa.
54:32Très bien.
54:33Pas de comique, toujours pas.
54:35Pas de comique, toi, t'es pas drôle.
54:36Pas de sourire.
54:37Tais-toi.
54:38J'en ai un super...
54:40Génération Sim.
54:41Génération Sim, vraiment.
54:43C'est bizarre.
54:44Tu te réponds, je l'ai entendu partir de là-bas.
54:46Pas du tout.
54:47Arrêtez.
54:48Arrêtez.
54:49Moi, je l'ai pas bien entendu.
54:51Moi, je l'ai pas bien entendu, mais j'ai vraiment fait.
54:55Tu l'avais en tête ?
54:56Non, pas du tout.
54:57D'accord.
54:58Le dernier mot.
54:59Un sudoku.
55:00Un jeu.
55:01Parfait.
55:02Sioul.
55:03Un jeu de génère.
55:04Sioul.
55:05Scapello, tais-toi.
55:06C'était quoi l'ancêtre du rugby ?
55:09C'est pas ça ?
55:10Le premier sport avant le rugby et le tennis avec un S ?
55:13Il n'y avait pas un ?
55:14La soule.
55:15C'est la soule.
55:16Ça, c'est le rugby.
55:17On a appris des choses aujourd'hui.
55:18Moi, j'ai un jeu de société qui s'appelle Service Secret.
55:20On se met dans la peau, dans la joindre.
55:23Vous étiez parfait.
55:24C'est l'heure des comptes.
55:25Cinq.
55:26Cinq.
55:27Cinq.
55:28Donc, tu termines, Jean, à 23.
55:29Ouais.
55:30Fred.
55:31Neuf.
55:32Onze.
55:33J'adore, oui.
55:35Vingt-deux et neuf.
55:36Trente.
55:37Trente et un.
55:38Dix.
55:39Non, tu ne m'arranges pas, ça fait égalité.
55:41Bah ouais.
55:42D'accord.
55:43Bah, j'ai pété mon record.
55:44Neuf.
55:45Bravo.
55:46Ah ouais.
55:47Non, mais il me fallait la quatrième manche pour que ça décolle.
55:48Égalité parfaite.
55:49On termine avec Laurent, ton actualité.
55:51Oui.
55:52Quatrième spectacle.
55:53Comme un fou, t'as à droite à gauche.
55:54Je suis partout en tournée.
55:56Il est encore en rodage.
55:57C'est six mois d'écriture et plus de six mois d'écriture.
56:01Si je dis six mois, non c'est un an d'écriture.
56:02Et six, sept mois de rodage avant la vraie tournée qui va commencer en octobre.
56:07Moi, je t'avais connu, tu avais démarré, tu le disais en première partie de Gadet de Malay.
56:10J'étais venu de voir à Paris parce qu'il faut monter à Paris comme Mado la Niçoise.
56:12Oui, il m'a repéré.
56:13Il m'a repéré justement chez Mado la Niçoise.
56:16Et j'ai fait ses premières parties.
56:17Il s'appelait le Café des Oiseaux.
56:18Magnifique.
56:19Le bar des oiseaux.
56:20J'ai démissionné de mon emploi à l'aéroport de Nice.
56:22Je l'ai suivi en tournée pendant un an.
56:24Il a changé ma vie.
56:25Je suis arrivé sur Paris en 2015 et je t'ai rencontré.
56:28Pascal Gimus m'a mis en scène.
56:30Ma vie a changé.
56:31Et aujourd'hui, je suis avec vous et je suis à égalité.
56:34Tu racontes beaucoup de ta vie dans ces spectacles, bien sûr.
56:36Et tu parles même de tes origines aussi.
56:38Tu le fais très bien avec ta grand-mère.
56:40Je suis d'origine pieds noirs par ma mère et vietnamienne par mon père.
56:43La fusion du riz et de la semoule, c'est ce que je disais.
56:45Imaginez l'ambiance au mariage de mes parents.
56:47Les tensions d'un côté des pieds noirs qui jettent du riz.
56:49Aïe, aïe, aïe, ma fille est comme tu es belle.
56:50Et de l'autre vietnamiens qui le ramasse.
56:51Oh la la, faut pas gaspiller.
56:52Faut pas gaspiller.
56:53Voilà.
56:54Faut pas gaspiller.
56:55Faut pas gaspiller.
56:56Ça coûte serre.
56:57Ça coûte serre.
56:58Ça coûte serre, surtout le riz.
57:01J'adore.
57:02Trop haîlé.
57:03Et là, les spectacles ont évolué au fur et à mesure de mon évolution personnelle.
57:09Et là, j'ai rencontré il y a un an et demi ma compagne.
57:12Je m'étais juré de jamais écrire un spectacle.
57:14Et donc t'en parles de couple.
57:15Et puis finalement, c'est tellement chouette.
57:17C'est quoi le plus pénible dans la vie de couple finalement ?
57:18Rien.
57:19A ton âge ?
57:20Rien du tout.
57:21Le seul truc qui est pénible, c'est qu'elle a 42 ans, j'en ai 45.
57:25On s'est connus 10 ans trop tard.
57:28Tu sais, on fait toujours des plans quand on est en couple.
57:30Les gens vous demandent c'est quoi vos projets d'avenir ?
57:32C'est quoi vos projets d'avenir ?
57:33Nous, 42, 45 ans, nos projets d'avenir, ils sont sur Doctolib.
57:36Donc voilà, on a le calendrier qui est rempli.
57:39Donc c'est ça.
57:40C'est quand même déjà là toi.
57:41Ouais, on est déjà dans le truc.
57:43Profitons.
57:44Profitons parce que ça va vite.
57:4650, c'est dans 5.
57:47Non mais c'est une horreur.
57:48Fois 4, fois 10, c'est terminé quoi.
57:51Et on en profite aussi pour t'écouter de temps en temps.
57:53On était avec Rémi Marceau il n'y a pas longtemps.
57:55Ouais, je suis avec lui sur Ré-la-Chanson.
57:56Tu es toujours sur Ré-la-Chanson ?
57:57Je suis sur Ré-la-Chanson dans la matinale de Bruno Reblais, c'est cool.
57:59Et j'adore ce métier.
58:02Je suis le plus beau métier du monde, je fais rire les gens.
58:05Voilà, j'ai grandi avec cette voix aujourd'hui, je suis en face de lui.
58:08C'est cool quoi.
58:10On les départage ou pas pour conclure ?
58:12Oui.
58:13Mais non, vous avez gagné tous les deux.
58:14On est comme chez Jacques Martin.
58:15Nous c'est l'école des fans, vous avez été pénisable.
58:17Merci à tous les deux.
58:18Frédéric Verdier le rembarras pour ce grand match.
58:20Merci.
58:21Franchement, vous n'êtes pas 40.
58:22C'est beau, c'est beau.
58:23On dirait du tennis t'as vu ?
58:25Mais bien sûr.
58:26La prochaine fois que je viens, s'il y a une prochaine fois,
58:30je viens avec une cagoule et je la mets sur la tête à Capello.
58:32Et je le baïonne, mais...
58:34Ça c'est sûr.
58:35C'est un baba, c'est un baïonne, t'as raison.
58:37C'est ce qu'il faut faire.
58:38Merci Monsieur Bp.
58:39Merci à vous de votre accueil.
58:41Vous allez avec eux ?
58:43C'est génial.
58:44C'est super.
58:45J'aurai essayé, t'as tellement de choses à faire qu'on va te libérer.
58:47Profite bien de ce bon moment.
58:48Merci.
58:49Réfléchis bien et reviens nous visite.
58:50Avec grand plaisir.
58:51Tu viens quand tu veux ici, c'est pas une question d'argent, c'est une question de budget.
58:53Voilà, exactement.
58:54Merci à tous.
58:56Plus que jamais, vous êtes bien sur Radiosport.
58:58Bravo Paco.
58:59Merci à toi.
59:00Bravo.

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