- 16/06/2025
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NewsTranscription
00:00Générique
00:00...
00:00Bonsoir, c'est un réel plaisir pour moi de vous retrouver pour le point de l'actualité de ce jour.
00:23Voici la titre de cette édition.
00:25Du nouveau concernant le crash survenu en Inde ce jeudi 12 juin 2025,
00:30des précisions dans ce journal.
00:32À Abobo, la quiétude des rivériens de la cité concorde et sous menace.
00:36Le ministre de l'Assainissement rassure les détails dans quelques instants.
00:40En politique, Laurent Gbabo exprime ses mécontentements.
00:43Je donne toutes les explications dans cette édition.
00:47Ce jeudi 12 juin correspond à la célébration de la journée mondiale de la lutte contre le travail des enfants
00:52sous le thème international.
00:54Donnons une chance aux filles, mettons fin au travail des enfants.
00:57Nous en parlons en fin d'édition avec notre invité du jour.
01:00Et c'est tout pour le sommaire.
01:01Bienvenue dans le journal de cette info.
01:04Que dit l'actualité internationale ?
01:06Rendons-nous en Inde.
01:07Un vol de la compagnie Air Aérienne, Air India, reliant Ahmedabad à Londres,
01:12s'est écrasé peu après 8 heures de temps universel.
01:15Ce jeudi 12 juin 2025, l'avion impliqué est un Boeing 787 avec 242 passagers à bord
01:23qui devaient rallier justement l'aéropole londonien de Gatwick.
01:27Il y aurait un survivant.
01:29Dans un communiqué, le ministre indien de l'Aviation se dit choqué et accablé par le crash,
01:34rassure que les secours sont mobilisés.
01:37Des détails dans nos prochaines éditions.
01:39Le calvaire des rivérins à Bobo tire vers sa fin.
01:42Deux semaines après le reportage de 7 infos sur cette situation
01:46qui menace la quiétude des habitants de la cité Concorde,
01:49le ministre Boaké-Fofanon s'est rendu sur les lieux.
01:52On l'écoute au micro de Kari Jafani.
01:57Vous serez venus ici il y a 2, 3, 4 ans, en saison de pluie.
02:03Même la clôture, vous ne la verriez pas.
02:05On avait des hauteurs d'eau de 2 mètres de poussière.
02:09Ce qui a fait que même les immeubles qui sont autour ont été désaffectés
02:12parce que c'était impossible.
02:15Sur ce projet du PARU, qui est un projet cofinancé par la Banque mondiale,
02:20on a commencé à vraiment attaquer ce problème.
02:24Aujourd'hui, nous sommes en début de travaux.
02:26Vous serez venus ici.
02:28Les travaux vont s'achever dans un an, en juin 2026.
02:32Mais déjà, les populations voient l'impact des travaux qui sont faits.
02:38Parce qu'aujourd'hui, on peut arriver ici.
02:40Il n'y a plus d'inondations que l'on pourrait avoir dans le passé.
02:44Et c'est un travail, c'est un grand projet.
02:47On va partir d'ici jusqu'à Bonoumain.
02:49On va faire une retenue d'eau ici.
02:52On va en faire un autre barrette qu'on appelle le B13, le barrage 13.
02:57Ensuite, on va élargir un peu, augmenter la capacité de Bonoumain,
03:01de sorte qu'on n'ait plus vraiment d'inondations autour.
03:05Puis, on va faire un aménagement paysager sur tout le parcours de l'eau.
03:10On va faire des passages à piétons, on va engazonner, on va faire des aires de jeu
03:15pour rendre le cadre de vie des populations le plus agréable possible.
03:21C'est pour dire vraiment que le gouvernement est au travail, c'est à votre service.
03:26On travaille dans beaucoup d'endroits, dans beaucoup de quartiers.
03:30Sauf que notre travail, on travaille dans l'arrière-boutique, nous, le saignissement.
03:34Dans l'arrière-boutique, pas dans la vitrine.
03:35Si bien que les gens ne savent pas qu'on travaille.
03:38C'est quand il y a des problèmes, on sait que nous existons.
03:41Et c'est pour ça que je disais à mes collaborateurs de faire des films.
03:45Les résidents qui sont ici, qui ont des films, des années, il y a 5 ans, il y a 4 ans,
03:50on avait des hauteurs d'eau de 2 mètres.
03:53On va faire un montage de ces films-là pour montrer d'où nous venons,
03:58qu'est-ce que le gouvernement en fait.
03:59Quand on dit, on a travaillé dans le conseil du concret.
04:02Les populations peuvent attester que là, il y a 3 ans,
04:05ici, ce n'était pas possible en ce moment d'être ici.
04:07Les gens qui sont à l'étage ont dû partir.
04:10Aujourd'hui, les gens sont en train de revenir.
04:12Donc la population, ceux qui ont construit des bâtiments ici,
04:16vont voir l'investissement,
04:21redevenir des investissements.
04:23Ceci étant, n'oublions pas que ce problème-là a été créé dans une large mesure
04:27par les populations.
04:29C'était des zones non constructibles.
04:31Les populations sont venues, elles ont construit.
04:35Si bien que l'eau est encoincée,
04:38on a eu ces inondations.
04:41Le gouvernement a trouvé la bonne solution.
04:45Nous avons terminé.
04:46C'est un message qu'on envoie également à ceux qui ont dit à nos populations
04:49que c'est des zones non constructibles, non habitables.
04:53Il faut écouter ce qu'on dit.
04:56Parce qu'après, ça devient des problèmes pour tout le monde.
04:59Donc on peut rassurer au moins que,
05:00durant toute la saison, des pluies qui sont en train de venir là,
05:03ici, ce sera vraiment...
05:03On ne peut pas connaître la situation qu'on a connue dans le passé.
05:05C'est clair.
05:06En matière d'inondations, tout dépend de la quantité d'eau qui tombe.
05:11Et en premier, si vous avez une pluie vraiment exceptionnelle,
05:16il peut y avoir des inondations de drapeau,
05:18toujours moins que ce qu'on avait dans le passé.
05:21Aujourd'hui, nous avons toute raison de penser que le pire est derrière nous,
05:24dans ce quartier.
05:25Comme je l'ai dit, c'est un travail, un projet structurant,
05:29avec plusieurs navages du cœur.
05:32Et quand on aura fini ce projet,
05:34normalement, le risque d'inondations sera réduit.
05:37Peut-être pas à zéro, mais en tout cas très réduit.
05:40Et même s'il y avait des inondations,
05:41ce serait du résiduel.
05:42On ne va pas déplorer de prête en vie humaine.
05:47Merci.
05:47Donc je voudrais décollager les résidents.
05:50Merci pour votre patience, votre résilience.
05:53Ce projet s'appelle le projet d'assainissement et de résilience urbaine.
05:58Pour vous aider, justement, à être résilient.
06:02Et donc nous encourageons à soyez nos ambassadeurs.
06:05Même quand ce tournoi sera fini,
06:07vous l'avez souligné tout à l'heure,
06:09il y a beaucoup d'ordi qui arrive ici.
06:12Si bien qu'en dehors du travail normal
06:13qui était le point d'aménager le site du barrage Écroteur,
06:17ils sont obligés de, après chaque pluie,
06:20sur tout le parcours de l'eau,
06:22pour déboucher les caniveaux, les regards,
06:24sinon l'eau ne pourra pas passer après les inondations.
06:29Donc, parlons-nous entre nos résidents,
06:32évitons, parce que l'ordi qu'on jette ici à 500 mètres d'ici,
06:36quand il va pleuvoir, ça va se trouver là.
06:38Et quand les orduis viennent dans le barrage,
06:41ça réduit la capacité du barrage.
06:43S'ils pouvaient contenir 100 litres,
06:46s'il y a des orduis qui occupent la moitié,
06:48là, il ne contenit que 50 litres.
06:5050 autres litres,
06:51on va faire des inondations, ça va partir, on le partit.
06:53Donc, on compte sur vous,
06:56pour parler à vos résidents,
06:58qu'on soit les citoyens responsables.
07:01Nous sommes en train de, le gouvernement,
07:02travailler à améliorer votre cadre de vie,
07:04mais il faut aider le gouvernement.
07:06Si vous ne nous aidez pas,
07:08un ouvrage coûte beaucoup plus cher chez nous qu'ailleurs.
07:11On n'a déjà pas beaucoup de moyens.
07:13Dans un pays où les gens sont disciplinés,
07:16il faut un ouvrage,
07:16tout le monde respecte les règles de vie.
07:19L'ouvrage dure longtemps
07:20et l'ouvrage fonctionne normalement.
07:24C'est pour ça qu'on a pris un code maintenant,
07:25le code de l'assainissement.
07:27On l'a défendu devant l'Assemblée nationale et le Sénat.
07:30Et ce code-là,
07:32quand il va entrer en vigueur,
07:33quand il sera à la beauté,
07:35on a maintenant prévu des mesures,
07:37des sanctions
07:38contre ceux qui ne respectent pas les règles,
07:42ce n'est pas des actions d'aujourd'hui ménagères,
07:44des actions d'assainissement.
07:46Parce qu'en plus de fait que c'est le zoo,
07:48il y a des inondations,
07:48ça peut aussi beaucoup de maladies.
07:50Parce que les gens déversent les eaux usées
07:52dans les canibaux,
07:54la pluie ramasse tout ça.
07:56Vous avez vu qu'on a eu une épidémie de choléra
07:59du côté de Pauvue-Ludy.
08:02Je remercie le service de la santé
08:03qui a réussi à contrôler l'épidémie.
08:07Vous savez, le point, ça vient de ces questions.
08:09Donc, évitons les ordures partout,
08:12le code de l'assainissement
08:12et le code de la salubrité
08:13qui vont tous exister.
08:15On dévoit maintenant des sanctions,
08:16sanctions pécuniaires,
08:18donc des amendes,
08:19ou même des peines de prison.
08:21Le 10 juin dernier,
08:22l'Union européenne a inscrit la Côte d'Ivoire
08:25sur sa liste des juridictions
08:26à haut risque en matière de blanchiment
08:28de capitaux et de financement du terrorisme.
08:31Cette décision s'inscrit
08:32dans le cadre d'une mise à jour annuelle
08:34de la Commission européenne
08:36visant à renforcer la sécurité
08:38du système financier européen
08:40en identifiant les pays présentant
08:43des carences stratégiques
08:44dans leur régime de lutte
08:45contre des crimes financiers.
08:47L'inscription de la Côte d'Ivoire
08:49sur cette liste fait suite
08:50à son placement sur la liste grise
08:52du groupe d'action financière
08:54en octobre 2024.
08:56En raison de lacunes identifiées
08:58dans son dispositif national,
09:00nous y reviendrons
09:01dans nos prochaines éditions.
09:03Ce jeudi 12 juin 2025,
09:05Laurent Gbabo a annoncé
09:06dans une lettre ouverte
09:07au peuple de Côte d'Ivoire
09:09le lancement du mouvement citoyen
09:11« Trop, c'est trop ! »
09:13Ce mouvement se veut
09:14une réponse aux difficultés
09:15socio-économiques persistantes
09:18telles que la vie chère,
09:19les expulsions injustes
09:21et le manque de soutien
09:22aux plus vulnérables.
09:24Gbabo souligne également
09:25que « Trop, c'est trop ! »
09:26n'est pas un parti politique,
09:27mais un espace citoyen ouvert,
09:30transversable,
09:31capable de rassembler
09:32les forces vives de la nation
09:34pour faire entendre
09:35les préoccupations des populations.
09:37Ce lancement intervient
09:39dans un contexte politique
09:40tendu à quatre mois
09:41de l'élection présidentielle
09:43de 2025
09:43pour laquelle Laurent Gbabo
09:45a été radié
09:46de la liste électorale définitive.
09:49Comme annoncé en titre,
09:50je reçois à présent
09:51mon invité,
09:52Yapo Maxime,
09:53conseiller technique
09:54de Save the Children
09:56en Côte d'Ivoire.
09:57Bienvenue, M. Yapo
09:57sur notre plateau.
09:58Merci, madame.
10:00Alors, vous êtes conseiller technique
10:02à Children Save of Africa.
10:05Non, Save the Children.
10:06Save the Children,
10:06et une Côte d'Ivoire.
10:08Oui.
10:08Alors, pouvez-vous nous décrire
10:10brièvement le rôle
10:11de Save the Children
10:12en Côte d'Ivoire ?
10:13Il faut dire que Save the Children
10:14a pour mission
10:15de provoquer des changements
10:17durables dans la vie des enfants.
10:18D'accord.
10:19Pour le faire,
10:20donc, Save the Children
10:20accompagne l'État
10:22dans ses efforts
10:23et dans sa politique
10:23nationale de lutte
10:25contre le travail des enfants.
10:27D'accord.
10:27Parlons du travail des enfants,
10:29quel est le constat
10:30que vous faites
10:30en Côte d'Ivoire ?
10:31L'État du Côte d'Ivoire
10:32a consenti à d'énormes efforts
10:34avec la mise en place
10:35de la direction nationale
10:37de lutte contre le travail
10:38des enfants.
10:39Mais, compte tenu
10:40encore de la présence
10:41des enfants
10:41dans le domaine
10:43de l'éplantation,
10:45il y a encore
10:45des efforts à consentir.
10:47Justement,
10:48quelles sont
10:48les principales causes
10:49du travail des enfants
10:50dans les régions concernées ?
10:52Il faut dire que c'est
10:53la pauvreté d'abord
10:53des parents.
10:55Du fait que les parents
10:55sont pauvres,
10:56ils poussent donc
10:57les enfants
10:57à aller travailler.
10:59Il y a aussi même
11:00le manque d'accès
11:02à des services de base
11:03telle que l'éducation,
11:04telle que la santé,
11:05telle que tout ce qui est
11:07infrastructures routières.
11:09Donc, il y a même
11:09donc les parents
11:11à ne pas scolariser
11:12les enfants
11:13et à les pousser
11:13à les travaux champettes.
11:15Quelles sont les zones
11:15dans lesquelles
11:16on peut identifier
11:17le travail des enfants
11:19de façon accentuée ?
11:21Il y a la grande zone
11:23de l'ouest
11:23où il y a la boucle
11:25de cacao,
11:26comme on le dit
11:26d'habitude,
11:27où beaucoup
11:28on observe
11:28ces situations
11:30d'enfants qui travaillent.
11:31Quelles sont donc
11:32les conséquences ?
11:33Les conséquences
11:33sont nombreuses,
11:34mais la première conséquence
11:35c'est d'abord
11:36sur la santé
11:37de l'enfant
11:38et sur son développement
11:39émotionnel et physique.
11:41Alors, vous à votre niveau,
11:43comment est-ce que vous
11:43collaborez avec
11:44les autorités ivoiriennes
11:45et d'autres partenaires
11:46justement pour renforcer
11:48la lutte contre ce fléau
11:49en Côte d'Ivoire ?
11:50Il faut dire que nous
11:51avons quatre points
11:53d'action.
11:53D'accord.
11:54Le renforcement
11:54du système national
11:56à travers la mise en place
11:57et l'accompagnement
11:58des communautés
11:58de protection de l'enfant,
12:00la formation des acteurs
12:01précipaux pour la lutte
12:02et nous avons aussi
12:04des actions
12:05en faveur de l'éducation
12:06pour faciliter l'accès
12:07aux enfants
12:09à une éducation
12:10de qualité.
12:11Nous avons aussi
12:11le renforcement
12:12économique des ménages
12:13et nous avons aussi
12:15des actions
12:15de mobilisation
12:16et de prédorie.
12:16Alors quelles sont
12:18les recommandations
12:18que vous faites
12:19aux autorités
12:20ou bien aux entreprises
12:21pour la protection
12:22ou l'élimination
12:24du travail des enfants ?
12:26J'aimerais d'abord
12:27commencer par les parents,
12:28les inciter à favoriser
12:30l'éducation des enfants,
12:32ne pas pousser les enfants
12:34quelle que soit la situation
12:35à aller travailler
12:36dans des conditions
12:37difficiles
12:37à favoriser l'éducation.
12:39J'aimerais aussi dire
12:40aux autorités
12:41de privilégier
12:42la protection sociale,
12:44de favoriser
12:44le renforcement
12:45économique des ménages.
12:47Vous aussi,
12:47les médias,
12:48de toujours sensibiliser
12:49à travers vos actions.
12:50Est-ce que nous sommes
12:50en train de faire justement ?
12:51C'est ça.
12:52Et aussi aux ONG
12:54de faciliter
12:55une meilleure coordination
12:55pour un avenir meilleur
12:58pour les enfants
12:58hors des chambres.
13:00Alors,
13:00en cette journée mondiale
13:01de la lutte contre
13:02le travail des enfants,
13:03quel est le message
13:04que vous voulez adresser
13:04à nos téléspectateurs ?
13:06Il faut dire que
13:07le travail des enfants
13:08n'est pas une fatalité,
13:10mais ce n'est pas aussi
13:11le lieu de l'enfant
13:11de travailler.
13:13Le lieu de l'enfant
13:14se trouve à l'école
13:14et un enfant qui travaille
13:16reçoit beaucoup de risques
13:19et reçoit beaucoup
13:21de conséquences
13:21sur sa vie.
13:22Donc,
13:23je me demanderais aux parents
13:24de ne pas favoriser
13:26le travail des enfants,
13:27mais de favoriser
13:28la scolarité,
13:29de favoriser
13:30la formation professionnelle
13:31pour que les enfants
13:32puissent vraiment
13:33s'insérer dans la vie.
13:34Mais pour cette journée,
13:35quel était votre programme ?
13:37Le programme,
13:37c'était vraiment
13:38de sensibiliser
13:39l'Assemblée nationale,
13:41sensibiliser les autorités
13:42pour qu'ils puissent
13:44encore accentuer
13:44les efforts
13:45qu'ils ont consentis
13:46pour vraiment éradiquer
13:48le problème
13:48du travail des enfants
13:49en Côte d'Ouva.
13:50Justement,
13:50pour freiner ce fléau,
13:51quel est le moyen
13:53que vous utilisez
13:54pour rentrer en contact
13:55avec les concernés ?
13:56Je vais parler des enfants.
13:57Nous utilisons
13:59les approches communautaires.
14:01On passe par les coopératives
14:02qui sont en contact
14:04avec les enfants.
14:05On sensibilise
14:05les coopératives
14:06concernant les conséquences
14:07du travail des enfants.
14:09Et on amène
14:09les coopératives
14:10à s'impliquer
14:11dans le rétrait des enfants
14:12et dans les solutions
14:13durables en faveur des enfants.
14:16Est-ce qu'il y a quelque chose
14:17qui n'a pas été dit
14:17au cours de cet entretien
14:18que vous voulez ajouter ?
14:20Je veux dire que
14:21ce métodin s'inscrit
14:22toujours dans la volonté
14:24de l'État
14:24de poursuivre ses efforts
14:25concernant la remédiation
14:28du travail des enfants
14:29en cours du monde.
14:30Voilà qui est clair.
14:31Merci, M. Iappoko,
14:32pour toute cette précision.
14:33Je vous remercie
14:33au nom du Diotepin.
14:35Ainsi prend fait ce journal.
14:36Merci pour votre attention.
14:38L'information continue
14:39sur cette info
14:40et sur cetinfo.ci.
14:41et sur cetinfo.ci.
14:48Merci.
14:48Merci.
14:48Merci.
14:48Merci.
14:48Merci.
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