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Allociné
  • 06/06/2025
Transcription
00:00J'ai travaillé toute ma vie, les pieds dans l'eau.
00:09On a été licenciés, on est montés dans notre bureau, on a pris nos affaires.
00:17J'aurais quand même aimé savoir la raison pourquoi ça s'est arrêté.
00:21On mettait un produit et imagine comme une grosse machine à laver.
00:25On faisait les meilleurs vernis du monde.
00:27Je suis restée toujours en ponceuse.
00:29C'était coton, le boulot, c'était ardu.
00:33Les gens venaient là en attendant de trouver mieux.
00:36Ils sortaient des foulants avec une odeur.
00:38Vous établiez avec des scaphandres de plastique.
00:42C'est des machines, il y en avait.
00:43Il n'y en avait même qu'à arracher les bras.
00:51Il y a des pinces qui tirent à la sortie.
00:54Et là, on tire directement.
00:56Et ça, ça dédouble, ça dédouble la peau.
00:59Il a affronté la guerre, tout ça, c'était pas rien.
01:07L'autre, c'était pas trop.
01:09Voilà.
01:09Les tanneries ont décidé de créer ici une cité pour loger les ouvriers.
01:17Et puis, c'est vraiment, on lui s'est fait construire une maison.
01:20Une belle, belle, belle maison.
01:25Une lettre du préfet à Répond-Clery.
01:28Monsieur le directeur, la pollution de la Charente survenue le 11 juin dernier,
01:34dont votre établissement est le responsable du président.
01:36Il y a des putins d'avance.
01:37Tout le monde bravo en place !
01:38Et puis, après explorenez-nous, c'est plus que les somis разработrières.
01:38Il y a des putins quillent dans cette vidéo.
01:40Oui, tout enfin.
01:41L'art twe inconscient est bloqué et confheld,
01:45je n'ass притico que les chants de la Charente.
01:49Et puis...
01:49Les ветres de Marisol...
01:50...