C’est le fruit le plus vendu en France, comme aux États-Unis. Jeudi 5 juin, une simple banane a permis à une élue démocrate de démontrer, face au secrétaire au Commerce des États-Unis Howard Lutnick, les limites des droits de douanes imposés tous azimuts par l’administration de Donald Trump.
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00:00C'est très clair, c'est très clair.
00:03Nous ne pouvons pas construire les bananes dans l'Amérique.
00:15Bananas.
00:16Ce qu'est-ce que le tarif sur les bananes?
00:18Les Américains, par le fait, adore les bananes.
00:20Nous vendons des millions d'eux à l'année dernière.
00:23Je l'aime les bananes.
00:23Ce qu'est-ce que le tarif sur les bananes?
00:24Merci beaucoup.
00:29Et ce n'est pas un tarif sur les bananes?
00:44Mais c'est-ce que le sale à la ballade?
00:48Monsieur le Premier.
00:51Monsieur leerapeutien, je aussi reconnais d'ahir avec,
00:54I believe you recognize that a trade deficit is not something to fear.
00:59I believe you know that predictability, stability is essential for businesses.
01:04I wish you would show that truth to this administration.
01:09Would you mind if I make one quick comment to the representative?
01:12Sure, please.
01:13There is no uncertainty if you build in America and you produce your product in America, there will be no tariff.
01:19We can't produce that as an America.
01:21Building in America and paying no tariff is very, very clear.
01:25We cannot build bananas in America.