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  • 04/06/2025
Devant la presse présente sur place, un militant de Greenpeace pose à côté de la statue avec une pancarte « Poutine-Macron, alliés radioactifs ».

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Transcription
00:00Devant du plaisir, il faut qu'on la mette à côté.
00:03Lumière, lumière, lumière sous la lumière.
00:05Mettez-vous dans la lumière.
00:06Là, là ?
00:06Sous-le-sous-le-l'empanage.
00:08C'est bon.
00:30On est venu, en fait, ramener la statue d'Emmanuel Macron
00:40parce que comme on l'avait promis dès le début, c'est un emprunt.
00:43On l'a restitué et on ne l'a pas restitué n'importe où.
00:47On est venu la ramener au siège d'EDF, en fait,
00:50pour mettre Macron face à sa responsabilité dans le commerce entretenu avec la Russie,
00:55notamment dans la filière nucléaire.
00:57On aurait pu aussi l'emmener devant le siège d'une entreprise de gaz
00:59ou le siège d'une entreprise d'importation d'engrais chimiques.
01:02C'est fini.
01:03La statue, on l'a laissée sur place
01:06et on a prévenu à la fois la direction du musée Grévin et les forces de l'ordre
01:10que la statue était là, devant le siège d'EDF.
01:13Maintenant, c'est à eux de venir la récupérer.
01:15Nous, on a rendu la statue.
01:29Pour nous, c'est clairement une décision politique.
01:38De toute façon, elle est argumentée sur le fait qu'il y a un risque de trouble à l'ordre public
01:41par la présence de notre bateau dans les eaux de Nice.
01:45C'est clairement une décision politique.
01:47C'est qu'on est punis pour l'action qu'on a menée avec ces blocs de calcaire,
01:52peut-être pour l'action qu'on a menée avec la statue de cire d'Emmanuel Macron.
01:56Dans tous les cas, pour nous, c'est clairement une punition du gouvernement français
02:00qui ne veut plus que Genpeace approche de ce sommet sur les océans.

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