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  • 03/06/2025
L'islamisme infiltre les foyers pour mineurs et les associations de protection de l’enfance en France. C'est ce que soutiennent Thierry Froment, ancien juge d’instruction, et Manon Sieraczek, docteur en droit et avocate au barreau de Paris. Dans une tribune publiée dans Le Figaro, s'appuyant sur des rapports et des témoignages, ils détaillent les dérives présentent dans ces structures, qui ne peuvent garantir la réinsertion de ces jeunes une fois majeurs.

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Transcription
00:00Un espace où la sécurité et l'éducation priment ? Pas vraiment.
00:04Selon cette tribune, le système de protection de l'enfance présente des défaillances dans la prévention de la radicalisation.
00:10Les foyers, accueillant des jeunes en rupture familiale, scolaire ou sociale, deviennent des sanctuaires de dérive.
00:16Plusieurs juges des enfants constatent que les foyers d'urgence, censés mettre les enfants à l'abri, peuvent représenter un danger plus grand que leur famille.
00:23L'accès non contrôlé aux réseaux sociaux est pointé du doigt. Ces jeunes vulnérables, en quête d'identité, ne parlant pas forcément français et au passé parfois traumatisant, restent malgré eux isolés.
00:34Des proies faciles pour le trafic de drogue, la prostitution ou des activités terroristes.
00:39Le besoin d'appartenance sociale pousse certains à rejoindre des groupes idéologiques radicaux, souvent sous l'influence d'associations caritatives liées à des mouvements islamistes.
00:48Les juges des enfants sont sous pression, avec 70% de signalements classés sans suite.
00:53Autre point, ces établissements sociaux, considérés comme un domicile, échappent aux contraintes de la laïcité.
00:59Son application est donc confuse et les professionnels, eux, pas assez formés.

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