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Luis Enrique est-il l’atout numéro 1 pour remporter la C1 ? - L'Équipe du Soir - extrait
la chaine L'Équipe
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30/05/2025
Retrouvez le replay du débat de l'Équipe du Soir du 29/05/2025.
Catégorie
🥇
Sport
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00:00
Et j'ai une terre, j'ai moins deux avant la finale de Munich.
00:05
Cette saison, le coach du Paris Saint-Germain a une influence considérable sur le jeu du PSG.
00:09
Depuis la qualification pour la finale, il joue le rôle de guide auprès de ses troupes.
00:13
Louis Sénriquet est-il l'atout numéro un pour guider le PSG vers le sacre ?
00:18
Mes amis, vous me dites non Grégory ?
00:20
Non, je trouve que c'est vraiment quelque chose en plus que je n'aime pas trop.
00:23
C'est-à-dire qu'à un moment, c'est quand même le terrain qui parle indépendamment des coachs.
00:26
Les coachs s'incarnent à travers ce que font les joueurs.
00:28
Si on monte la chaîne de responsabilité, on peut aussi dire que c'est la ligne politique de Doha qui prime sur Louis Sénriquet.
00:35
Or, à un moment donné, ça se joue sur un terrain.
00:37
Et il me semble que si, pour l'instant, pour ce qu'on en a vu jusqu'ici, s'il y a quand même un artisan à pointer, c'est Gianluigi Donnarumma.
00:45
Puisqu'à chaque fois que les matchs se sont joués, ça a été un peu beaucoup lui.
00:48
Tu ne peux pas faire comme si le PSG ne suivait pas une ligne directrice depuis quelques mois, celle de Louis Sénriquet.
00:53
Et que s'ils la suivent en finale, ils auront beaucoup de chance.
00:55
Non, mais elle s'incarne, la ligne, quoi que tu racontes, ça s'incarne à travers des joueurs.
00:59
Moi, je suis très dérangé souvent par le prisme coach.
01:01
Alors, tout ça, parce que c'est eux qui s'expriment devant les micros.
01:04
Mais à un moment donné, ça passe par des joueurs.
01:06
Et on est au bord de l'oublier.
01:08
On dit, oui, mais regardez, c'est des joueurs, c'est Louis Sénriquet.
01:10
Non, mais Greg, c'est quand même compliqué de ne pas lier la saison du PSG à l'influence de Louis Sénriquet.
01:17
Bien sûr.
01:17
C'est quand même compliqué de décorréler la responsabilité de l'entraîneur et les performances des joueurs.
01:23
Non, mais à un moment donné, ça passe par les joueurs.
01:24
Sur Donnarumma, son influence, je pense, est minimale.
01:28
Sauf à considérer que, de toute façon, il aurait eu raison dans tous les cas.
01:30
Soit de le remplacer par Safonov, comme ça lui est passé par la tête à un moment.
01:34
Oui, au début de saison.
01:35
Soit de dire, non, mais j'ai pris Safonov pour le pousser.
01:38
Regardez, j'ai eu raison, j'ai le meilleur Donnarumma.
01:40
Mais en dehors de ça, je trouve que tout ce qu'on voit du PSG cette année, c'est quand même très signé Louis Sénriquet.
01:44
Oui, mais par exemple, si Louis Sénriquet, on parle du milieu de terrain.
01:48
Neves, Vitigna, c'est un peu sa création aussi.
01:50
Il a pris des joueurs, c'est eux qui donnent un petit peu le...
01:52
Mais c'est Neves, c'est Vitigna, c'est Louis.
01:55
Non, mais je veux dire, à un moment donné...
01:56
Ça va au-delà du jeu.
01:57
Il a amené une croyance au sein de ce groupe qui dépasse le jeu.
02:02
Aujourd'hui, c'est le vrai leader de cette équipe.
02:05
Il ne veut plus le leader au sens propre dans le vestiaire.
02:09
C'est lui qui incarne ce rôle de leader.
02:11
Il l'a demandé et il l'assume.
02:13
Aujourd'hui, il a une voix qui porte énormément au sein de son groupe.
02:16
Il a une croyance au sein de son groupe depuis le départ.
02:18
Moi, je repense souvent à son discours après Gérone,
02:20
où on était les premiers, nos journalistes, à dire à ce PSG,
02:23
à galérer énormément contre Gérone.
02:24
Qu'est-ce que ça va être pour la suite de cette compétition ?
02:26
Il marquait un but en fin de match, un but gag de Nio Mendes,
02:29
sur une boulette du gardien.
02:30
Lui, il croyait déjà, donnait ce discours-là dans le vestiaire,
02:32
diffusait ce positif, ce aspect positif.
02:35
Enfin, il croyait.
02:36
Il était sans l'ordre d'y croire aussi.
02:38
Peu importe.
02:39
Ce qui m'a plus impressionné chez Louis-Sénriquet,
02:42
ce n'est pas tellement qu'il ait dit depuis le début certaines choses
02:44
qui ont fini par se vérifier.
02:46
C'est plutôt qu'il ait su changer en cours de route certaines choses.
02:51
Souvent entendu en 2025,
02:52
Louis-Sénriquet a cette saison eu raison sur tout et avant tout le monde.
02:56
Lançons le débat avec un exemple sur une de ses anciennes déclarations.
03:02
Nous sommes le 3 décembre 2023,
03:04
Paris-Saint-Posso-Havre 2-0.
03:05
Le match est marqué par un carton rouge assez rapide infligé à Donnarumma.
03:09
Il se retrouve donc à 10 contre 11.
03:12
Il joue la contre-attaque.
03:13
Et Louis-Sénriquet n'est pas là pour jouer la contre-attaque.
03:15
Archie.
03:18
On est une des rares équipes au monde
03:20
capables de jouer aussi bien en transition qu'en jeu placé.
03:22
Je n'ai pas signé au PSG pour jouer en contre.
03:24
Jouer en transition est plus facile.
03:26
On met 6 ou 7 joueurs derrière et les joueurs de devant cours.
03:29
Mais moi, ça ne me plaît pas.
03:30
J'aime jouer au football, faire du spectacle.
03:33
Et les supporters veulent aussi voir leur équipe jouer à l'attaque,
03:35
se créer des occasions marquées.
03:38
Vous avez répondu, Vincent, un peu à la question que je voulais aborder.
03:41
Est-ce qu'il a imposé ses idées ?
03:42
Est-ce qu'il a toujours eu depuis le début cette ligne directrice ?
03:46
Ou alors, il a un peu évolué, il a un peu changé ?
03:49
Il a imposé son influence, il a imposé son pouvoir.
03:52
Mais par bonheur, ses idées ont un peu changé.
03:54
En cours de route.
03:54
C'est-à-dire ?
03:55
Concrètement, il y a quoi ?
03:55
Déjà sur la transition.
03:57
C'est-à-dire qu'à un moment, il n'en voulait pas.
03:58
Il y avait même un exemple, une anecdote qui a souvent été rapportée
04:01
ou un débrief où ils pouvaient les gars parce qu'ils ont marqué en trois passes
04:05
alors qu'ils ne voulaient pas marquer comme ça.
04:07
Anecdote racontant l'équipe des champions par Giovanni Castaldi.
04:10
Ça ne l'intéresse pas, etc.
04:11
Là, au moins, il a changé.
04:12
Quand il peut jouer la transition, il joue la transition.
04:14
Il a changé quand même sur deux ou trois choses.
04:16
Le virage, c'est novembre.
04:17
C'est novembre où son groupe...
04:18
Exactement.
04:19
Ce n'est quand même pas le lieu d'équipe de contre-attaque.
04:20
Le virage, c'est novembre.
04:22
Attendez, attendez.
04:23
Le virage, c'est novembre.
04:24
Benjamin Corrèze.
04:24
Début novembre, par le biais de certains cadres,
04:26
exige un échange avec Louis-Eneriquet.
04:29
Parce qu'il n'est pas toujours facile d'avoir un temps de parole plus ou moins long.
04:33
Et effectivement, Louis-Eneriquet accède à cette demande
04:35
et écoute ses joueurs qui vont lui demander de prendre en considération le fait
04:40
qu'ils sont aussi plus à l'aise sur ces transitions rapides
04:42
et qu'ils se sentent un peu bridés par rapport aux demandes qui leur sont données.
04:47
Et comme par hasard, ça coïncide avec le passage de Dembélé avançant, d'ailleurs.
04:51
Oui, complètement.
04:52
Dembélé, quelques semaines auparavant, a été éjecté de l'équipe.
04:55
Et ce qui n'a pas été compris de tout le monde non plus.
04:56
Parce qu'aujourd'hui, Dembélé, c'est le leader technique de ton collègue.
04:59
Sur la phase d'élimination directe en Ligue des Champions,
05:01
donc Paris a disputé 8 matchs, a marqué 19 buts.
05:05
Et sur ces 19 buts, il y a 6 buts en pure contre-attaque.
05:08
Et 7 buts, on va dire, en attaque rapide et claire.
05:10
On va dire avec pas beaucoup de préparation.
05:13
Vraiment pas beaucoup.
05:14
Mais souvent, c'est après une récupération haute, un contre-pressing.
05:17
Donc là, c'est encore autre chose.
05:18
Là, c'est pas le contre-pressing.
05:20
Là, vraiment, il y avait une situation vraiment 6 contre-attaques.
05:24
6 contre-attaques.
05:25
Et puis 7 attaques, on va dire, très rapides.
05:28
Mais qui démarre dans le coin adverse.
05:30
Ce qu'il voulait...
05:32
Non, non, non, non.
05:33
C'est pas les trucs sur les contre-pressing.
05:34
Celle-là, je n'ai pas compté.
05:35
Dembélé à Liverpool, en fait.
05:36
C'est-à-dire qu'il y a des passes...
05:37
La défense n'est pas prise, mais tu vas vite vers l'avant.
05:39
Oui, il y a une passe...
05:41
Ou même Arsenal.
05:42
Il y a une passe de Nuno Mendes au milieu qui couvre tout.
05:46
Et la passe suivante, ça va au but.
05:47
Et donc, c'est ni une contre-attaque, ni une attaque placée, ça peut entre les deux.
05:50
Oui, mais puisqu'on parle de l'influence de Luis Enrique,
05:52
et l'influence de Luis Enrique est probablement en finale,
05:54
parce qu'on parle de la finale.
05:55
Une finale, ça se joue quand même sur des détails.
05:59
Et Luis Enrique, ce qui est assez remarquable,
06:00
c'est qu'il a réduit au strict minimum les aléas des matchs du PSG, je trouve.
06:06
Sur le plan mental, non, mais gestion tant forte, tant faible.
06:09
Par rapport aux autres saisons, il y a quand même un très gros progrès.
06:13
Et ça, ça peut compter en finale.
06:14
Et sur le plan tactique, c'est une équipe qui maîtrise beaucoup mieux son sujet.
06:19
Et je vois la finale comme un match quand même assez fermé.
06:21
Ça ne sera pas débridé.
06:22
et ça va se jouer sur les forces tactiques de chaque équipe.
06:26
Comment vous voyez la finale ?
06:29
Comment vous l'imaginez ?
06:30
Il vient de dire un truc intéressant sur la précision et le travail tactique.
06:34
Il faut savoir que sur leurs quatre derniers matchs de Ligue des Champions,
06:36
le Paris Saint-Germain, il y a trois matchs où ils ont moins couru que l'adversaire.
06:39
Ils ont couru cinq kilomètres de moins qu'Arsenal à l'allée.
06:42
Vous pouvez vérifier, c'est sur le site de l'UEFA.
06:44
Donc effectivement, ce n'est pas que de l'effort.
06:46
C'est la coordination de l'effort, le travail, la manière de se caler.
06:49
Ça va un peu plus loin que ça.
06:50
Comment vous voyez la finale de samedi ?
06:52
Éric n'a pas parlé.
06:52
Comment vous l'imaginez, cette collision entre le jeu de l'Inter,
06:55
une organisation bien définie et une organisation bien définie également du PSG ?
07:00
Moi, j'avais le sentiment, c'est une finale.
07:02
Et souvent, on va prendre les statistiques,
07:04
il y a trois fois eu un zéro, une fois deux zéros dans les cinq dernières.
07:08
19 fois un zéro, c'est le score le plus courant, le plus fréquent.
07:10
Les cinq dernières, là, depuis 2020.
07:13
Mais moi, je la vois plus ouverte.
07:16
Parce que je me dis que devant le Bayern et devant le Barça,
07:20
on pensait, même si le Barça avait une équipe offensive et le Bayern,
07:24
eux allaient marquer, mais les autres ont su répondre.
07:27
Donc, on ne sait jamais, défait Dieu.
07:30
Si l'ouverture du score se fait dans les 20 premières minutes,
07:33
c'est à une note finale, à mon avis.
07:34
Souvent, c'est un zéro.
07:36
Quand tu arrives à 0-0 à la mi-temps,
07:38
personne n'ose se découvrir.
07:40
Maintenant, moi, pour Luis Enrique,
07:42
c'est la boîte nord quand même du PSG.
07:44
Parce que tous les systèmes, toutes les informations, c'est lui.
07:47
Moi, je vois, vous me parlez de 2 minutes, en trois secondes.
07:51
Il veut tous les systèmes.
07:52
Il veut la possession.
07:53
Il veut presser haut, presser au milieu, aller vite.
07:56
Il n'a jamais refusé ça.
07:58
Simplement, tout dépend...
07:58
Un peu, quand même.
07:59
Un peu, un peu, un peu.
08:00
Tout dépend des joueurs qu'il a.
08:03
Il ne disait pas à Neymar de s'arrêter.
08:04
Et à Messi, quand il prenait le ballon aux 50 récupérés par Iniesta ou Busquets...
08:09
Il avait même battu, parce qu'il est mieux de jouer en contre avec Mbappé.
08:11
Non, mais il a Varadona maintenant,
08:14
Dembélé qui l'a replacé au centre.
08:16
Ça, c'est un génie.
08:18
C'est un coup de génie.
08:19
Parce qu'ils n'en avaient pas.
08:21
Et puis, lui, il peut faire le pressing haut,
08:24
venir emmerder les centraux.
08:25
C'est ce que j'ai lu.
08:26
Et la force, quand même, du PSG.
08:27
J'ai vu à la télévision, sur une télé, un canal.
08:33
Il faisait deux, trois actions où les milieux, Vitinha et, on va dire,
08:39
Ouiz ou Neves, descendent pour demander le ballon à leurs centraux.
08:46
Et leurs centraux donnent à Dembélé.
08:47
Ils attirent quatre mecs qu'ils éliminent sur la passe Dembélé face au jeu
08:51
avec Barcala ou Doué.
08:54
Oui, mais un jeu de position qui va très vite.
08:56
Et ils aspirent.
08:57
Mais moi, je pense une chose, c'est que l'Inter Milan,
09:00
en tout cas, moi, je serai coach.
09:01
Jamais, je prends ce risque-là,
09:04
mais je reste au niveau des 50 pour défendre,
09:07
avec leur ligne.
09:08
Mais jamais, je vais trop presser.
09:10
Sauf sur les ballons de récupération, le contre-pressing.
09:13
Si je le perds immédiatement, je presse.
09:16
Mais sinon, je ne me fais pas aspirer par le Paris Saint-Germain.
09:19
C'est le danger pour eux, pour l'Inter.
09:20
C'est le danger pour eux.
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