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  • 27/05/2025

A suivre sur notre antenne ce mardi Reza Uteem sera l’invité de l’émission Parlman Lepep Le ministre des Relations Industrielles et de l’Emploi évoquera les défis du manque de main d’œuvre, ainsi que la situation économique et politique à quelques jours de la présentation du Budget 2025/2026. Il répondra aux questions de Jimmy Jean-Louis entre 17H30 et 19H00. A suivre d’autres interventions et vos questions également sur le 213 7777. Emission live à suivre également sur notre application TOPFM TV et sur Parabole chaîne 10

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Transcription
00:00:00Bon après-midi, M. Perezouane, nous poursuivons les pépins comme à chaque mardi, le plaisir
00:00:16d'avoir le ministre des Relations industrielles et de l'Emploi, Reza Outim, qui est avec
00:00:19nous.
00:00:20Reza Outim, bon après-midi.
00:00:21REZA OUTIM Bon après-midi, Jimmy.
00:00:22Bon après-midi à tous les auditeurs de Top FM.
00:00:25Et mon rappel à tous les auditeurs qui sont capables, bien sûr, de suivre nous l'émission
00:00:29de Top FM TV, issue par Abol Mori, chaîne 10, et sur nos plateformes digitales 213.77.77.213.77.77.
00:00:39Ces numéros bien faits pour intervenir tout à l'heure, pose-moi une question à Reza
00:00:43Outim.
00:00:44Six mois après votre installation à la tête de ce grand ministère-là, est-ce que vous
00:00:47satisfait de manière à ce que les choses puissent se dérouler?
00:00:50Est-ce qu'une récipe prend au mort?
00:00:52Est-ce qu'on prend le contrôle du ministère, comme on dit?
00:00:55REZA OUTIM Moi, je suis très content qu'après six
00:00:58mois, comme on dit, maintenant, on a agrandi la cour, on a agrandi la cour.
00:01:05On a aussi eu des PS très dynamiques dans le ministère du Travail et le ministère
00:01:13de l'Emploi.
00:01:14Aujourd'hui même, on a eu un meeting avec mon staff concernant le recrutement des travailleurs
00:01:20étrangers et toutes les mesures qu'il nous prend depuis les six derniers mois qu'ils
00:01:25ont eu dans ce ministère-là pour améliorer le système, le service et faciliter le recrutement
00:01:33des travailleurs étrangers.
00:01:34Et là, je peux demander les chiffres dans l'espace de six mois, là-haut, 11 500
00:01:44travailleurs étrangers d'un autre permis, nouveau permis ou renouvelé d'un autre permis.
00:01:49Puis, il y a eu une info de nous qui, plus de 3 200, 3 300 travailleurs étrangers qui
00:01:56sont en situation irrégulière, ils retournent dans la case parce qu'il y a eu un crackdown
00:02:03qui nous a dit que les travailleurs étrangers, auparavant, sauvés du travail, « go missing »
00:02:13et ils travaillent quand ils ne le disent pas parce que la loi interdit ça.
00:02:18Et en même temps, on fait bien ressortir à nos employeurs qui n'ont pas le droit
00:02:22de recruter des travailleurs étrangers illégaux.
00:02:25Si vous avez envie de travailler étranger, vous faites une demande, vous faites une application,
00:02:30il n'y a pas de cas de favoritis, il n'y a pas de personne qui a une préférence
00:02:34pour ses camarades.
00:02:35Tout dossier est traité pareillement et quand le dossier est bloqué, nous prenons une décision
00:02:40pour accélérer les choses.
00:02:43Il y a aussi toute la question du chômage et de l'emploi qui affectait le pays.
00:02:48Peu d'insectes, on prend l'agriculture, on prend même un secteur col blanc, y compris
00:02:51la presse, qui a des difficultés des mains d'œuvre et que là-là, on a un salaire
00:02:58qui est augmenté.
00:02:59C'est une situation compliquée et les insecteurs ont dit que le coût de production est tellement
00:03:06augmenté qu'il n'y a pas tant d'objectifs de production et en même temps, peu d'insectes
00:03:11qui rendent la situation beaucoup plus difficile.
00:03:13Comment vous voyez ce problème-là au niveau réseauté?
00:03:16C'est une très bonne analyse qu'a fait Jimmy parce que nous presque on arrive à
00:03:2350 000 travailleurs étrangers et en même temps, nous avons environ 38 000 chômeurs
00:03:31qui ont enregistré, qui ont les chiffres différents.
00:03:34Mais il y a un paradoxe, comment un côté, une entreprise peut dire payer un Mauricien
00:03:40ou bien un Mauricien ne fait pas les travaux, ne fait pas sa qualité de travail et là,
00:03:43et un autre côté où il y a un jobless, un chômeur et en particulier, qui est assez
00:03:50préoccupant, chômage parmi les jeunes.
00:03:53On cite le salaire, effectivement, il y a une issue dans Maurice concernant le salaire
00:04:04pour le travail qu'il fait.
00:04:05Aujourd'hui, il est malheureux, mais avec le système de chiffre, il y a pas mal de
00:04:13travailleurs qui peuvent travailler le soir ou même un week-end et être payés pareil
00:04:24comme une jeune qui travaille lundi à vendredi, 9h à 5h.
00:04:30Si vous devez être jeune, choisir un travail 9h à 5h ou bien aller travailler dans l'hôtel
00:04:36la soir, aller travailler dans le restaurant la soir, aller travailler dans le supermarché
00:04:41la soir, il est clair que les jeunes là, ils préfèrent, s'ils veulent même la paix,
00:04:46les faire un travail plus léger, un travail dans le bureau, un travail avec une balance
00:04:53entre travail, la vie familiale et la vie de jeune, surtout quand on a une jeune couple,
00:05:02tout ça.
00:05:03Donc, ça explique en partie qu'il y a ce paradoxe qu'en même temps, il y a des chômeurs
00:05:10et en même temps, il y a des recrutements de travailleurs étrangers.
00:05:12Le deuxième qui est sûr, c'est ce qu'on appelle le « skills mismatch ». Il y a beaucoup
00:05:16de gradués qui retournent à Maurice qui ne payent pas leur travail parce qu'ils ont
00:05:21fait une formation dans un secteur où il n'y a pas beaucoup de monde pour cette qualification-là.
00:05:26Pareillement, il y a des camarades qui ne veulent pas faire de grande classe et donc
00:05:33ils ont besoin d'un technicien, ils ont besoin d'une dimension pour faire un travail
00:05:39qui nécessite une certaine expertise, d'un électricien, de plomberie, mais ils n'ont
00:05:43pas la formation qu'ils veulent.
00:05:45Donc, pour ce « skills mismatch »-là, il est très important qu'ils nous identifient
00:05:51dans le « training » et nous donnent dans le « training ».
00:05:54Juste cet après-midi, moi, je suis avec un directeur d'une institution éducative à
00:06:00Maurice.
00:06:01Il me raconte comment il sait qu'il y a un cours qu'il veut donner, qui est certifié
00:06:08avec l'Université française, que les jeunes travaillent en même temps qu'ils suivent
00:06:14ce cours.
00:06:15Donc, il fait trois jours cours, deux jours en entreprise, la deuxième semaine, il fait
00:06:21trois jours en entreprise, deux jours dans le cours, il est allé comme ça même et
00:06:24après deux ans, ce jeune-là, non seulement il a un BTS ou il a un diplôme, mais en même
00:06:31temps, il a deux ans d'expérience, donc c'est beaucoup plus facile pour lui d'être recruté
00:06:36et très souvent, c'est sa entreprise qui lui donne sa stage-là, son apprentissage-là,
00:06:44c'est lui-même qui est recruté.
00:06:46Donc, nous, par rapport à sortir de là, s'il a envie de réduire le chômage, il
00:06:51nous faut identifier les secteurs d'activité qui conviennent à ces jeunes-là et qui
00:06:57permettent à eux d'être formés, d'avoir une formation pour qu'ils soient capables
00:07:00d'un travail.
00:07:01Donc, c'est un problème de 38.000 personnes qui ont resté au niveau de ce système stamp
00:07:06code-là.
00:07:07C'est un problème parce qu'il y a beaucoup de gens qui viennent travailler soit dans
00:07:11le gouvernement, soit dans la collectivité locale, nous nous trouvons qu'ils m'ont
00:07:14allé à sa fin de faire dernièrement, et la statistique-là, c'est pas très fiable
00:07:21réellement.
00:07:22Qu'est-ce qu'on peut faire à ce niveau-là pour nous permettre de connaître vraiment
00:07:25quelle est la réalité au niveau de ce mismatch-là?
00:07:29Tu avais raison une nouvelle fois, Jimmy, c'est qu'il y a beaucoup d'immunes de
00:07:36cette stamp code, malgré le fait qu'ils ont fait un travail parce qu'ils ont été
00:07:40dans l'espoir d'être capables d'un gouvernement, d'être capables d'une municipalité.
00:07:45Mais vous avez aussi connu qu'il y a énormément d'immunes qui ont enregistré ça, même
00:07:50s'ils ont fait un travail parce qu'ils ont envie d'un meilleur travail.
00:07:53Bon, nous, ce que nous faisons au niveau de nos ministères, premièrement, nous faisons
00:07:58un soutien budgétaire, après-budget, pour être capables de développer un software
00:08:04avec l'intelligence artificielle, automatiquement, nous pouvons faire un matching entre demandeur
00:08:11d'emploi et entreprise qui peut recruter, c'est-à-dire qu'une entreprise, elle vient
00:08:18dans notre système, elle dit voilà, moi, j'ai besoin d'un chauffeur, j'ai besoin
00:08:21d'une arme Form 3 ou d'une arme Form 5, elle met ce requirement, tout de suite, automatiquement,
00:08:28le système génère une liste de chômeurs qui ont ce tranchage-là, qui ont cette qualification-là,
00:08:38et il envoie une e-mail, il donne l'adresse et le contact d'ité.
00:08:41Et en même temps, il envoie à tous ces chômeurs-là le nom de l'entreprise qui
00:08:46perçoit l'immune qui a cette qualification.
00:08:49Donc ça, il faut améliorer le système énormément et il faut réduire le temps qu'il prend
00:08:56pour identifier le skill.
00:09:00Donc ça, c'est une chose qu'on peut faire.
00:09:03Deuxième chose, on commence à faire ça dans le nord, à Granby, mais on peut faire
00:09:09ça tous les mois ou tous les trimestres dans différents sens.
00:09:13On dirait qu'il y a beaucoup de chômeurs, surtout des jeunes, qui ont une période de
00:09:20confiance dans ce système, cet emploi-là, et donc même s'ils sont à la recherche
00:09:25d'un emploi, ils ne peuvent pas enregistrer eux-mêmes.
00:09:28Donc nous, ce qu'on peut faire, c'est qu'on peut organiser des « job fairs ».
00:09:32On a fait ça à Granby le mois dernier, et ça a eu un succès.
00:09:38Donc, il y a une vingtaine d'entreprises qui ont une route d'immunité, j'ai une
00:09:42entreprise dans le nord, qui a une route de recrutement d'immunité, et en place,
00:09:46les immunités peuvent marcher, remplir des formes, faire des interviews, et beaucoup
00:09:52de gens ne l'ont pas enregistré dans nos bases de données.
00:09:56Donc ça, c'est une façon qu'ils peuvent « bring work » to their employment.
00:10:01Quand même, dans cette question de main-d'oeuvre étranger, beaucoup de monde cause une défaillance
00:10:06du manger, du travail, parce qu'ils se tiennent à un problème aigu de l'immobilité,
00:10:09du travail et de l'emploi.
00:10:11Et puis maintenant, il y a tendance dans… longtemps, nous, tu prenais des modèles ski
00:10:15et city area, et c'est là où on a l'aéroport, où tu trouves ski et city area, où tu trouves
00:10:19étrangers, où tu trouves une aile du supermarché jusqu'à l'agence de sécurité, et là,
00:10:28ça même, ça marche depuis 30 ans, minimum, ou plus, mais qui fait une décision pour
00:10:37faire ce qu'ils veulent dans la nature, ne trouver pas 5 000 dans un pays, 5 000 dans
00:10:42un autre pays, 100 dans un autre pays, ou comme ça, pas trop comprendre, comment on
00:10:45harmonise tout ce système-là pour garder l'équilibre dans toute cette question-là.
00:10:50Dans toutes les choses, aujourd'hui, c'est travail à l'étranger.
00:10:54Côté Jimmy, même si les Mauriciens, ils ont envie de faire du travail…
00:11:03Parce que le travail des Mauriciens, ils ne veulent pas le faire du tout.
00:11:07Même si tu es là, par exemple, le secteur textile, côté laine, manque de main-d'oeuvre,
00:11:13même dans l'agriculture, côté laine, manque de main-d'oeuvre.
00:11:20Même si tu es là, dans le Mauricex, tu as envie de travailler, le recrutement des travailleurs
00:11:28étrangers est non seulement inévitable, mais il y a une nécessité pour l'île
00:11:33Maurice.
00:11:34Qui fait ? Aujourd'hui, on a une population vieillissante, c'est-à-dire le nombre de
00:11:40du monde qui peut passer à la retraite, et avec la grâce du monde, il peut rester
00:11:44vivant pendant plus longtemps, il peut augmenter.
00:11:46Par contre, le nombre de jeunes qui peuvent rejoindre le marché du travail, c'est-à-dire
00:11:54des « active populations », c'est-à-dire ceux qui travaillent, il peut rétrécir.
00:11:57Il peut rétrécir parce qu'il y a une population âgée, il peut rétrécir parce
00:12:01qu'il n'y a pas assez d'enfants, il n'y a pas assez d'enfants et il y a beaucoup
00:12:08de jeunes qui, quand ils immigrent, ils partent à Maurice.
00:12:12Donc, on est obligé de prendre un travail étranger pour nous élargir nos bases d'emploi,
00:12:17pour nous permettre de créer de la richesse.
00:12:19Et c'est des gens qui font une demande d'emploi dans mon ministère, je suis obligé de démontrer
00:12:27à mes officiers l'incapacité de recruter localement.
00:12:31Ça, c'est essentiel.
00:12:32Donc, je suis obligé de venir, je vais montrer à eux que je suis allé au centre d'emploi,
00:12:38je prends la liste des gens, je vais contacter ces gens-là, faire l'interview et ils ont
00:12:45un candidat.
00:12:46Ou s'il y a un candidat aussi, ces gens-là ont un travail.
00:12:49C'est à ce moment-là qu'ils nous permettent de recruter des travailleurs étrangers.
00:12:54Donc, ce n'est pas, comment dire, qu'on encourage les étrangers à prendre un travail
00:12:59dans le Mauritien.
00:13:00Non, c'est loin de là.
00:13:01Mais moi, je veux dire un côté plus positif.
00:13:04Pour moi, si tous les jours, je fais des demandes, surtout dans le PME, je dirais qu'il y a
00:13:11beaucoup de PME aujourd'hui qui font des requêtes pour un travail étranger, ça veut
00:13:16dire qu'il y a un optimiste dans le pays.
00:13:18Parce que quand vous recrutez, vous recrutez quand vous pensez que vous êtes capable de
00:13:25grandir l'entreprise, faire profit.
00:13:27C'est pour ça qu'il faut plus de main-d'oeuvre, parce que vous êtes optimiste.
00:13:30Et ce qu'un optimiste, bien, vous génère la croissance économique et la prospérité
00:13:36d'un pays.
00:13:37Mais par rapport à un Mauritien qui vit dans ce pays, il vit dans un pays taxé, il vit
00:13:42dans un pays, surtout, par exemple, les banques de télévision, il y a une série de petites
00:13:47choses.
00:13:48Est-ce qu'il est normal, avec toutes les petites choses qu'il y a, comme l'or, l'orage,
00:13:52tous ces problèmes-là, est-ce qu'il est normal que le travailleur étranger gagne
00:13:56le même salaire pour comparer au Mauritien quand lui, il est logé, nourri, blanchi,
00:14:01tandis que le Mauritien, lui, quand il gagne ce salaire, il vit dans le pays, sur l'occasion,
00:14:04sur l'eau, sur les affaires.
00:14:05Est-ce qu'il y a des choses là-dedans?
00:14:07Parce que généralement, si nous prenons un travailleur étranger, nous savons faire
00:14:12le coût baissé, le coût baissé lui faisait profit à la population.
00:14:14Quand les Mauritiens nous signataient de plusieurs conventions internationales au niveau du Bureau
00:14:22international du travail, BIT, ILO, et une des bonnes conventions qu'ils ont signées
00:14:28exige que pour le même travail, les Mauritiens aient les mêmes salaires, les mêmes conditions
00:14:36de travail.
00:14:36On pose la question juste parce que l'argent qu'un travailleur étranger gagne, en grosse
00:14:41majorité, il est rapatrié dans d'autres pays étrangers.
00:14:44Donc, nous obligeons légalement de ne pas gagner un bras pour faire une discrimination
00:14:50et d'anticonstitutionner aussi pour faire une discrimination à l'eau basse de country
00:14:54of origin.
00:14:55Bonnes travailleurs étrangers payent taxes.
00:15:00Bonnes travailleurs étrangers payent CSG.
00:15:03Bonnes travailleurs étrangers, plus ils travaillent, plus ils perdent leur temps, plus ils gagnent
00:15:08de l'argent, plus ils dépensent et chaque fois qu'ils dépensent, ils payent TVA et
00:15:14ils payent leur taxe d'incombéance, PAY.
00:15:17La seule grande différence qu'il y a entre un travailleur étranger et un travailleur
00:15:20mauricien, c'est que les travailleurs étrangers ne sont pas employés par un pays PIDG, c'est-à-dire
00:15:28Portable Retirement Fund, deux semaines par année, 4,5%.
00:15:35Ça, ils ne sont pas payés parce qu'ils sont des travailleurs temporaires après
00:15:38trois ans d'ouvrir leur casque.
00:15:40Mais aujourd'hui, un travailleur étranger coûte plus cher à une entreprise qu'à
00:15:46un travailleur mauricien parce qu'il a besoin de mettre un dotoir.
00:15:49Dans ce dotoir-là, s'il n'y a pas de facilité pour se cuisiner, il a besoin de se manger
00:15:55boire.
00:15:56Donc, un travailleur étranger, il revient à l'entreprise plus cher, mais seulement
00:16:03à long terme, ce qui fait que beaucoup d'entreprises préfèrent les travailleurs étrangers parce
00:16:08que très souvent, les travailleurs étrangers, ils n'ont rien à faire dans le week-end
00:16:13alors ils travaillent plus.
00:16:15Tandis que le travailleur mauricien, et nous ne l'avons pas, nous avons tous des syndicalistes
00:16:20qui nous l'avons pour ça, au fil des ans, nous n'avons pas de conditions de travail
00:16:25qui font qu'on n'est pas capable d'obliger un travailleur à faire du temps, on n'est
00:16:30pas capable d'obliger le travail dans un jour quand il n'y a pas envie de prendre
00:16:35son jour de congé.
00:16:37Mais donc, il y a beaucoup de mauriciens qui, avec raison, ont envie de passer un peu plus
00:16:42de temps en famille, d'avoir envie le week-end d'aller à la mer, d'avoir envie la soirée
00:16:47dîner en famille, alors que l'usine encore peut rouler 24h7, et là, c'est des travailleurs
00:16:54étrangers qui peuvent faire le travail que les mauriciens ne peuvent pas faire.
00:16:58Certainement.
00:16:59Une dernière question qu'on vous a volée là, par rapport au salaire minimum, contribution
00:17:04au CSG, etc., et revoir, révision des rémunérations, est-ce qu'il peut, pour continuer avec cette
00:17:13formule, ou bien, il y a des gens qui disent qu'ils gagnent le salaire minimum, ils n'ont
00:17:17pas intéressé, et ils parlent de productivité, quel est l'équilibre qu'il y a entre la
00:17:23compétitivité économique et le besoin social, ou si vous voulez, l'aspect social?
00:17:28Quand nous fixons le salaire minimum, ce n'est pas le gouvernement qui décide ça.
00:17:37Nous avons un National Wage Consortium Council, qui est quand même présidé par M. Hapana,
00:17:47qui n'est pas n'importe qui, c'est un individu qui est très respecté, très respectable,
00:17:52et donc, il prend en considération tous les facteurs qui viennent avec ce qu'il considère
00:17:57être le minimum salaire. Et là aussi, il y a un syndicaliste qui n'est pas d'accord
00:18:02avec ça, parce que je dirais que ce n'est pas le salaire minimum qui est le minimum
00:18:08vital, qui est plus haut que le salaire minimum. À partir de là, le salaire minimum, c'est
00:18:15le minimum, mais il y a un ajustement qu'il faut faire, parce qu'il y a des gens qui
00:18:20travaillent pendant plusieurs années, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a
00:18:23aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:18:25pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:18:27y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:18:29pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:18:31y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:18:33pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:18:35y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne
00:18:37parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:18:39y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:18:41pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:18:43y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:18:45pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:18:47y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:18:49pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:18:51y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:18:53pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:18:55y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:18:57pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:18:59y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:01pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:03y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:05pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:07y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:09pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:11y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:13pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:15y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:17pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:19y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:21pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:23y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:25pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:27y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:29pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:31y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:33pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:35y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:37pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:39y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:41pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:43y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:45pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:47y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:49pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:51y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:53pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:55y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:19:57pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:19:59y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:20:01pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:20:03y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
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00:20:43y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
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00:21:25pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:21:29y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
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00:21:37y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent
00:21:41pas du même salaire qu'il y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'il
00:21:45y a aujourd'hui, ils ne parlent pas du même salaire qu'ils ont pasteurisé
00:22:09♪♪♪
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00:24:16Ma chaise, c'est mon temps.
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00:24:49Parlement les peuples, bizarres rencontres.
00:24:52♪♪♪
00:24:57En suite de l'émission Parlement les peuples,
00:24:59avec bien sûr le ministre Reza Houtim,
00:25:02qui est avec nous, le ministre du Travail.
00:25:04Reza Houtim, au niveau de la législation,
00:25:06la loi du travail et relations industrielles,
00:25:08est-ce qu'il y a quelques changements
00:25:10qui vous permettent au niveau de l'Industrial Relations Act
00:25:15ou bien du Workers' Rights Act?
00:25:18Tout à fait.
00:25:20Je n'ai pas envie de faire comme mon prédécesseur.
00:25:24Je profite du Finance Bill
00:25:27pour l'amendement du Workers' Rights Act
00:25:31et du Employment Relations Act.
00:25:33Finalement, c'est un amendement qui passe inaperçu.
00:25:38Quelques semaines après,
00:25:40c'est là que le syndicalisme se lève et commence à protester
00:25:43ou le partenaire commence à dire qu'il ne peut pas consulter.
00:25:46Il dit qu'il va faire ça.
00:25:47Donc nous, ce qu'on peut faire,
00:25:49et la politique qu'on a adoptée depuis mon premier émissaire,
00:25:52c'est de faire tout dans le dialogue consultation.
00:25:56C'est pourquoi nous ne prenons pas de grands changements
00:26:01qu'en Finance Bill pour présenter dans les jours à venir,
00:26:05mais nous prenons assise le droit du travail
00:26:09quand nous prenons des représentants
00:26:12des différents mouvements syndicals de Mauritie
00:26:16et aussi des représentants des groupes d'employeurs.
00:26:22Quand nous prenons une discussion,
00:26:24il y a déjà plusieurs syndicalistes qui envoient des recommandations
00:26:29et plusieurs membres du business mauritien,
00:26:32qui envoient aussi des propositions qu'ils ont envie de faire.
00:26:37Il y a des propositions extrêmement intéressantes
00:26:39et il y en a d'autres qui sont assez controversées.
00:26:41Donc, on dit que le budget est terminé,
00:26:43nous prenons nos assises, nous discutons.
00:26:45Après, nous venons avec un bill pour circuler,
00:26:48pour que tout le monde sache ce qu'il peut faire.
00:26:51Et après, nous l'amènerons au Parlement.
00:26:55Moi, j'aime beaucoup travailler avec des étrangers dans la nature.
00:26:59Souvent, il y a beaucoup de cas de maltraitance.
00:27:02Mon patron s'y habite tout le temps,
00:27:04et il n'est pas capable de faire des propositions.
00:27:06Il y a même un mauricien à l'étranger
00:27:08qui, quand il réclame son droit, fait des propositions.
00:27:11Dans cette question-là, pas plus tôt qu'il y a au niveau du ministère,
00:27:14il y a un travailleur qui est venu pour une plainte.
00:27:18Au niveau du ministère, il a été arrêté.
00:27:20Donc, il n'y a pas de dialogue.
00:27:23Les dommages, il y a plusieurs cas de maltraitance
00:27:29qui sont enregistrés contre des travailleurs étrangers.
00:27:33Il y a plusieurs cas d'exploitation,
00:27:35à tel point que, sous l'enchaînement du régime,
00:27:39nous sommes blacklistés.
00:27:41C'est-à-dire que les États-Unis nous mettent sur la liste
00:27:44qu'il y a du trafficking en personne, du trafic humain,
00:27:48qui concerne surtout des travailleurs étrangers.
00:27:52Et le développement de l'entreprise,
00:27:55il n'y a pas de rapport pour dire qu'il y a un travail forcé.
00:28:01Dans la pratique, ce qui peut arriver, effectivement,
00:28:04et c'est assez choquant,
00:28:06quand un travailleur a un problème avec son employeur,
00:28:11l'employeur le met dehors,
00:28:13l'employeur avise le ministère qu'il n'est plus un employé
00:28:20et donc cancelle son permis de travail et le déporte.
00:28:25Comme on est venus, comme ministre,
00:28:27dans le sens du protocole,
00:28:29on vient dire qu'il nous faut analyser
00:28:32ce qu'est-ce qui fait qu'on quitte ce lieu de travail.
00:28:37S'il y a quelque chose qui peut reprocher son employeur,
00:28:41nous devons régler le litige et pas le déporter.
00:28:46Et ce qu'on peut faire,
00:28:48on peut donner une instruction au PIO,
00:28:50mais ce n'est pas le contrôle du PIO,
00:28:52c'est le PIO, la police,
00:28:54pour qu'ils disent qu'ils comprennent bien
00:28:56qu'au niveau du ministère,
00:28:58ils nous donnent un permis de travail,
00:29:00mais un permis de résidence sous passeport et immigration.
00:29:04Donc, s'il y a une violation de passeport et immigration,
00:29:09la loi contraignant l'immigration,
00:29:11la police comprend.
00:29:13Par exemple, il y a beaucoup de cas
00:29:15de travailleurs qui viennent là pour un touriste-visa.
00:29:20Et quand j'ai un touriste-visa,
00:29:22je gagne un travail, je demande ce travail.
00:29:24Mais bien sûr, quand le PIO tient ça,
00:29:26le PIO fait des projets.
00:29:28Dans le cas de ce que vous mentionnez là,
00:29:31on fait moins de devoirs qu'aussi avec les officiers
00:29:35parce qu'on pense qu'ils sont très injustes.
00:29:38Et quelque part,
00:29:40il y a une certaine dose de malhonnêteté intellectuelle
00:29:43quand on a une personne qui est allée faire une live
00:29:47et refait quoi qu'il préfère dominer avec un travailleur étranger,
00:29:51avec complicité devant le ministère.
00:29:54Dans le cas qu'on a reporté hier,
00:29:57il y a un travailleur malgache
00:29:59qui fait travail
00:30:01et il y a une dispute
00:30:03s'il a un péché ou s'il a une semaine.
00:30:06Ce travailleur,
00:30:08tu peux lui payer une somme d'argent
00:30:10qui est basée sur le nombre de poissons qu'il a gagné.
00:30:14Bien sûr,
00:30:16nous l'avons clair,
00:30:18vous avez un salaire minimum.
00:30:20Donc vous pouvez avoir un bonus de production
00:30:23si vous avez un certain nombre de poissons
00:30:26et que vous gagnez un peu plus que ça,
00:30:28mais vous obligez d'avoir le salaire minimum
00:30:31de 17 000 et quelques qu'il était aujourd'hui.
00:30:36Apparemment,
00:30:38le travailleur n'a pas gagné l'argent qu'il subissait.
00:30:41Et là, il y a un incident
00:30:43qui est arrivé en février 2025.
00:30:46Le 15 février 2025,
00:30:48quand le travailleur n'a pas gagné son salaire,
00:30:51qu'est-ce qu'il a fait ?
00:30:53Il a quitté sa place de travail
00:30:55et est allé la sauver.
00:30:57Il ne nous a pas fait connaître.
00:30:59Personne ne nous a fait connaître.
00:31:01Il est dans la nature.
00:31:03Après quelques temps,
00:31:05il a travaillé loin de Filling,
00:31:07à la station Filling.
00:31:10Il a dit qu'il ne travaillait plus que moi.
00:31:13C'était en mars.
00:31:15Travailler là, il n'est pas venu,
00:31:17il n'a pas donné le signe de vie,
00:31:19il est allé à l'ancienne année.
00:31:21Là, c'est en mars que l'entreprise
00:31:23est venue,
00:31:25il a fait l'entrée dans mon ministère
00:31:27pour dire qu'il ne travaillait plus que moi.
00:31:29Et automatiquement,
00:31:31il a informé le Passport and Immigration.
00:31:33Depuis février.
00:31:35Bon, ça,
00:31:37il était comme ça,
00:31:39il n'a pas fait aucun complaint.
00:31:41Après un beau jour,
00:31:43il a décidé de venir
00:31:45dans mon bureau,
00:31:47c'est-à-dire
00:31:49le 19 mai.
00:31:51Le 19 mai,
00:31:53il est venu dans mon bureau
00:31:55pour faire un complaint.
00:31:57OK,
00:31:59bien bon, il a fait un complaint.
00:32:01Et quand il a fait un complaint,
00:32:03il a dit qu'il allait me casser
00:32:05et qu'il allait me payer le billet d'avion.
00:32:07Si un employeur
00:32:09met tout dehors, il va payer le billet d'avion.
00:32:11Si on quitte,
00:32:13l'employeur va payer.
00:32:15Donc, à cause de ça, il est venu dire
00:32:17qu'il allait me casser comme wages
00:32:19et qu'il allait me payer le billet d'avion.
00:32:21Qu'est-ce qu'il a fait?
00:32:23Il a appelé l'employeur
00:32:25et il a fait son complaint.
00:32:27L'employeur, qu'est-ce qu'il a fait?
00:32:29Quand il est venu, il a informé la police.
00:32:31La police m'a dit qu'il y avait un travailleur
00:32:33qui ne se levait que de moi
00:32:35et qui travaillait ailleurs.
00:32:37Et qu'il y avait une offense.
00:32:39Si vous travaillez sans NPMI,
00:32:41vous avez jusqu'à 500.000 rupees la main et 5 ans de prison.
00:32:43C'est très sérieux.
00:32:45Donc, ce travailleur-là,
00:32:49il travaille illégalement.
00:32:51Quand il quitte
00:32:53ce travail en février,
00:32:55il ne répond même pas illégalement.
00:32:57Donc, la police me dit
00:32:59que ce travailleur-là,
00:33:01c'est pas, comment dire,
00:33:03qui vous a pris la permission
00:33:05avec son représentant syndical,
00:33:07qui n'a même pas ce statut.
00:33:09Vous n'êtes pas capable de venir et dire comme ça.
00:33:11Monsieur, mon client-là,
00:33:13je peux l'arrêter
00:33:15parce qu'il a fait une infraction.
00:33:17Il a 5 ans de prison.
00:33:19La police doit faire son travail.
00:33:21Au niveau de mon ministère,
00:33:23je peux empêcher la police
00:33:25d'arrêter quelqu'un qui a commis une offense.
00:33:27Je suis étonné
00:33:29qu'il n'y ait personne français
00:33:31qui, dans mon ministère,
00:33:33soit capable d'empêcher la police de faire son travail.
00:33:35Mais par contre,
00:33:37c'est qu'il nous dit à la police,
00:33:39il nous dit à la police
00:33:41qu'il y a une complainte
00:33:43qu'il ne peut pas travailler là.
00:33:45Nous pouvons faire l'enquête.
00:33:47Nous pouvons compléter l'enquête.
00:33:49Et pendant la durée de cette enquête-là,
00:33:51il me donne un service.
00:33:53Pas de dépôt.
00:33:55Et, éventuellement,
00:33:57s'il trouve une solution,
00:33:59il est là, capable de me donner des dépôts.
00:34:01Et même plus loin,
00:34:03quand il a une génuine caisse,
00:34:09une caisse déjà logée en cours,
00:34:11et qu'il nous connaît,
00:34:13il est capable de prendre des mois ou des années.
00:34:15Au niveau de mon ministère,
00:34:17nous pouvons entêter
00:34:19une enquête pour faire le travail
00:34:21d'une autre entreprise.
00:34:23Donc, s'il y a une lutte
00:34:25entre une autre compagnie
00:34:27qui a envie de recruter un travailleur,
00:34:29et ce travailleur-là,
00:34:31lui, il mourra parce qu'il a une décision,
00:34:33nous pouvons faciliter le transfert.
00:34:35Donc, je suis content
00:34:37qu'il me donne l'occasion de clarifier ça
00:34:39parce que c'est quand même dommage.
00:34:41Dommage qu'il me dise
00:34:43qu'il a fait une enquête,
00:34:45c'est sensationnel,
00:34:47et qu'il ne peut pas m'expliquer
00:34:49qu'un client a fait une infraction
00:34:51et qu'il a été obligé d'arrêter
00:34:53par un choix, la police a fait un choix.
00:34:55Donc, il n'est pas encore député.
00:34:57Il n'est pas encore député,
00:34:59encore il y a
00:35:01encore il y a
00:35:05ce que mon officier m'a dit,
00:35:07c'est qu'ils étaient en cours
00:35:09pour atteindre un document
00:35:11depuis l'employeur.
00:35:13Et là,
00:35:15c'est ça que j'ai envie de faire vous comprendre,
00:35:17c'est ça la différence entre nous maintenant
00:35:19et avant.
00:35:21Avant, quand un employeur
00:35:23fait une déposition, la police
00:35:25prend l'avis d'un député.
00:35:27Maintenant, on l'explique comme ça.
00:35:29Maintenant, ça nous donne sens
00:35:31à son employeur, à son travail.
00:35:33Et maintenant, on est même plus loin.
00:35:35Si on trouvait qu'il y avait vraiment
00:35:37une faute grave,
00:35:39par exemple, une violence
00:35:41sur un travailleur,
00:35:43ou bien qu'il a confisqué son passeport,
00:35:45ou bien qu'il l'a séquestré,
00:35:47ou bien qu'il a fait une affaire grave comme ça,
00:35:49nous ne pourrions pas donner
00:35:51un permis à son employeur.
00:35:53La police amène le travail étranger,
00:35:55et s'il maltrait ce travail étranger,
00:35:57pareil, aujourd'hui,
00:35:59nous pouvons permettre à un individu
00:36:01de devenir un domestic worker,
00:36:03un individu qui travaille
00:36:05à la maison.
00:36:07Mais si demain, un individu vient nous montrer
00:36:09qu'il y a une calotte avec son employeur,
00:36:11qu'il ne peut pas lui donner à manger
00:36:13une ferme, une localité,
00:36:15c'est clair
00:36:17que son employeur,
00:36:19le Blacklisted,
00:36:21s'il demande un permis, il ne peut pas le donner.
00:36:23Certainement.
00:36:25Nous passons bientôt à l'heure du budget.
00:36:27Réza Oté, multiresponsable de la commission économique
00:36:29du MMM, avec l'équipe
00:36:31que vous travaillez. Il y a un gros débat
00:36:33à la suite d'une déclaration de Paul Béranger
00:36:35de Navegram Goulam, que la situation
00:36:37est difficile, et que le budget n'est pas
00:36:39facile, mais il y a des gens
00:36:41qui disent
00:36:43qu'il n'y a pas besoin d'un budget d'austérité.
00:36:45Ceux-ci lisent
00:36:47les lignes de l'opinion. L'autre n'est pas d'accord
00:36:49avec Ali Mansour.
00:36:51Quel est le juste milieu à adopter?
00:36:53Franchement,
00:36:55je suis très étonné
00:36:57de
00:36:59les commentaires que nous recevons
00:37:01d'Ali Mansour, qui est quand même
00:37:03non seulement un économiste
00:37:05de renom, mais il a aussi
00:37:07une sécurité
00:37:09financière.
00:37:11Il nous a dit que
00:37:13c'est lui
00:37:15qui s'est adopté
00:37:17à une politique d'austérité
00:37:19quand il était secrétaire financière
00:37:21et Ramasithanen
00:37:23était ministre des Finances.
00:37:25Donc, je suis un peu
00:37:27étonné de ce qu'il veut faire.
00:37:29Je n'ai plus d'autres motifs. Je ne comprends pas
00:37:31ce qu'il fait. Mais la réalité
00:37:33reste la réalité,
00:37:35Jimmy. La réalité,
00:37:37c'est qu'aujourd'hui, il n'y a pas
00:37:39une dette qui n'arrive
00:37:41à 90% des PIB.
00:37:43Ils ne sont pas capables
00:37:45de soutenir une telle dette.
00:37:47Qu'est-ce qu'ils nous font?
00:37:49Soit nous continuons,
00:37:51nous continuons de faire nos gestes,
00:37:53et si nous continuons de faire ça,
00:37:55tu ne pourras pas repayer ta dette.
00:37:57Tu as trop de dettes.
00:37:59Là, qu'est-ce qui peut te gagner
00:38:01de revenus annuels?
00:38:0390% de dette.
00:38:05Donc,
00:38:07comment es-tu capable de repayer ta dette
00:38:09si 90% de tes revenus
00:38:11ne représentent pas
00:38:13ta dette?
00:38:17Moi, ce qui me blâme
00:38:19l'ancien gouvernement
00:38:21et l'ancien ministre des Finances,
00:38:23c'est qu'il me trouve
00:38:25dommage qu'il ne parle pas
00:38:27d'une cause du tout.
00:38:29Nous devons voter
00:38:31un bilan d'appropriation supplémentaire.
00:38:33Qui nous a voté?
00:38:35Nous avons des dépenses
00:38:37qui partent prévues
00:38:39dans le budget.
00:38:41Nous devons payer ça.
00:38:43Ça veut dire qu'il n'y a plus beaucoup de dépenses
00:38:45qu'ils prévoient dans le budget.
00:38:47Par contre, en même temps,
00:38:49les revenus que
00:38:51les ministres veulent gagner
00:38:53à travers les taxes, tout ça,
00:38:55ils ne peuvent pas les gagner.
00:38:57Donc, qu'est-ce qu'ils font?
00:38:59Nous avons le ministre des Finances,
00:39:01qui est venu au Parlement,
00:39:03qui a fait une ligne de revenus
00:39:05qui, en vérité, nous recevons,
00:39:07et il nous a dit qu'il dépense moins
00:39:09que ce qu'il a dépensé.
00:39:11Qu'est-ce qu'il fait pour nous montrer
00:39:13la différence entre les revenus et les dépenses?
00:39:15C'est ce qu'on appelle le déficit budgétaire.
00:39:17Donc, il nous a montré
00:39:19que ce déficit budgétaire est petit.
00:39:21Mais quand les chiffres sont publiés,
00:39:23nous trouvons qu'il y a moins de casse
00:39:25et qu'il y a plus de dépenses,
00:39:27ça veut dire que le déficit budgétaire
00:39:29est doublé.
00:39:31Qu'est-ce qui veut dire ça?
00:39:33Peu importe qui est père de famille,
00:39:35mère de famille ou demain nuit,
00:39:37quand les revenus sont 10
00:39:39et que les dépenses sont 15,
00:39:41qu'est-ce qu'il faut faire?
00:39:43On veut de l'argent.
00:39:45On ne peut pas se prêter.
00:39:47Donc, le gouvernement
00:39:49l'est-il connu,
00:39:51d'être public pour augmenter?
00:39:53Donc, maintenant, qu'est-ce qu'il nous fait?
00:39:55Nous continuons à dépenser, dépenser, dépenser?
00:39:57Non. Mais seulement, nous trouvons
00:39:59qu'il y a une juste balance
00:40:01en même temps.
00:40:03Beaucoup de gens qui payent,
00:40:05c'est-à-dire qu'ils coupent
00:40:07les allocations sociales.
00:40:09Je pense qu'il n'y a pas
00:40:11de dépenses
00:40:13qu'ils ne peuvent pas couper.
00:40:15Mais ça ne veut pas dire
00:40:17qu'il n'y a pas de dépenses
00:40:19ou d'allocations
00:40:21qu'ils ne peuvent pas dépenser.
00:40:23Dans le budget, nous connaissons exactement
00:40:25que nous pouvons faire des dépenses.
00:40:27Nous pouvons économiser parce qu'il n'y a plus
00:40:29de scandale Betamax.
00:40:31Il n'y a plus de dépenses Cote d'Or.
00:40:33Il n'y a plus de crash BAI.
00:40:35Tout ça, trois l'année,
00:40:37nous finissons avec 50 milliards.
00:40:39Donc, déjà,
00:40:41si vous gérez bien l'économie,
00:40:43vous pouvez faire
00:40:45une grande économie.
00:40:47Vous n'avez pas besoin d'autant dépenser.
00:40:49Pareil, si vous avez une discipline
00:40:51dans les dépenses,
00:40:53évitez le gaspillage.
00:40:55Il y a un certain
00:40:57nombre de dépenses.
00:40:59Mais en même temps,
00:41:01il ne faut pas que
00:41:03ce budget-là,
00:41:05il y ait le fait qu'il y a
00:41:07un optimisme
00:41:09dans le pays.
00:41:11Comme on l'expliquait tout à l'heure,
00:41:13quand un entrepreneur vient avec moi,
00:41:15qu'il est dans un groupe établi,
00:41:17dans un gros groupe, ou bien dans un PAB,
00:41:19c'est clair qu'il a une vision
00:41:21pour expander le business.
00:41:23Donc, quand on a une vision
00:41:25pour expander le business,
00:41:27le gouvernement doit mettre en place
00:41:29toutes les mesures nécessaires
00:41:31pour encourager l'investissement,
00:41:33le développement économique.
00:41:35C'est pourquoi le budget,
00:41:37bien sûr, nous a causé la vérité.
00:41:39Nous ne pouvons pas continuer
00:41:41à donner, donner, donner,
00:41:43mais en même temps, il faut un budget
00:41:45qui peut aussi relancer l'économie.
00:41:47Il faut des affaires bien équilibrées
00:41:49et il ne faut pas
00:41:51des consultations régulières
00:41:53pour les juniors ministères
00:41:55avec tous les opérateurs du secteur.
00:41:57Au niveau de nos ministères,
00:41:59chaque ministère fait des propositions concrètes.
00:42:01On a encore une semaine.
00:42:03Donc, je me rappelle,
00:42:05je ne t'ai pas téléphoné,
00:42:07nous proposons des questions à Résa et Sachs
00:42:09sur le 213, 77, 77.
00:42:11À Résa et Sachs.
00:42:13J'ai en mémoire mon ami Résa et Sachs
00:42:15qui, sans doute, nous manque beaucoup.
00:42:17Résa et Sachs, bien sûr,
00:42:1977, 77, 213,
00:42:2177, 77, le
00:42:23Neil Chagos, Neil Dunn,
00:42:25Résa Youtim, le MMM
00:42:27à l'envolant de ce combat-là,
00:42:29comme beaucoup d'autres, les frères Michel, Lalit, etc.
00:42:31Sanero Diagnat,
00:42:33etc.
00:42:35Et aussi l'affaire
00:42:37entrée devant le tribunal
00:42:39de la mer, pour l'inviter à Angoulême.
00:42:41Et également, la contribution de
00:42:43Pravin Diagnat.
00:42:45Il y a beaucoup d'attentes
00:42:47de la communauté chagossienne
00:42:49qui se l'avait mis à valeur du jour
00:42:51en tant que membre du gouvernement
00:42:53de l'Alliance du changement qui, pour qu'à part,
00:42:55promet d'autres, par rapport aux fonds qu'il peut gagner
00:42:57pour améliorer d'autres la vie.
00:42:59Mais tout d'abord, moi, mon conseil, nous vous en remercions
00:43:01tous ceux qui ont cité là.
00:43:03Le combat de
00:43:05les Chagossiens eux-mêmes a commencé
00:43:07à le combat qu'ils ont
00:43:09amené depuis qu'ils déracinaient
00:43:11d'autres depuis l'île.
00:43:13Mais aussi, il ne faudrait pas
00:43:15oublier le rôle déterminant
00:43:17de Paul Béranger et du MMM dans les années 70.
00:43:19Et après, tout gouvernement,
00:43:21tout gouvernement qui est venu
00:43:23à chaque occasion qu'il a gagné
00:43:25devant les Nations Unies, devant
00:43:27l'Union africaine, nous demandons,
00:43:29nous revendiquons le retour
00:43:31des Chagoss à l'île Maurice.
00:43:33Et là, mon conseil,
00:43:35il y a une attention particulière,
00:43:37une reconnaissance particulière
00:43:39à tous les membres
00:43:41de l'Union africaine
00:43:43qui viennent soutenir
00:43:45nos démotions
00:43:47aux Nations Unies,
00:43:49qui votent pour nous, pour le retour
00:43:51des Chagoss, alors qu'il y a
00:43:53un soi-disant pays armé
00:43:55qui n'a pas voté contre,
00:43:57qui n'a pas abstenu.
00:43:59Mais les pays de l'Union africaine
00:44:01nous battent
00:44:03malgré ce que je connais,
00:44:05qui nous perdent la guerre, pas seulement contre l'Angleterre,
00:44:07mais aussi contre les Etats-Unis,
00:44:0915 pays soutenus.
00:44:11Il y a une grande puissance aussi
00:44:13qui donne un gros coup de main, la Russie,
00:44:15l'Inde, la Chine.
00:44:17La Russie, l'Inde, la Chine
00:44:19qui est très reconnaissante
00:44:21de ce soutien, mais pas la France.
00:44:23Pas la France de Brésil, oui.
00:44:25C'est pas la France, malheureusement.
00:44:27Donc, aujourd'hui,
00:44:29it's done. Mon satisfaction
00:44:31personnelle, c'est que nous avons
00:44:33une souveraineté sur Diego Garcia,
00:44:35alors qu'il a dit qu'il ne s'y fait pas
00:44:37pour les Chagoss,
00:44:39mais nous souhaitons
00:44:41donner la souveraineté à Diego Garcia
00:44:43en Angleterre. Donc ça,
00:44:45nous souverains.
00:44:47Bon, il y a une
00:44:49compensation qu'il peut gagner
00:44:51et en partie de sa compensation,
00:44:53il y a un trust fund
00:44:55qu'il peut mettre spécialement
00:44:57pour les Chagossiens.
00:44:59Et comme le DPM
00:45:01l'a annoncé dans la conférence de presse,
00:45:03dans le cabinet, il a décidé
00:45:05qu'il pouvait mettre sur pied
00:45:07un comité.
00:45:09Nous avons un projet
00:45:11de développement qu'il peut faire
00:45:13dans Chagoss, parce que Chagoss,
00:45:15il y a les îles,
00:45:17il y a aussi tout le côté
00:45:19sur les zones économiques
00:45:21et maritimes
00:45:23qu'il est capable d'exploiter
00:45:25en termes de la pêche,
00:45:27ou bien il peut même
00:45:29décider de faire un port marin.
00:45:31Il y a ce côté touristique
00:45:33aussi qu'il est capable
00:45:35de développer.
00:45:37Laisse ce comité-là travailler
00:45:39et trouver ce qu'il ne peut pas faire.
00:45:41Et bien sûr,
00:45:43il n'est pas pour oublier
00:45:45nos membres frères chagossiens
00:45:47et qu'il y a certainement
00:45:49un port de gâteau.
00:45:51Est-ce qu'il y a Vidula
00:45:53qui a une question pour vous?
00:45:55Vidula, bonsoir.
00:45:57Bonsoir monsieur.
00:45:59Bonsoir la ministre.
00:46:01Bonsoir Vidula.
00:46:03J'ai une petite question
00:46:05avec le monsieur le ministre.
00:46:07Il y a un bon fonctionnaire
00:46:09et ils n'ont pas
00:46:11vérifié sa quantité-là.
00:46:13Comme ça,
00:46:15vous n'avez pas
00:46:17vérifié la quantité?
00:46:19Non, mais le ministre
00:46:21n'a pas vérifié.
00:46:23Ah oui, il n'a pas vérifié.
00:46:25Non, ça, je n'ai pas vérifié.
00:46:27D'accord.
00:46:29Mais seulement le gouvernement
00:46:31a vérifié la quantité
00:46:33de dépenses personnelles
00:46:35que le gouvernement fait.
00:46:37Comment est-ce que vous êtes
00:46:39capables de travailler
00:46:41et d'obtenir une pension?
00:46:43Merci beaucoup.
00:46:45Premièrement, laissez-moi
00:46:47bien ressortir qu'il n'y a pas
00:46:49beaucoup de fonctionnaires
00:46:51et au contraire,
00:46:53quand on commence
00:46:55l'intervention,
00:46:57nous sommes bien satisfaits
00:46:59de l'équipe qu'on a
00:47:01et aujourd'hui même,
00:47:03on a fait un staff meeting
00:47:05et on trouve tout le monde
00:47:07bien motivé, que ce soit
00:47:09dans le département de l'emploi
00:47:11avec la recrutement
00:47:13de travailleurs étrangers
00:47:15ou dans les officeurs
00:47:17qui, tous les jours,
00:47:19enregistrent leurs complaintes
00:47:21et font de leur mieux
00:47:23pour trouver une solution
00:47:25à l'amiable avec le patron
00:47:27et réemployer eux,
00:47:29c'est par rapport à réessayer eux,
00:47:31au moins ils gagnent ce qu'ils ont mérité
00:47:33en termes de compensation.
00:47:35Laissez-moi rassurer cette madame-là aussi
00:47:37qui à aucun moment
00:47:39ne nous dit qu'elle ne paie pas
00:47:41toutes ses pensions,
00:47:43elle ne nous dit qu'elle prend
00:47:45un budget difficile
00:47:47parce qu'il y a
00:47:49l'ancien régime
00:47:51qui fait croire à la population
00:47:53qui, tout facile dans la vie,
00:47:55reste à la maison
00:47:57ou ne travaille pas, le gouvernement
00:47:59ne peut pas nous payer.
00:48:01C'est fini à cette époque-là,
00:48:03parce que le gouvernement
00:48:05ne paye pas tout ce qu'il nous donne,
00:48:07même ce qu'il reprend après
00:48:09ou parfois plus qu'un supermarché
00:48:11en termes d'augmentation du prix.
00:48:13Donc nous, nous prenons la politique
00:48:15de causement, de nous
00:48:17indiquer qu'on ne paye pas
00:48:19et après reprendre en termes
00:48:21de l'inflation et d'augmentation du prix.
00:48:23Nous avons la population.
00:48:25Moi je suis content
00:48:27que quand je rentre
00:48:29dans le gouvernement, la caisse pleine
00:48:31est distribuée.
00:48:33Mais ce n'est pas comme ça.
00:48:35Et s'ils nous disent
00:48:37demain qu'il y a un downgrade,
00:48:39ce n'est pas une catastrophe.
00:48:41Ce qu'un downgrade veut dire,
00:48:43c'est qu'une
00:48:45organisation internationale
00:48:47peut dire
00:48:49que Maurice a un junk status.
00:48:51Ça veut dire qu'il ne peut pas
00:48:53rembourser ses dettes.
00:48:55Le fait qu'il puisse toujours
00:48:57rembourser ses dettes, il n'y a rien à faire.
00:48:59Là, il y a 50
00:49:01dettes qui sont là,
00:49:03et il y a des revenus qu'il peut gagner.
00:49:05Par exemple, pour l'instant, il y a environ
00:49:07200 milliards d'euros,
00:49:09ou 600 milliards,
00:49:11trois fois plus
00:49:13que ce qu'il a payé.
00:49:15Je pense qu'il ne peut pas
00:49:17rembourser et donc le downgrade
00:49:19est comme un pays
00:49:21qui n'est pas capable de rembourser ses dettes.
00:49:23Comment peut-on dire ça?
00:49:25Automatiquement, il y a une difficulté pour Maurice
00:49:27de gagner ses dettes.
00:49:29Mais il est Maurice comme un pays.
00:49:31C'est-à-dire qu'avec une relation bilatérale,
00:49:33il est capable de s'y tracer, de gagner ses dettes.
00:49:35Mais nous, la banque,
00:49:37personne ne peut prêter des dettes à la banque.
00:49:39Donc, quand la banque
00:49:41ne veut pas gagner ses dettes, comment peut-elle
00:49:43prêter ses dettes à Maurice?
00:49:45Donc, il y a un cycle économique infernal
00:49:47qui nous rend dans la récession
00:49:49et l'économie toute jeune
00:49:51qui a des problèmes,
00:49:53des travails, etc.
00:49:55Donc, à cause de ça, et ça aussi,
00:49:57M. Ali Mansour, qui travaille dans la Banque mondiale,
00:49:59est fermé.
00:50:01Il n'est pas capable
00:50:03de nous dire
00:50:05la conséquence
00:50:07du downgrade
00:50:09de Maurice.
00:50:11Il n'est pas catastrophique.
00:50:13Voilà, nous marquons une pause pub.
00:50:15J'appelle l'audiocentre à 77.
00:50:45Application Top FM Radio
00:50:47sur App Store, Play Store
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00:51:37Détoxer, maintenant facile.
00:51:39Mangez et mangez.
00:51:41Sans doute, ils disent
00:51:43que c'est l'heure.
00:52:13Réseau Team avec nous en studio pour le pour l'émission Parlement les Pibs,
00:52:35213, 77, 77, 213, 77 à 77.
00:52:39Il y a Manoj qui a une question.
00:52:41Oui, bon après-midi, Jimmy.
00:52:43Bon après-midi.
00:52:44Bon après-midi, Reza.
00:52:45Bon après-midi, Manoj.
00:52:47Oui, moi, Manoj, je suis de l'espérance trébucher.
00:52:49Moi, ma question,
00:52:51ou bien, donne-moi ma réponse.
00:52:53Mais, tous ces Mauriciens
00:52:55qui sont nés dans notre pays,
00:52:57nous, nous vivons avec nos familles
00:52:59et c'est surtout notre pays, l'île Maurice
00:53:01qui nous vit et nous pouvons mourir là-même.
00:53:03Mais, qu'est-ce qui fait, nous,
00:53:05nous pas garder priorité
00:53:07nos bonnes gènes, grands-sens,
00:53:09nos bons métiers, qui peuvent travailler
00:53:11et ne pas nous emmener à Bangladesh,
00:53:13dans ce pays-là.
00:53:15Et, comme il est illégal dans ce pays-là,
00:53:17les autres pays sont des gens qui ne peuvent pas nous emmener
00:53:19et les autres affaires encore.
00:53:21Ces pays chinois sont des gens qui ne peuvent pas nous emmener
00:53:23et en Bangladeshi, même,
00:53:25qui sont dans notre pays,
00:53:27ils ont le même pays,
00:53:29ils peuvent manger, ils peuvent dormir.
00:53:31Et, nous, Mauriciens, dans 12 000 pays,
00:53:33dans 8 000 pays, encore,
00:53:35ils peuvent travailler sur la vie
00:53:37et ils peuvent manger.
00:53:39Un petit champignon, les dés sont repris.
00:53:41Mais, dans ce pays-là,
00:53:43vous pouvez dire, moi, je n'ai pas envie de travailler,
00:53:45je n'ai pas besoin de travail.
00:53:47Ce n'est pas vrai, c'est faux.
00:53:49Et la cause, c'est que moi,
00:53:51j'ai beaucoup de travail à faire.
00:53:53J'ai besoin de travail,
00:53:55mais je n'ai pas besoin de travail.
00:53:57Je ne comprends pas ce que vous pouvez dire.
00:53:59Une réaction?
00:54:01Oui, non, Manoj a tout à fait raison
00:54:03quand il dit
00:54:05qu'il nous faut une priorité
00:54:07pour les Mauriciens.
00:54:09Et c'est ça que mon ministère a fait,
00:54:11avant qu'ils ne nous permettent, les gens,
00:54:13à venir travailler à l'étranger,
00:54:15les Libéraux,
00:54:17une priorité pour les Mauriciens.
00:54:19Mais, Manoj, est-ce que
00:54:21les gens qui disposent
00:54:23du travail de boulangerie,
00:54:25de cuit-de-pain, des heures du matin,
00:54:27trois heures du matin,
00:54:29est-ce que les gens qui sont intéressés
00:54:31travaillent sauf à l'abysse
00:54:33ou rentrent dans la garage
00:54:35quatre heures du matin?
00:54:37Est-ce qu'il y a des gens
00:54:39qui disposent tous les semaines
00:54:41du travail dimanche
00:54:43et le soir dans un restaurant?
00:54:45S'il y en a,
00:54:47envoie-nous ce numéro,
00:54:49car tous ces gens disent
00:54:51qu'ils préfèrent travailler
00:54:53à l'étranger.
00:54:55Ils préfèrent travailler à l'étranger
00:54:57car quand les touristes
00:54:59viennent, ils sont intéressés
00:55:01par l'hospitalité mauricienne.
00:55:03S'ils veulent aller au Népal,
00:55:05ils peuvent y aller quatre mois.
00:55:07Donc, tous ces gens
00:55:09disent ça.
00:55:11Mais, c'est une réalité.
00:55:13Je suis capable de dire
00:55:15mon expérience vécue.
00:55:17J'ai un chauffeur
00:55:19qui travaille
00:55:21pendant dix ans,
00:55:23puis il retire.
00:55:25Il m'emmène à l'école
00:55:27et je demande
00:55:29à mon chauffeur
00:55:31et à ma dame
00:55:33car c'était une dame
00:55:35qui était chauffeur avant.
00:55:37Je demande à mon ministère
00:55:39d'envoyer la liste des gens
00:55:41qui sont intéressés par le travail
00:55:43et les enregistrer.
00:55:45Ma dame téléphone
00:55:47à ces gens-là,
00:55:49mais il n'y a pas un seul
00:55:51chauffeur qui est disposé
00:55:53à faire le travail
00:55:55pour les enfants à l'école.
00:55:57Il n'y a pas de personnel
00:55:59pour les enfants à l'école,
00:56:01ni pour les grands-martins.
00:56:03Donc, je vis ça.
00:56:05Au final, j'ai réussi
00:56:07à gagner un chauffeur pour le travail.
00:56:09Mais, je vous dis que ce n'est pas
00:56:11évident pour gagner.
00:56:13Quand je gagne un chauffeur,
00:56:15qui peut me dire
00:56:17qu'il est un domestique.
00:56:19C'est inacceptable.
00:56:21Il n'y a pas besoin
00:56:23d'une formation pour nettoyer la maison
00:56:25pour laver,
00:56:27dresser.
00:56:29Mais, aujourd'hui,
00:56:31le nombre de personnes
00:56:33qui écrivent à mon ministère
00:56:35et qui disent qu'il n'y a pas besoin
00:56:37d'un chauffeur étranger
00:56:39pour faire le travail.
00:56:41C'est une réalité.
00:56:43Je suis content qu'il n'y ait pas comme ça.
00:56:45Mais, malheureusement, c'est la réalité.
00:56:47Après, il y a beaucoup de secteurs
00:56:49qui, aujourd'hui,
00:56:51avec la population vieillissante,
00:56:53de plus en plus,
00:56:55pour les grands-parents,
00:56:57les pères et les mères
00:56:59qui ont un certain âge,
00:57:01ils ont besoin d'un chauffeur
00:57:03pour les autres, pour les autres médecines,
00:57:05pour les autres piquets.
00:57:07Ils ont besoin d'un chauffeur.
00:57:09Mais, à Maurice,
00:57:11c'est très difficile parce qu'ils ont besoin
00:57:13d'un chauffeur 24-7. Ils ont besoin d'un chauffeur
00:57:15grammataire et tantôt.
00:57:17Donc, même s'il y a un Mauricien,
00:57:19il peut faire un chiffre système,
00:57:21il a besoin d'un chauffeur grammataire.
00:57:23Il a besoin d'un deuxième.
00:57:25Donc, finalement, il est assez économiquement
00:57:27contraignant pour un dimanche.
00:57:29Il faut des caractéristiques
00:57:31pour faire ce grand dimanche.
00:57:33Très difficile, bien sûr.
00:57:35Raj qui est avec nous pour une question
00:57:37à résoudre. Raj, bonsoir.
00:57:39Bonsoir à tous.
00:57:41C'est bonsoir le ministre.
00:57:43Et bonsoir Daniel Maurice.
00:57:45Moi, je vous pose une question.
00:57:47Le ministre, nous travaillons d'un compagnon
00:57:49Ah, c'est bien.
00:57:51Oui, allez-y.
00:57:53Les compagnons,
00:57:55nous avons eu un flou depuis le 15 mai.
00:57:57Et la compagnie
00:57:59nous travaillons
00:58:01une fois par semaine.
00:58:03Nous ne savons pas si nous voulons
00:58:05le paiement.
00:58:07Des gens viennent nous porter du travail.
00:58:09Et plus que ça, nous ne savons pas.
00:58:11La compagnie nous laisse manger
00:58:13dans nos labos à cause de notre
00:58:15personnalité.
00:58:17C'est comme un ministre du travail
00:58:19que nous pensons
00:58:21vraiment malheureux pour faire quelque chose.
00:58:23Sauf la compagnie,
00:58:25sauf l'administration,
00:58:27nous ne savons pas comment
00:58:29nous vivons notre vie.
00:58:31Parce que comme personne,
00:58:33nous soignons nos familles,
00:58:35nos enfants, nos familles malades,
00:58:37nos enfants morts.
00:58:39Dans notre meeting,
00:58:41dans notre compagnie,
00:58:43nous espérons, nous faisons des efforts,
00:58:45nous avons une parole,
00:58:47nous avons une volonté mondiale,
00:58:49nous sommes capables de faire ça.
00:58:51Et c'est la réponse que nous voulons
00:58:53donner.
00:58:55C'est le cas de son équipe.
00:58:57C'est le cas de son équipe.
00:58:59Le cas de sa compagnie,
00:59:01je le connais très bien.
00:59:03Parce qu'en début d'année,
00:59:05le cabinet a mis sur pied
00:59:07un comité interministériel
00:59:09qui a été présidé par
00:59:11mon collègue Adila Miamia
00:59:13monsieur Damri,
00:59:15du ministère. Nous avons fait
00:59:17plusieurs sessions de travail
00:59:19avec le management
00:59:21de sa compagnie là.
00:59:23La compagnie
00:59:25doit
00:59:27MIC,
00:59:29Mobank, MOE,
00:59:31là-haut, un milliard de roupies.
00:59:33Là-haut, un milliard de roupies.
00:59:35C'est une demande que
00:59:37MIC a donné
00:59:39en courant.
00:59:41Pour les pays au quatorzième mois,
00:59:43Mobank a donné
00:59:4550 millions.
00:59:47C'est ce qu'on a pu
00:59:49travailler au quatorzième mois.
00:59:51Malgré ça,
00:59:53ils ont mis
00:59:55plus de 400 employés
00:59:57en haut.
00:59:59Et ces employés qui sont là-haut,
01:00:01qui sont là-haut,
01:00:03peuvent déterminer
01:00:05combien ça coûte
01:00:07pour les pays en termes de compensation.
01:00:09Nous avons fait
01:00:11une session de travail avec le directeur
01:00:13et je lui ai dit
01:00:15qu'ils pouvaient faire
01:00:17ce travail, qu'ils prenaient
01:00:19le temps qu'ils voulaient, qu'ils faisaient comme ils devaient.
01:00:21Mais là, entre-temps,
01:00:23ils ont travaillé là,
01:00:25ils ont travaillé.
01:00:27Avec cette assurance,
01:00:29ils ont produit des tricots
01:00:31qu'ils ont vendus, qu'ils ont cassés.
01:00:33Les pays ont cassé ce qu'ils devaient.
01:00:35Ce n'est pas parce qu'il y a
01:00:37une indemnité de licenciement, mais au moins
01:00:39un salaire.
01:00:41Payez votre salaire, payez votre localité,
01:00:43payez ce que vous devez.
01:00:45Non.
01:00:47Pas payé.
01:00:49Il y a eu une réunion, c'est payé.
01:00:51La dernière fois, il y a eu deux semaines,
01:00:53trois semaines,
01:00:57le directeur m'a dit
01:00:59« D'après Campanisac,
01:01:01en section 162 de mémoire,
01:01:03un directeur,
01:01:05s'il connaît qu'il, sous l'entreprise,
01:01:07n'est pas capable
01:01:09de rembourser une dette.
01:01:11Et dans le cas de sa compagnie,
01:01:13je le connais, il n'est pas capable de rembourser une dette.
01:01:15Mais il y a une obligation légale
01:01:17pour mettre sa compagnie là
01:01:19dans l'administration
01:01:21ou dans la liquidation.
01:01:23Il doit mettre un administrateur
01:01:25ou un liquidateur.
01:01:27Est-ce qu'il a fallu? Non.
01:01:29Pourtant, le directeur mauricien,
01:01:31c'est un directeur mauricien même qui m'a dit ça.
01:01:33J'ai continué à rouler.
01:01:35À ce moment-là, ils m'ont contacté.
01:01:37Ils m'ont dit qu'une compagnie
01:01:39n'allait pas rembourser.
01:01:41Les travailleurs qui mettent de l'argent,
01:01:43tant bien que mal,
01:01:45ne sont pas capables de rembourser
01:01:47leur programme de travail.
01:01:49Ils ne sont pas capables de redéployer.
01:01:51Ils ne redéployent pas.
01:01:53Mais il y a encore environ 400 travailleurs
01:01:55qui travaillent là.
01:01:57Quand il y a une coupe courante,
01:01:59le CAB
01:02:01n'est pas d'accord
01:02:03et ne remet pas de courant
01:02:05devant d'autres.
01:02:07Mais la compagnie,
01:02:09elle a pris une décision.
01:02:11Qu'est-ce qu'elle pouvait faire?
01:02:13Moi, j'ai dit à la compagnie
01:02:15d'injecter de l'argent dans cette compagnie-là.
01:02:17J'ai dit à l'actionnaire,
01:02:19l'actionnaire sud-africain.
01:02:21J'ai dit à lui d'injecter de l'argent.
01:02:23Et j'ai dit à lui, si vous payez l'argent,
01:02:25redonne à l'investisseur
01:02:27une stratégie
01:02:29pour mettre à bord.
01:02:31Et si vous n'êtes pas capable,
01:02:33mettez un administrateur
01:02:35pour voir
01:02:37s'il y a une commande
01:02:39qui est capable de rouler.
01:02:41Mais vous ne pouvez pas jouer avec
01:02:43la vie d'un travailleur comme ça.
01:02:45Donc là, depuis
01:02:47qu'il arrive
01:02:49une coupe de courant,
01:02:51il n'y a aucune
01:02:53communication depuis
01:02:55le début.
01:02:57Donc à un moment donné,
01:02:59nous vous inquiétons.
01:03:01Si la compagnie n'est pas capable,
01:03:03nous vous inquiétons.
01:03:05Qui est-ce qui peut faire?
01:03:07Qui aimerait faire?
01:03:09Qui aimerait faire?
01:03:11Surich, point de question.
01:03:13Surich, bonsoir.
01:03:15Je m'appelle Tim.
01:03:17Je suis le président de la Fédération
01:03:19de la Culture.
01:03:21J'ai des questions pour vous.
01:03:23Je vous connais en 2020.
01:03:25Après la COVID,
01:03:27je me suis livré
01:03:29pour un employé qui se trouve
01:03:31sous le POB.
01:03:33Il y a des gens qui ont 5 ans
01:03:35qui travaillent, d'autres 10, 15,
01:03:3720 ans.
01:03:39Mais le rapport du POB
01:03:41montre qu'à l'âge de retraite,
01:03:43ils ont gagné
01:03:45la valeur qui existait en 2020.
01:03:47Est-ce que
01:03:49c'est injuste?
01:03:51Est-ce qu'il faut faire un petit mouve
01:03:53pour réaliser ça?
01:03:55Dans l'âge
01:03:57de retraite,
01:03:59ça a l'air qu'ils se sont touchés.
01:04:01C'est-à-dire que le POB
01:04:03va-t-il nous aider?
01:04:05Deuxième question.
01:04:07Quand il y a une élection,
01:04:09les deux grands blocs
01:04:11promettent que le POB
01:04:13prend un effet en 2025.
01:04:15Ils communiquent
01:04:17qu'il prend un effet en 2026.
01:04:19Étant donné qu'il y a un ministre du Travail
01:04:21qui présente
01:04:23à ses leaders
01:04:25ce qu'ils veulent que vous payiez.
01:04:27Aujourd'hui, est-ce qu'il faut défendre
01:04:29les travailleurs pour dire qu'ils savent
01:04:31qu'ils ont payé en 2025, mais pas en 2026?
01:04:33Là, on me donne une réponse
01:04:35qui prend
01:04:3750 milliards
01:04:39pour coûter moins
01:04:41parce qu'il ne prend pas
01:04:43un Betamax,
01:04:45un BAI, etc.
01:04:47Est-ce que le garant
01:04:49devra travailler pour le POB?
01:04:51Il me coûte 80.000 employés.
01:04:53D'accord.
01:04:55Merci,
01:04:57Suresh.
01:04:59Je comprends tout à fait
01:05:01vos positions,
01:05:03que ce soit le refund cyclique
01:05:05qui vous est ajusté
01:05:07et
01:05:09est-ce qu'il n'y aura pas un POB
01:05:11pour publier et pour prendre un effet?
01:05:13Malheureusement,
01:05:15en tant que ministre
01:05:17du Travail,
01:05:19je n'ai pas
01:05:21aucun droit de rigueur
01:05:23pour les fonctionnaires.
01:05:25C'est pareil pour
01:05:27les employés
01:05:29des ministres de l'Intérieur
01:05:31qui sont dirigés par
01:05:33le gouvernement LGSE.
01:05:35C'est pareil
01:05:37pour les fonctionnaires
01:05:39qui sont nommés par la PSC
01:05:41par la Loi claire sur les droits des travailleurs.
01:05:43Je n'ai pas un droit
01:05:45d'intervenir
01:05:47dans les conditions de travail.
01:05:49Pour cela, il y a un POB.
01:05:51POB qui est
01:05:53un organisme
01:05:55indépendant
01:05:57qui n'est pas capable
01:05:59de dire qu'il peut donner son rapport
01:06:01en janvier 2025.
01:06:03Il nous laisse le POB
01:06:05quand le POB est prêt
01:06:07pour faire ses recommandations.
01:06:09Bien sûr, le POB
01:06:11décide
01:06:13quand il n'y a pas de représentation.
01:06:15Il décide
01:06:17s'il peut réajuster
01:06:19ce valeur
01:06:21avec l'inflation.
01:06:23Le POB fait aussi
01:06:25ses recommandations
01:06:27quand le réajustement salarial
01:06:29prend effet.
01:06:31On a une publication
01:06:33pour le POB.
01:06:35Après, on prend une décision.
01:06:37D'accord.
01:06:39J'ai un appel.
01:06:41Oui, bonsoir.
01:06:43Oui.
01:06:45Oui.
01:06:47Bonsoir.
01:06:49Oui.
01:06:51Oui.
01:06:53Oui.
01:06:55Oui.
01:06:57Oui.
01:06:59Oui.
01:07:01Oui.
01:07:03Oui.
01:07:05OK.
01:07:07Tout d'abord,
01:07:09si nos camarades
01:07:11touchent moins de
01:07:1350 000 roubis par mois
01:07:15et donc il y a un
01:07:17« worker », dans la définition « travailler ».
01:07:19L'employé
01:07:21a une obligation légale
01:07:23de lui donner un
01:07:25montant comme allocation
01:07:27de transport
01:07:29équivalent à un
01:07:31aller-retour
01:07:33depuis ce place-travail jusqu'à ce lieu de résidence, aller-retour pour vice.
01:07:41S'il n'y a pas ça, il faut faire un complaint au bureau de travail qui est plus près avec ce lieu que le travail.
01:07:49Et là, il y a des officiers qui font le nécessaire pour s'assurer qu'il n'y ait pas ce remboursement.
01:07:58Un aspect politique. D'abord, la pétition électorale du candidat battu à Papua-Pénix.
01:08:05Beaucoup de monde dit que c'est Fauzi Alimane, le junior ministre, qui donne d'accord avec la loi pour le tirage au sceau.
01:08:12Et c'est Fauzi Alimane qui tient le nom du candidat du Reforme-Parti. Pourquoi aujourd'hui la pétition électorale?
01:08:20Je ne crois pas qu'il y ait un choix entre Fauzi Alimane et lui.
01:08:24Ce que l'on ne pourra comprendre, c'est qu'il y a des candidats exécutifs.
01:08:30Donc, le peuple, les citadins peuvent choisir l'un au défunt de l'autre.
01:08:42Donc, l'un des deux candidats, le candidat du MMM, dit qu'il y a une récompense.
01:08:52Il y a une récompense.
01:08:54Et l'officier de retour tient le pouvoir, sous la loi, de donner une récompense.
01:09:01Et franchement, si j'étais l'officier de retour, je donnerais une récompense.
01:09:06Parce qu'au moins, il y a là, il n'y a pas besoin de faire un tirage au sceau.
01:09:10Les pays, c'est comme si vous aviez une art de football, une dro, un n, une tire-pénalty, pareil.
01:09:15Mais vous prenez le coup pour faire un tirage au sceau, ou faire tous.
01:09:18Normal, ce qu'il peut dire, c'est qu'il y a un sentiment d'injustice.
01:09:22Donc, il pense qu'il mérite d'être conseillé.
01:09:26Et il peut servir son droit pour aller demander à la cour une révision de sa décision pour ne pas donner une récompense.
01:09:35Donc, moi, je pensais qu'il avait tous les raisons, toute la légitimité, pour rendre sa pétition là.
01:09:46Mais je me trouvais un peu dommage que l'officier de retour n'ait pas utilisé ce discretion pour permettre une récompense.
01:09:58Il y a Prakash qui est avec nous au téléphone. Prakash, bonsoir.
01:10:02Allo, bonsoir monsieur, bonsoir Mr. Houtim, bonsoir Jimmy, bonsoir tout le monde, fidèles auditeurs.
01:10:07Moi, j'ai une petite question pour Mr. Houtim.
01:10:10Me semble-t-il que depuis les élections de novembre 2024 à ce jour, la caisse vide en Vienne, la Bible, c'est comme si la sainte écriture à la Bible du présent gouvernement.
01:10:23Une des choses que je comprends, plusieurs grandes organisations comme FMI, MCB, Statistique Mauritieuse, nous disent que cela produit un rapport pour dire que la croissance mauritienne fait environ 5,5%.
01:10:40Andy Moon, comment le gouvernement a-t-il eu le pouvoir, comment dit Andy Moon, fait un rapport, il y a quelques jours, les Vigniers lui présentent un rapport, il dit comme ça, voilà, la croissance finit vers 3,9%, finit gonflé les figures.
01:10:53Moi, j'ai envie comme ça avec Mr. Houtim.
01:10:55I want an answer, I want the answer, I don't want an answer.
01:10:59Répondez-moi à la question, parce que personne ne croit à cette histoire de la caisse vide qui paye de l'argent, paye de rien, paye de ceci, paye de cela.
01:11:07Dites-nous la vérité, please. Merci.
01:11:11Absolument, pour l'instant, je ne crois pas qu'on écoute tout le débat.
01:11:17Sinon, il faut rappeler que nous avons bien expliqué ce qui fait dans la situation qui nous était.
01:11:23Nous prenons une affaire qui est très vérifiable, très facilement vérifiable, à l'aide d'un chiffre du budget.
01:11:31Budget de l'année dernière, où était quelle quantité de dépenses le gouvernement indien pouvait faire et quelle quantité de revenus il pouvait gagner.
01:11:41Et à l'aide d'un chiffre statistique mauricien aujourd'hui, à l'aide d'un chiffre de la banque de Maurice qu'il a publié aujourd'hui, qui fait une cause quantité de casse qui est rentrée, quantité de casse qui est sortie.
01:11:54Vous trouvez que le gouvernement dépense beaucoup plus de ce qu'il prévoit et récolte beaucoup moins de ce qu'il prévoit.
01:12:03Donc, forcément, vous faites un budget, vous décidez où vous travaillez, vous gagnez une certaine somme d'argent.
01:12:11Tous les mois, vous gagnez une certaine ration.
01:12:14Avec toutes les dépenses, allons dire, vous pouvez gagner 20.000 roupies.
01:12:18Avec toutes les dépenses, il arrive à 18.000 roupies.
01:12:21Vous êtes content, vous gagnez 2.000 roupies savings.
01:12:24Mais, écoutez, vous pouvez vous déprécier.
01:12:27Tous les mois, vous augmentez.
01:12:29Le salaire peut être faux.
01:12:32Vous avez besoin d'un ventilateur.
01:12:34Le prix d'électricité peut augmenter.
01:12:36Vous avez besoin d'une voiture.
01:12:38Il n'y a plus 18.000 roupies de dépense.
01:12:40Il arrive à 22.000 roupies.
01:12:42Mais, qu'est-ce que vous faites ?
01:12:44Vous comptez causement.
01:12:45Si vous dites comme ça, non, vous dépensez 18.000.
01:12:48Mais, vous devez dire la vérité.
01:12:51Moi, j'ai 20.000 roupies.
01:12:52Mes dépenses arrivent à 22.000 roupies.
01:12:54Comment je peux faire plus que ça ?
01:12:56Je prends un prêté.
01:12:58L'étant 2014,
01:13:00je me rappelle M. Bracasse.
01:13:02L'étant 2014, MSM rentre au pouvoir.
01:13:05Nos dettes publiques sont de 250 millions roupies.
01:13:09250 milliards roupies.
01:13:11Vous avez raison.
01:13:12Cela représente un petit peu moins de 60% du PIB.
01:13:17Aujourd'hui, il arrive à presque 600 milliards roupies.
01:13:22Et, il n'y a pas 60%.
01:13:24Il arrive à 90% du PIB.
01:13:27Nous sommes contents.
01:13:29Nous sommes capables de prendre plus qu'à se prêter
01:13:31et distribuer.
01:13:32Mais, nous ne pouvons pas.
01:13:33Cela veut dire non seulement la caisse vide,
01:13:36c'est-à-dire que nous dépensons plus beaucoup
01:13:40mais nous ne pouvons pas se prêter.
01:13:42C'est ça le drame.
01:13:44Le crime.
01:13:46Le crime de Pravin Jagnac et Ranganathan Padayatchi.
01:13:51Non seulement, je ne quitte la caisse vide,
01:13:53mais je n'en pèse rien.
01:13:55Je n'ai rien.
01:13:57Nous ne pouvons pas prendre qu'à se prêter.
01:13:58C'est ce qu'il faut faire.
01:14:00Il y a Chris qui est avec nous.
01:14:01Chris.
01:14:02Rapidement, Chris.
01:14:03Oui, bonsoir.
01:14:04Oui, bonsoir, Timmy.
01:14:05Bonsoir, messieurs.
01:14:07Monsieur le ministre,
01:14:09vous pouvez dire que vous réglez mon travail.
01:14:12Si vous avez des promotions, tout ça,
01:14:14vous trouvez qu'il n'y a pas de mérite.
01:14:16Si vous faites des services plus longs,
01:14:18le mérite n'est pas gagné.
01:14:20Est-ce que vous connaissez la loi
01:14:22avec toutes les ministres qui ont la même loi
01:14:24que vous?
01:14:25Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:27Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:29Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:31Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:33Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:35Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:37Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:39Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:41Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:43Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:45Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:47Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:49Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:51Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:53Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:55Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:57Est-ce que vous avez des mérites?
01:14:59Est-ce que vous avez des mérites?
01:15:01Est-ce que vous avez des mérites?
01:15:03Est-ce que vous avez des mérites?
01:15:05Merci!
01:15:33même plusieurs fois, on me fait manquer. Quand je viens là-bas, il y a un problème
01:15:38parce que tout le temps, il y a un choix à faire. Qu'est-ce qui est plus important ? L'expérience
01:15:45ou la qualification ? Parce qu'il y a des fois où il y a quelqu'un qui a une grosse
01:15:50qualification mais qui n'a pas de grande expérience. Par contre, il y a quelqu'un
01:15:55qui n'est pas capable de faire de grande classe mais qui a beaucoup d'expérience et
01:15:59qui n'a aucun travail. Donc, tout le temps, c'est difficile pour faire une balance.
01:16:05Qui est-ce qui mérite une promotion ? Bien sûr, s'il y a un cas flagrant de passe-droit,
01:16:12ça, Public Body, ça peut être très bien là pour lui donner une remède. Concernant
01:16:17le secteur privé, là, il y a une affaire purement contractuelle. Dans nos bureaux,
01:16:27très souvent, il y a des disputes concernant les réajustements salarials. Combien ils
01:16:33ont besoin de gagner ou bien qu'il y a une catégorie d'employés qui n'a pas de
01:16:39promotion. Par contre, il y a d'autres gens qui ont une autre catégorie qui a une promotion.
01:16:44Donc, nous, on essaie de résoudre la merde au niveau de mon ministère. Si par ici, on
01:16:49est devant le Conciliation and Rehabilitation Commission, si par ici, on est devant l'Employment
01:16:55Relations Tribunal qui régulièrement régle les litiges. Au contraire, moi, ce que j'ai
01:17:00envie de faire, c'est de revoir ce système-là pour qu'il soit capable de régler les litiges
01:17:05au plus vite possible parce qu'il a manqué ce qui traînait trop longtemps devant la
01:17:09cour.
01:17:10Sinon, Réza Outim, qui regarde pour t'éloigner de la situation politique de résistance et
01:17:14alternative au sein du gouvernement ?
01:17:15Tout d'abord, il faut saluer la contribution de résistance et alternative. Tous les semaines
01:17:23dans le cabinet, je participe pleinement. Je suis là surtout quand on gagne pas la peine.
01:17:31Je suis dans le comité qui m'a aussi siégé avec DPM et le premier ministre qui nous dit
01:17:37comment faire pour payer le quatorzième mois. Et c'est les mêmes qui viennent, les résistances
01:17:42mêmes qui viennent avec ça, l'idée de ne pas payer tout à une seule fois, de payer
01:17:46une partie avant l'année, une partie après l'année, parce que diminuer la tendance,
01:17:51il dépense tout qu'il se pose avant l'année. Donc, je vais nous contribuer.
01:17:55Achok Choupo, le ministre, peut faire un travail remarquable au niveau du ministère de la
01:18:01Sécurité sociale. Là, ce nouveau combat compte sur les droits illégaux, mais il a
01:18:07aussi envie de revoir la situation, les critères pour gagner une pension et surtout les critères
01:18:16pour gagner une pension invalidité. Donc, il peut contribuer à part entière.
01:18:21Bon, c'est vrai qu'il rentre dans une polémique parce qu'il a décidé de faire un appel
01:18:28de candidature concernant l'annulation des « board members » de l'ONEF. Mais autant
01:18:35qu'il me connaît, personne ne peut le réprocher, il y a des gens qui ont nommé l'ONEF.
01:18:42Bref, c'est l'affaire qu'ils ont réprochée, c'est qu'ils mettent des membres de résistances
01:18:48incalérateurs pour être sur le panel, pour décider, pour faire cet exercice de recrutement-là.
01:18:54Bon, ils ont fait ça au meilleur culpa, ils reconnaissent qu'il y a peut-être des parties
01:18:59qui ont fait ça, et nous avons causé, nous avons eu l'occasion d'une discussion franche
01:19:06dans le cabinet, chacun, chaque ministre a dit ce qu'il y pensait, le DPI a causé,
01:19:10le premier s'est causé, et nous prenons la décision qu'il faisait, et maintenant
01:19:16nous tournons la page et remettons-nous au travail.
01:19:20M. Abdi, merci beaucoup pour toutes ces informations qu'ils ont données nous cet après-midi.
01:19:25Nous souhaitons toute bonne chance, et certainement nous pourrons vous retrouver très bientôt
01:19:28à l'occasion du budget pour le ministère et les mesures économiques et sociales qui
01:19:33prennent place. Merci.
01:19:34Merci à vous-même, merci à tous les auditeurs du Téléfrançais, et merci à tous les intervenants
01:19:38qui posent de très bonnes questions.
01:19:39Paul Molletpeupe, Bizarre Encontre.

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