C'est le bras de fer entre le pouvoir américain en place et l'administration Trump. Depuis l’investiture du 47e président des Etats-Unis le 20 janvier dernier, l'université de Harvard est devenue la bête noire d’un homme qui la qualifie tour à tour d’« institution antisémite d’extrême gauche », de « foutoir progressiste » et de « menace pour la démocratie », essentiellement pour avoir laissé prospérer les manifestations étudiantes contre la guerre en cours dans la bande de Gaza. L'université résiste. Explications en vidéo.