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  • 22/05/2025
Karima Brikh : «On a parlé de l’antisémitisme quand il venait de l’extrême-droite et tant mieux si on pouvait le dénoncer, mais il y a une certaine complaisance du côté de l’extrême-gauche», dans L'Heure Inter, jeudi 22 mai.

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Transcription
00:00Dans certains cas, on va même nier ce qui a pu se passer,
00:03nier justement toutes les violences sexuelles,
00:06parce que là, ça serait les mauvaises victimes.
00:07Si vous êtes une femme juive et vous avez subi des agressions, des viols,
00:13eh bien, ça, il ne faudrait surtout pas en parler.
00:15Donc ça, c'est un vrai problème.
00:16Et oui, je vous dirais que du côté de l'extrême-gauche,
00:20malheureusement, ils deviennent un peu les idiots utiles d'une idéologie qui fait mal.
00:25On a parlé pendant de longues années de cet antisémitisme qui venait de l'extrême-droite.
00:32Et tant mieux si on pouvait le dénoncer et qu'on le dénonce encore.
00:35Mais c'est comme s'il y avait une certaine complaisance.
00:39Et je vous dirais que quand on regarde du côté de l'extrême-gauche,
00:42et on sait qu'aujourd'hui, il y a ces accointances.
00:44La seule qui défend Israël aujourd'hui, c'est Marine Le Pen.
00:47En France, mais là, on parle des États-Unis.
00:49Je vois ce que vous voulez dire.

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