Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • 21/05/2025
Une expédition scientifique norvégienne, que l'AFP a pu suivre, a réalisé les premières biopsies de tissus graisseux sur des ours polaires au Svalbard, dans l'Arctique, pour évaluer l'impact des polluants sur la santé de l’animal, grandement menacé d’extinction. Pour cela, ils doivent les endormir avec des fusils hypodermiques, depuis un hélicoptère.

Catégorie

🐳
Animaux
Transcription
00:00Dans cet archipel de l'Arctique, des scientifiques étudient l'impact de la pollution sur les ours polaires.
00:10Leur mission inédite perd des biopsies qui montrent que les polluants éternels sont les principaux polluants présents dans le corps des ours.
00:34Ils accumulent dans les animaux durant leur vie. Les espèces qui sont au-dessus du web, comme les beaux polaires, qui vivent pendant longtemps, ont les plus hauts niveaux de polluants dans l'écosystème.
00:50Si l'ours polaire est en forme éclat ailleurs dans la région, le Svalbard est plutôt épargné.
00:56Pour le moment, en tout cas, au Svalbard, la population d'ours ne diminue pas. On ne voit pas de changement évident dû au changement climatique.
01:06La population est plutôt stable, voire en très légère augmentation. Ce qui ne veut pas dire que dans le futur, on ne va pas avoir des influences du changement climatique sur ces populations.
01:16C'est principalement le déclin de la banquise et donc de l'accès de l'ours à ses proies qui a entraîné un déclin de l'espèce ailleurs dans l'Arctique.
01:24Sous-titrage Société Radio-Canada

Recommandations