Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • 20/05/2025

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Il dit qu'il ne lisait pas la presse locale.
00:03Il faut être sérieux.
00:04On parle quand même de viol dans la presse régionale.
00:06À présent du Conseil général, il a la revue de presse tous les jours.
00:10Et en plus, c'est passé à la télévision, donc forcément, il était au courant.
00:30Si je ne savais pas, d'autres savaient.
00:37Qui était le ministre de l'Éducation nationale ?
00:40C'était Claude Allègre.
00:41Qui était la ministre chargée de l'Enseignement scolaire ?
00:44C'était Ségolène Royal.
00:52Si j'avais été informée, j'aurais fermé Bétaram, au moins pour huit jours,
00:57pour faire l'enquête auprès des élèves.
00:58C'est quelqu'un qui a quelque chose à se reprocher,
01:00mais qui va accuser d'autres, c'est-à-dire qui va se positionner en victime.
01:04Donc François Bérot utilise ce même mécanisme.
01:07Et c'est ça qui est insupportable.
01:08Deuxièmement, il dit qu'il ne lisait pas la presse locale.
01:14Il faut être sérieux.
01:15On parle quand même de viol dans la presse régionale.
01:17À présent du Conseil général, il a la revue de presse tous les jours.
01:20Et en plus, c'est passé à la télévision, donc forcément, il était au courant.
01:24Ensuite, il dit, il est revenu sur son mensonge
01:27concernant le fait qu'il n'avait pas vu le juge.
01:30Et après, il admet ainsi qu'il l'a vu vu pendant deux heures à son domicile.
01:33Sous-titrage Société Radio-Canada
01:36...
01:37...

Recommandations